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tit-bb-girly
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Welcome on my page!

Je vous invite à lire cette histoire que je façonne au fil de mes envies et à me faire toutes les critiques nécessaire.

Enjoy!

Chapitre 1:

 

 Je m'appelle Amandine. Ma famille m'appelle Amande. Ici Adam. Un nom de garçon vous direz-vous? Pour eux, j'en suis un.

 

 Voilà maintenant trois mois que l'année à commencée et je n'ai jamais réellement pu me présenter. Quand je suis arrivée, je n'ai pas fait un pas dans la classe que mon professeur m'avait déjà présenté en temps que nouvel arrivant. Si j'eût été une personne "Normale", je l'aurai corrigé. Mais je n'en suis pas une, et il est plus facile de répliquer en temps qu'homme plutôt qu'en temps que femme.

 Je joue donc la voix grave et les bandes infernales. Grâce à l'influence de mon MalFaîteur, j'ai pu me procurer des documents me permettant de m'e.x.empter des cours qui risqueraient de détruire ma couverture. Il reste du moins une "chose" dont je n'ai pu me débarrasser. Mon camarade de chambrée. Je dois attendre deux à trois heures du matin avant de pouvoir, enfin, respirer en enlevant ces fichues bandes qui cachent les petites courbes qui me distinguent de mes supposé congénères.

 

Chapitre 2:

 Il est étalé sur moi. Il est étalé sur moi. Il est étalé sur moi, son vomis! Oh mon dieu, je crois que je vais m'évanouir.

 De nombreuses choses m'ont façonnées et j'ai moi-même construit quelques armures, quelques échappatoires. La propretée est une de mes armures et la douche une de mes échapatoire, l'eau me connaît mieux que personne, c'est pour ainsi dire la seule personne qui en sait réellement sur moi. Ma seule amie même.

 Je suis couverte de vomis, un homme est inconcsient au pied de mon lit. Je cligne des yeux, une fois. Puis deux. Puis je perds connaissance.

 Je me réveille. Qu'est-ce que je fais dans la baignoire toute habillée? Les souvenirs me reviennent peu à peu. La nausée revient. J'attrape le tuyau de douche et l'enclanche. Je sens la pression mais rien ne vient. Mon coeur bat dans mes tempes, et tout ce passe tout à coup très vite; le tuyau libère enfin l'eau, mais la pression le fait échapper de mes mains, il se lance alors dans une folle danse, j'aperçois alors vaguement ma grande amie me faire des signes. Trop tard, il se lance sur moi comme un stupide taureau sur un tissus rouge..

 Mes jambes se lancent à la poursuite de l'infirmerie. Comme ça a pu arrivé? Comment ai-je atterit dans la baignoire? Où est-il passé cet idiot, cet idiot, j'aurai pu m'en sortir sans me faire remarquer.. Je pouvais le faire!

Chapitre 3:

 J'ai toujours détesté les hôpitaux. Les murs blancs cachent en fait le malheur des gens, je trouve ça horriblement faux. Et tout ce qui s'y apparente. J'ai une énorme bosse au niveau de la pomette une tache douleureuse m'empêche d'ouvrir l'oeil droit. L'infirmière m'a dit de patienter un moment dans un lit. Tout est blanc. Rangé. Presque parfait.

 Il y a trois lits séparé par de fines toiles blanches. J'occupe le lit du milieu. Les rideaux sont tous sur les côtés ce qui me permet de regarder à travers la fenêtre à ma gauche. Je vois défiler des flocons. Légers, ils sont emporté par le vent et virvoltent. Je les envies. Soudain tout se fige, mes souvenirs me ramène 11 ans plus tôt, la veille de mes septs ans. Fin décembre, nous avions enfin droit aux premières neiges. J'avais, jusque là, eu une enfance idylique. Peut-être étais-je simplement trop jeune pour comprendre. Alors que j'étais occupée à brosser les cheveux de ma poupée, j'avais entendu la porte d'entrée claquer. Le son résonnait à mes oreilles encore lorsque mes yeux furent attiré vers la fenêtre; des flocons! Oui, c'était des flocons.. Alors que je redessinait chacuns des petits crystaux qui descendaient du ciel, je fus surprise d'entendre un petit cris d'animal. Je fis volte-face et me retrouva face à un jeune homme très peu vêtu, du moins de se que j'ai pu capter avant qu'il ne tombe de sa couche. Il avait disparu de l'autre côté de son lit.

