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HUMANOCIVE

 

...se remet à l'oeuvre.

 

 

Je suis la haine de tout ce que vous avez réussi à ne pas construire, et qu’en retour, j’ai refusé de construire à mon tour.

p.p1 {margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Helvetica Neue'; color: #454545}

Je vous déteste car vous ne m’avez pas tué, alors que vous ne cessiez d’essayer.

 

 

p.p1 {margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Helvetica Neue'; color: #454545}

Affligeance. Affliction.

 

 

 

 

 


 

 

 

 

ARCHIVES :

 

Je te souhaite une humanocive bonne nuit.

 

 

C'était l'histoire d'un démon aux cornes multicolores, et qui souhaitait devenir un rhinocéros...

 

Bienvenue auprès d'Humanocif.


 

Bachtraict.

 

Je vais me chercher des chips, t'en veux ?

- Tu vas grossir !

-...et alors ?

- Casse-quouilles.

- Cassé, ça s'est fait. Hop-lé.

 

 

Vi(d)e

Les participants sont des ré(d)acteurs : ils réagissent.

Maman, je te hais.

Projet concours (2 thèmes possibles distinctement, voir mêlés. ou tu choisis ton croisement d'axes. ou 1 seul. Libre. Libre. exposition/exhibition ?) (museum ?) :

- infection

- attirante

- fleurs du mal

- mal bouffe

- arme du futur

- mille et une facettes

- tête de mort

- santé

- l'homme idéal/un homme idéal

- http://abricoton.com/tag-expression-du-visage.html

(expression française-- visage)

- initiales

- holic

- chance

- un autre monde

- rigolote/belle/effrayante/furieuse/fière

- chenille/lune/mort/lumière/ombre/suçette

then

- cravate/miroir/papillon/trou/mur/main/bouche

- ensommeillé/sage/angoissé/attachant/heureux/malade

Amour

Caché

Point barre

Abstrait, figuratif...  tant que tu arrives à le relier au thème.

comme le film vice-versa (trailer) représentez votre joie, colère, etc

(x))

Votre colère.

Un problème administratif.

Ta dernière parole.

(d'une phrase à une page~)

En quoi as-tu foi ?

Rédactrices/interviewées de passion.

images

Prix : originalité, esthétisme, thème, technïque, humour, orthographe... (? -_-), coup de coeur (?)

 

Louane, avenir

 

Du fond de la mer, descanalisations,

Rejetaient de coulants fluides,

Aux douces odeurs acides.

 

 

Bah les steaks du regard des autres, gratte-toi les couilles en public ! (ou les totons, pour celles qu'en ont !)

 

C'est comme les coquillages et l'odeur d'écume, l'iode. Indissociabes.

 

Ni.que ta mère ? Suce ton père.

 

L'Agoir, c'est avoir un pincement au coeur quand tu vois que tu as reçu un nouveau message alors que tu sais qu'il s'agit une chaîne.

 

Capturé dans les jungles des tropiques puis offert en cadeau par un prince étranger, son ancien maître, à un prince natif, son nouveau propriétaire, ''Wilding'', de son nom de cour Will Ding, est un jeune sauvageon qui...



 M-a-j-not-late

Anomie-censuree


Pour devenir son "meilleur soi" au final, rien de tel que d'accepter son "mauvais soi" d'abord.

 

 

Arrête de faire comme si tu me connaissais dans les moindres détails parce que c'est ce qu'ils font dans les films. J'ai pas besoin de ça pour savoir que tu m'aimes, pour croire que tu m'aimes, pour le voir ou le sentir. Et je t'aime si je veux.


 

Je vais vous révéler un grand secret : le bien et le mal n'existent pas.

Ce sont des raccourcis pour dire autre chose.

Souviens-toi de quoi.


 

Même Flaubert qui n'a jamais publié aucun de ses romans sans s'être purement et parfaitement assuré et garanti qu'il trouvait chaque place de chaque mot et chaque mot de chaque page absolument pafaits fait chi.er des gens de nos jours.

Alors, alors, penses-tu que c'est inconditionnel de se prendre la tête ?

 

 

Je lui ai envoyé ma lettre, j'ai osé lui dire la vérité, et cela s'est bien passé. Il s'est avéré que je me faisais des idées. Il s'est avéré qu'on ne peut connaître l'issue d'une expérience. Jamais qu'en sciences.

Je cherche à honorer un grand homme que personne ne connaît en tant que tel.

 

 

Ils remplissaient nos cervelles comme les cantiniers de caricatures, avec peu de conviction, en pensant à la fonction dont ils rêvaient plutôt qu'à celui qu'ils exerçaient en ce moment, et dans un "splosh" bien ragoûtant, prétendait nous servir la vie.

PUBLICITÉ MENSONGÈRE.

 


"Qu'est-ce qui fait de vous un être exceptionnel, Richart ?

- Hem, je ne sais pas bien... le talent ?

- FAUX !"

La baguette du professeur vint s'abattre sur la table de son élève, ayant manqué à quelques centimètres, de lui griffer méchament le bout du nez.

"Ce sont les autres qui font de vous ce que vous êtes !"

L'élève sursauta.

"Le regard des autres ! poursuivit le professeur. C'est pourquoi il vous faut à tout prix apprendre et réussir à manipuler correctement les autres. C'est-à-dire à votre avantage. Afin que la manigance vous rapporte un maximum.

- Mais n'est-ce pas un peu du mensonge ?

- Taisez-vous, vous ! Vous n'êtes que l'élève, vous n'avez strictement rien à apporter de vous au cours ! D'ailleurs, je me demande ce que vous pourriez bien apporter mis à part votre petite cervelle vide...

La manipulation, commença le professeur, c'est l'art de se bien comporter en société.

C'est ainsi que nous devenons meilleurs, des être civilisés meilleurs, une société meilleure.

La morale, l'évolution ! s'emporta le professeur.

TOUT vient du fait que l'on ait commencé par faire SEMBLANT.

Avez-vous retenu la leçon, Richart ?"

---

"Möche, laid, beau, intelligent, ce sont les autres qui décident de ce que vous êtes !

Ce sont les autres qui vous font la différence ! Vous devez vous démarquer du lot !

Tout ça pour votre bien, absolument pour votre bien !

- Et l'enfance professeur ?

- L'enfance... gromela-t'il alors. L'enfance, c'est pour vous protéger de ses coups que nous vous éduquons.

- N'existe-t'il pas d'autres manières ? insista l'élève."

 

 

Un faiseau de lumière noire. Trou noir.

 

 

Enfin, de ma vie, j'ai osé lui envoyé une lettre, plutôt que de la sauvegarder en brouillon. Lui dire ce que j'avais sur le coeur plutôt que dans la tête.

C'est ça, le principe de création. Amitié.

Je peux, à 6h33 du matin, m'endormir un peu plus tranquille, un peu moins soucieuse.

 

 

Je veille, je veille, je veille, et je me demande :

"Corps, quand est-ce que tu vas enfin finir par me lâcher, pauvre fidèle ?"


 

As-tu déjà éclairé le noir ?


 

Le taux de confiance en soi chute, il est temps de brancher la perfusion musicale à ses oreilles. Alarme, alarme.

Empiète sur ma vie, c'est un ordre, s'il-te-plaît.


 

On ne voit que ce qu'on a sous les yeux, alors si vous êtes dans la mërde, je vous souhaite de relever la tête pour regarder un peu le ciel.

Dormir, c'est voyager dans le temps. Sans s'en rendre compte.

 

 

De la part de la fée Clochette, celle-ci tient juste à remercier tout ceux qui ont cru en elle à un moment dans leur existence.


No-more-suffer

Stop-please

Let-the-army

Take-care-about-the-pri(n)ce

Life-exit-right-here

Oubli. Eboulis. Eblouis.

Poésie.