Chapitre 4:

 Je me demande s'il va bien. Avant que je n'ai le temps de réagir, je vois une main imerger. Il se lève et je découvre alors une toute autre personne que je ne m'était imaginé; il est grand, très grand, trop grand. Ses yeux trahissent sa gêne et dégagent un je-ne-sais-quoi plutôt charmant alors que ses cheveux décoloré auburn laissent paraître une personnalitée assez désinvolte. Son torse et dévêtu et il porte un pantalon plutôt.. Mignon? Son bas est pourvu de têtes d'ours sur fond "bleu roi". Alors qu'il m'affirme bien aller et se repositionne face à moi sur son lit en vue d'une, je pense, discussion, je laisse échapper un gloussement. Il devient alors incontrôlable et je me trouve à tapper des pieds tant il en devient puissant. Je jigote dans tous les sens, et lorsque je me crois calmée et qu'il me demande ce qu'il se passe, je repars.

 Il a du me prendre pour une folle. Je m'assied en tailleur et m'éclaircie la voix avant de lui confier les causes de mon accès d'hilarité avec:

- Je.. Bonjour. Désolé. Je ne me moquais pas de vous! Enfin si.. Mais pas tout à fait! J'ai simplement...
- J'aurai aussi ris si j'avais vu quelqu'un tomber. T'nquiètes pas, c'est pas grave! Me lance-t-il chaleureusement. Il sait mettre les gens à l'aise, je ne me sens plus du tout mal. Manipulateur. Je souris en repensant à la vraie raison de mes éclats de rire. Le cri qu'il a lancé ressemblait à celui d'un ourson. Comme ceux dessiné sur son pantalon.

Chapitre 5:

 L'infirmière est finalement revenue et, après que je lui montre les endroits douloureux, s'est empressé de les peser en me posant à chaque fois cette question ridicule: << Est-ce que ça fait mal? >> Pourquoi diable serais-je ici?. Elle a finit par recouvrir mes bosses d'une crème collante et mon bleu de glace. Le garçon est resté silencieux; trop occupé sur son téléphone, ou peut-être simplement très discret, il ne s'est retourné que de très rare fois sur moi - j'avoue en même temps que je ne suis pas restée éveillée longtemps et que les seules fois où je l'était, j'avais une poche de glasse sur l'oeil droit m'empêchant totalement de l'observer. 

 Quand j'ai réouvert les yeux à l'odeur du caoutchouc de la viande du Lundi, un espèce de steack dont la provenance est si douteuse qu'elle en devient mystique ,il était partit; certains parlent de complots visant à nous supprimer, d'autres encore de viande d'humain. Je la trouve plutôt nourrissante. Qu'est-ce qu'il avait au juste, il était en bonne e..

 Ne résistant à demander l'origine exacte de cette viande, je trouva d'abord un sujet pour aborder la conversation avec l'infirmière:
- Qu'est-ce qu'il avait?
- Qui ça? me demanda-t-elle, probablement surprise que je lui réadresse la parole après tous le regards noirs que je lui avait jeté.
- Vous savez, le garçon qui était à côté de moi..
- Lequel? me répondit-elle aggressiveement, visiblement vexé de ma "coopération" plutôt sèche.
- Il y a eu plusieurs personnes? répondis-je surprise.
- Une douzaine à peu près. Vous n'êtes pas le seul à s'être battu vous savez. Ah, les hormones! abrégea-t-elle avant de se lever et d'attraper mon plat resté inconsommé. Elle disparu dans une pièces reservée au personnel.

Chapitre 6:

 Mon camarade de chambre était au lit quand je revint. Tranquillement allongé sur le lit qui surplombait le mien, il écoutait de la musique.

 Mes goûts musicaux diffèrent beaucoup des jeunes de mon âge. Ayant toujours été habituée au piano à la maison, je m'étais très vite passionnée pour cet instrument que je n'avais jamais su dompter.

Un autre type de musique m'était parvenu de mon chien. Étrange, je sais, mais vrai. Alors que nous visitiions l'Irlande à l'occasion de l'anniversaire de mon père, nous avions visitié un refuge pour animaux; j'avais vu là-bas toutes sortes d'animeaux très différents d'ici. Après un rapide tour du refuge, je tomba nez à nez avec un bébé loup. Bien-sûr, ce n'était pas réellement un loup mais il était encore plus mystique qu'un authentique loup. La dame nous conta l'histoire de ce loup qui avait survécu à une pandémie qui avait touché toutes ses soeurs. Encore plus impressionant, né de deux Setter irlandais rouges, sur lui n'avait jamais poussé que de la fourrure blanche, si bien que même ses parents ne l'acceptèrent pas. Il était forcé à survivre en louveteau orphelin, jusqu'à ce qu'un famille ne l'accueille. Je le nomma Ange. Je voulu lui faire découvrir le folklore irandais lorsque je fût pour la première fois époustouflée par leur musiques. Anges et moi en étions devenu addicte. 

Il ne remarqua même pas ma présence. Je me glissa dans mon lit dans le pyjama qui m'avait été prêté à l'infirmerie. Combien de temps allait-il encore prendre pour s'endormir. Chaques soirs s'était pareil; attendre une heure voire deux heures du matin avant qu'il ne réfléchsse à l'éventualité de s'endormir, ensuite après avoir fait toutes les vérifications nécessaire quant à l'authenticité de son sommeil, je me décide à dérouler la bande qui m'enserre la poitrine, après quoi j'étale de la crème sur les parties enflammées par ce long tissus rêche. Pour ne pas me faire surprendre le matin, je me réveille deux heures avant lui, c'est-à-dire à cinq heures. Les cours commence une heure après son réveil. Et je ne vous parle même pas des conséquences de cette fichu ève! Vous savez.. ça! Là c'est encore plus délicat..

 Alors qu'il s'endort , je me rappelle de la nuit passé.. Ou étais-ce très tôt le matin? Qui était c'est homme? Et.. et.. Je pousse un cri et me jette hors du lit. Je vois une tête surgir du lit d'en haut. Il me hurle dessus mais je ne saisis pas ces paroles. Mes oreilles sifflent, j'ai la nausée. Me serais-je recouché dans des draps souillés sans m'en rendre compte? Oh mon dieu, oh mon dieu, oh mon dieu! Je déglutis plusieurs fois avant d'oser réapprocher la zone "dangereuse". J'approche ma main doucement, très doucement de ma couverture dans le but de la retourner. Ma main la touche presque lorsque je marque un arrêt. Et si je le touche? Je déglutis, prends mon courage à deux mains et SEIGNEUR! Je hurle de plus belle et me tortille dans tous les sens en agitant la main qui a touché la zone et me rends finalement compte que je n'ai rien touché mais que quelquechose m'a touché. Il était accroupi à ma droite et, bien-sûr à cause de mon oeil, je ne l'avait pas vu approcher. Il avait l'air tout aussi choqué que moi.

Chapitre 7:

 Nous sommes assis l'un en face de l'autre. Il me regarde dans le blanc des yeux et moi, je regarde le sol. Je me touche nerveusement le poignet. Depuis combien de temps sommes nous assis? Soudain, son téléphone tombe du lit, tout juste retenu par ses écouteurs. Nous nous retournons tout deux vers l'objet, surpis. Et d'un coup, comme si une force avait tiré sur l'apprenti accrobate, le téléphone se lanca dans le vide. Nos mains s'élencèrent vers l'objet. Son téléphone laissa échapper une de ces musique que l'on entends dans les vieux films à l'eau de rose, vous savez quand il se passe quelque chose entre les deux héros, alors que nos mains se refermèrent sur l'objet. Ou se refermèrent l'une sur l'autre. Le téléphone était sauf au moins. Mais est-ce que mon coeur le restera-t-il? Je voulais dire quelque chose. Quelque chose. Quelque chose. Pourquoi mes mots restaient-il coincé dans ma gorge? Il tira sur sa main, une fois. Il tira sur sa main, deux fois. Il tira sur sa main, trois fois! Je lâcha prise. Je me frappa une dizaine de fois mentalement; pourquoi n'avais-je pas liberé sa main? voire même essayer de de dégager la mienne dès que son portable fut sauvé? Il s'est levé et m'a lancé un dernier regard que je ne pu décrire avant de se recoucher. Énorme soupir, je crois bien que je pourrai être championne de natation vu les apnées que je peux faire.

 Je suis allongée dans mon lit depuis un peu plus d'une heure. Je sais bien que je dois dormir, mon corps le sais, mes yeux le savent mais ils semblent tous faire grève. Je ne pense à rien. Ou peut-être bien à tout. Je ne crois jamais avoir réellement réfléchis aux conséquences qu'engendrait mon mensonge ce malentendu. Outre ma présentation, j'avais eu pleins d'occasions de mettre fin à tout ça; lorsqu'ils ont perdu le dossier qui devait être transféré de mon ancien établissement, lorsqu'ils n'ont pas jugé nécessaire de parler avec mon médecin, lorsqu'ils.. ou j'aurai simplement du m'arrêter lorsqu'une camarade s'est déclarée à moi..