 


Eyes-explosion Dead-end

Cette image est l'expiateur de ma déprime. (à venir)

 

 

Maximise les risques. C'est ton tour.


 

Hahaha.

Mon idéal, en ce moment, c'est ça. (faut cliquer dessus, bébé)

Appelons-le Confiance, voulez-vous ?

Confiance est un clochard.

Confiance se fout de l'avis de tout le monde.

Confiance fume juste pour le style.

Confiance a plein d'amis et de frères, mais il est toujours lassé et souhaite toujours en rencontrer plus.

Confiance est né dans une décharge. Sa nature est peu commune et à tendance à dégoûter.

Condiance est dépendant.

Beaucoup de choses en lui s'explique par le fait qu'il est un produit de la mondialisation. Ou plutôt, devrais-je dire, un déchet de ce système pourri.

Ah si, Confiance a un métier : il est déménageur.

Il glande la plupart de son temps dans la rue et connaît les bons plans.

Mort-vivant.

 

"Confiance ? Confiance, mais ce n'est pas un prénom, ça."

"Paëlla, portrait ou coiffure ?"

Tout pour gagner un peu d'argent et rallonger la date de sa ... péremption.

 


Gynécé et pêtresse.

 

 

Et si je détachais ces chaines qui t'y relient ?

 

~


Elle était là. Toujours. Comme une tour. Et l'oeil de son phare me regardait. Regardait tout le monde. Et tout le monde la voyait. Et moi, je n'étais rien. J'étais pour elle autant que pour n'importe qui. J'étais ce type qui la regardait, et non plus celui qui regardait avec elle.

Elle était comme une tour. Grande et froide. Et je lui en voulais.

J'avais envie de détruire cet édifice.

Comment ne l'avais-je pas édifiée ? Les gens ont toujours prétendu à ces terres quelque chose de sain. Je me suis joué d'eux, j'ai rendu vivante la légende, et soudain, elle n'avait plus besoin de moi.

Je n'avais plus envie d'elle de toute façon. Je ne lui aurais plus rien apporter.

Les ruines de ma propre maison, volontairement délaissées, ne m'attendaient même plus, emportées par le torrent dernier.

J'avais juste envie de partir rejoindre cette légende. Disparaître dans son gouffre, pour de bon.

Exister c'était devenu résister. Me libérer de cette guerre avec la notoriété, c'était devenu l'échec à éviter. Si je voulais l'éviter.

Et toujours, elle était là, à me regarder en silence. Sans rien dire, sans rien faire.

Elle laissait le temps arranger ses traits trop jeunes et gardait en main les plis de sa jupe pour ne pas que le vent les emporte au loin.

Il ne me restait plus qu'à mourir vraiment, puisque c'était déjà fait pour elle.

 

Le lendemain, jour de deuil. Fête pour marquer l'oubli. Le gardien tomba dans l'oubli. La tour, elle, demeura. N'est-ce pas un beau cadeau, créateur, que ton oeuvre te survive ?

 

Dorian n'a pas apprécié pourtant. Pauvre monsieur Gray. Aimer la vie plus que l'art. C'est comme vouloir tuer l'éternel. Arrêter le temps. Tu te tueras toi, le temps restera.

Sacré Dorian. Maudit Dorian.

 

~

 

du109 100cible 20coeur 6lance

 

J'ai des fourmis dans l'annulaire et l'auriculaire gauches après avoir discuter de projets de rpg par clavier. L'heure est grave, les gars.


Apprendrais-je un jour de mes erreurs ?

Et toi ?

 

 

 

~

 

"Paradis...-chlorobenzène."

"Y es que piensa que ya no la quieren."

Délivre-toi des désirs secrets qui dévorent ton intérieur.

Cours, fuis. Les aspirations humaines deviendront tes aspirations quotidiennes.

"Oubliez de dire à vos enfants que vous les aimez, et le premier venu qui leur dit vous les ravit."

Du verbe ravir, de la même famille qu'un ravisseur. Tomber dans le ravin. Voilà ce que le père de Myriam appelait poésie.