Chapitre 7.5:

Lundi, semaine passé, j'ai reçu une lettre. Son contenu exprimait une certaine affection pour moi. Grandissante. J'ai reçu des chocolats. Pleins de chocolats. Trop de chocolats. Qu'est-ce que je vais faire? C'est dur. Pour elle. Pour moi, un peu. Pour elle aussi, beaucoup. Comment.. Pourquoi? J'ai été discrète. Tout allait bien, tout allait bien aller. Je ne sais pas qui elle est. Et puis elle non-plus d'ailleurs nee sait pas qui je suis. Personne ne sait qui je suis, et personne ne va le savoir.

Chapitre 8:

Je suis dans mon lit. Allongée, j'attends que le sommeil s'abatte enfin sur moi. Quelle situation était-ce plus tôt? C'était vraiment intense étrange! Qu'est-ce qu'il m'a prit de l'aggripper comme ça? Je suis morte de honte! Est-ce qu'il dort déjà? Je ferais mieux de dormir..!

Qu'est-ce qui ne vas pas avec moi?! J'ai envie de crier! À la place, je tappe des talons contre mon matelas..

Je suis stupide, stupide, stupide et tellement accro à ce sentimentb STUPIDE! Concentre-toi. Mais me concentrer à quoi bon sang?! Musique.. J'ai besoin de musique, ça me détendra sûrement.

La première partie de Lord of the Dance m'aide toujours à dormir, et là encore cette musique enchantée à encore son effet sur moi. Un enorme effet!

 J'ouvre les yeux et me retrouve dans un espèce de jardin. Alors qu'une ambiance sinistre se propage autour de moi, accompagné d'horrible sons de cloches, mes yeux se posent, horrifés, sur des fleurs teernes prisonnières de ronces; le bout de leurs pétales avaient muté pour s'extirper de ces gigantesques piques si bien que les fleurs elles-mêmes semblaient avoir des griffes. Le sol était jonché de pauvre fleurs captives.. Alors que je sentait bientôt les ronces m'interner aussi, un filet de lumière déchira le ciel épais. Mon corps respirait enfin lorsque les fleurs furent liberées. Imposantes et majestueuse, les pétales se déployèrent pour er un parterre parfaitement unis. Mes larmes montèrent presque tant la scène fût belle: alors que le soleil se déversait sur le bleus magnifique, de fines particules dansaient dansle rythme du vent. Une douce chaleur m'enveloppa, protectrice et bienveillante, je me laissa bientôt flotter dans cette atmosphère. Agréable. Tout était Agréable. Une note? Un air de flûte? Une sifflement? Des oiseaux peut-être? Alors que je m'attendait à voir quelque oiseaux multicolores me chanter le bonheur, j'ouvrit les yeux. Pour de vrai.

Chapitre 9:

 Mes paupières sont affreusement lourdes. Je peine à comprendre ce que me dit mon compagnon de chambre lorsqu'il referme la porte derrière-lui. Dans son uni e. Ma tête cherche, affollée, un moyen de connaître l'heure. Huit heures dix-sept. ABRUTI! Alors que je me lance comme une histérique vers mon armoire, je glisse sur une sorte de coussinet. Je ne manque pas de me cogner directement contre l'armoire, tête la première bien-sûr! J'entends un bruit. L'echo de ma maladresse j'imagine! Je me frotte le nez et me retourne pour analyser la cause de ma chute. Pu..tain. Un soutient-gorge.

 Je les gardes toujours au fond de ma valise laquelle est protégée par un cadenas. Je respire une fois, deux fois. Et c'est tout. Je lance mon bras sous mon lit pour attraper les vestiges de mon ancienne vie: des sous-vêtements féminins, quelques habits révélateurs, une peut-être deux robes et surtout.. Des journaux intimes. Je tire la valise et suis surprise de voir la combinaison que j'avais laissé. Sûrement un leure. Je tapotte la valise et de la poussière m'envahit.. personne n'y a touché. Je choisis mal mon moment pour reprendre ma respiration. Je repousse la valise d'où elle vient et retourne au près de la chose. C'est un soutient-gorge très féminins qui doit probablement faire une très jolie poitrine, au toucher le tissus est très agréable et les dentelles noires qui le pourtourent font resortir sa couleur, rose. Je suis jalouse sur la pointe de mes pieds en train d'analyser ce sous-vêtement lorsque je me rends compte des circonstances. Je suis actuellement dans une chemise de l'infirmerie, sans bande, accroupie devant un sous-vêtement qui n'est pas le mien alors que je devrais être en cours depuis une vingtaine de minutes maintenant.

Chapitre 9:

 Après trentes minutes de retard, je m'assied enfin à ma place. Tout le monde me regarde comme si c'était la première fois qu'il me rencontraient. À dire vrai il ne me regardent pas, il me transpercent avec leurs yeux. Je m'efforce de respirer normalement mais c'est comme si mes poumons ne voulaient pas de l'air que je leur offre. J'ai l'impression que tout bouge autour de moi. Je n'arrive pas à saisir les mots du professeur. Il me regarde, comme s'il attendait que je lui réponde. Je l'entends crier mais ses lèvres ne bougent pas. Il se.. trans e soudain. Son iris et sa sclérotique se mettent à s'assombrir. Alors  que je me retourne vers mes camarades mais ils ont disparu. Qu'est-ce qu'il se passe? Mon professeur à lui aussi disparu. Je me penche sur moi et me vois en robe. J'entends une voix; quelque me chuchote à l'oreille. Et soudain,

T o u t   c e   a v e c   q u o i   j ' e s s a y a i s   d e   m e   p r o t é g e r   d i s p a r a î t   .

 Je ne sais pas exactement quand je me suis réveillée de cet affreux affreux affreux cauchemard mais je n'ai pas cessé de pleurer. Je suis encore à l'infirmerie, même lit. Je suis recroquevillée contre l'en tête du lit. L'infirmière à renoncé à me consoler après un bon coup de pied dans le menton. J'essaye d'arrêter de chouiner, de me reprendre. Que tout est finis.. Mais je sais bien que ça ne sera jamais finis.

 << Je vais me rapprocher. Je vais te toucher l'épaule. D'accord?>> me dit quelqu'un. Sa voix calme mes larmes, et lorsque qu'il pause sa main sur mon épaule j'ai l'impression que tout va réellement bien aller. Je me sens ridiculement bien. Je ne pense qu'à ce contact. Agréable. Je respire.. enfin. Et puis je recommence à fondre en larmes. Pas à cause de ce vilain cauchemard ou de ce qu'il représente, mais simplement parce que je suis bien. Et que je ne devrait pas. Je ris et je ne m'arrête plus. La personne me secoue et je l'entend dire que je suis plutôt fou dans mon genre et je l'entends rire aussi. Et je m'endors.

Chapitre 10:

 Je me suis réveillé une heure après. On m'explique qu'on m'a amené ici parce que j'ais fais un malaise; on m'a retrouvé allongée sur le sol de la chambre. J'étais apparement exténuée. J'ai pourtant beacoup dormi! Mais un détail me revient.. Je ne sais toujours pas comment je me suis retrouvée couverte de.. dans cet état-là. Je n'ai aucun souvenir de ce weekend agité. Depuis quand on oublie les choses? Je suis en colère! Deux jours et un weekend perdu.

 Il va falloir que je me renseigne sur tout ce que j'ai loupé.. À qui?

 Je ne me rends compte alors qu'une assiette est déposée sur la table de nuit. Ce sont des biscuits. Quelqu'un a dû les oublié. Il y a un mot. Je lis mon nom: << J'ai pas  voulu te réveiller. Rétablis-toi vite.>>. Pourquoi quelqu'un souhaiterai que j'aille mieux..? Peut-être que quelqu'un m'apprécie. J'imagine que l'infirmière a finalement arrêté de me détester.. J'examine attentivement le sablé. Il est assez mou et n'a pas une réelle odeur de bisuit.. Fait main, c'est sûr! J'engloutis le biscuit. Il n'est pas réellement bon. Il n'est pas réellement bon. On m'a fait des biscuits pas trop mals. Je me dépêche de finir les trois biscuts restant avant de m'étendre sur le lit. Le repos est reposant!

 Je repense aux mythes, aux légendes et aux chimères. Et je repense à Ange qui doit s'ennuyer, sans musique. Peut-être même que je lui manque, un peu. J'apperçoit l'infirmière, qui a l'airr de tout faire pour m'éviter.. Je saute hors de mon lit et la rattrape avant de m'excuser pour le coup de pied que je n'ai su maîtriser. Elle a l'air irrité. J'enchaîne en la remerciant pour les biscuits. Biscuits qu'elle n'a pas fait et qu'elle n'a pas déposé sur la table de nuit.

Chapitre 11:

 Un habitué de l'infirmerie est venu déposer ces biscuits

 █║▌│█║▌║│█║▌║▌║ 100% ©hoi's wife. Je met du temps et de la passion dans ce que j'écris. Mes écrits ne sont parfait, certes, mais j'ai le mérite de les avoirs écrit. Merci de ne pas me plagier C:.

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