 

~


Passer dans la vie comme dans un couloir d'aquarium. Avec l'envie de vivre parmis les poissons tout en restant un Homme.

 

"Your poison is my remedy."

 

~

 

"Je veux être parfaite ! Parfaite !

-Mais personne n'est parfait...

-Non, pas parfait. ParfaitE !"

Vouloir être un femme, même pas pour le se.xe, juste pour l'être. Juste pour le nom.

Juste pour que la réalité soit conförme aux rêves.

 Même pas pour se faire belle. Juste pour voir les autres se tromper en ne nous appellant pas "Mademoiselle".

Juste pour être sûr que maman ne délire pas lorsqu'elle nous appelle "elle".

Le corps est-il accessoire ou compagnon de vie ?

 

Porter l'étoile comme un fardeau. Tu vois à quoi je fais allusion petit malin. 

 

~~

 

L'espoir et l'agonie sont proches. Tous les deux sont aveugles et n'ont de raison d'être que le hasard arrange le cours de leurs choses. Appelons l'être originel ayant donné naissance à ces deux jumeaux Agoir. L'agoir, c'est de rester suspendu aux déhanchés déshabilleurs d'un strip-teaser tout en sachant qu'il ne va jamais se retrouver complètement nu. C'est d'être le jeu du tour, de le savoir, et pourtant, de continuer à se laisser emporter par le courant des tourments. Tragédies grecques. Tout était prédit. Prévu. Programmé. Vu et calculé, mais les plombs ont sautés, la mécanïque a tourné, l'alarme a rententi et nous voilà.

 [Dégoupillons gaiement.]

Mon coeur chavire contre les sursauts de tes reins, comme un sautoir de la gorge d'une reine tressaillit lorsque d'un soupir elle condamne l'un de ses amants qu'on pourra désormais qualifier d'ancien.

 

~

 

Je m'apelle Valz, j'aime étudier l'humanité, et je suis un adepte de la vengeance.

J'étais un beau galet dont les récifs ont tailladés la surface, et je suis devenu un silex.

Le chat sauvage est, par définition, un chat dont on aurait remplacé chaque poil du pelage par une petite aiguille, noire, fine, et bien aiguisée.

 

Neko de cirque. Pas de ceux qu'on voit dans les salons, habitués à la compagnie des êtres humains depuis des années.

Neko sauvage. De ceux qu'on doit apprendre à connaître pour réussir à les dresser.

Accompagnié de Carme, prostitute pessimiste qui ne sourit qu'en voyant les visages de ces grands Hommes imprimés sur les billets.

 

Se sentir exceptionnel. Être vu pour soi. Quelqu'un d'unïque. D'à part. Un jour exceptionnel.

 

 

(...) Il prit le vernis à ongles.

"Avez-vous déjà essayer ?"

Je le regardais avec des yeux ronds.

"Ah... bien sûr. Vous n'avez pas de petite soeur qui s'amuse avec ça à son âge ?"

Déglutissement. J'eus envie de protester, mais ça m'était impossible. Non, ma soeur ne s'amusait pas avec du vernis mais avec mes anciens jouets. Si un jour il serait question de vernis, ce serait elle la première à me demander comment ça se met.

"

 

Femâle. Incube. Règles et stérilité.

 

 

Femme hétérosëxuelle en cours d'acceptation de son identité détraquée par les médias.

 

Votre humeur du moment : maussade, vous auriez besoin de réconfort, épique, vous êtes prêt !  à tous lesriqsues ! bah, quelques chose de simple... de la romance <3 


Age Genre Ville Pays
34 ans Femme France
Célébrité préférée Musique préférée Film préféré Plat préféré
Vergibération. Evangelion piano, Hung up (Madonna) Le dîner de cons. Les légumes, viandes rouges et salades.
Couleur préférée Le job de mes rêves Emission préférée Loisir préféré
Sombres. Artiste reconnue. Ecrire, discuter, partager, sortir.


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