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si tu veux dire un secter a qu'un tu le dit a eux psk elle sont toujours
la pour moi
elle sont mes soeur mes amie
elle sont en or
je vous aime sister
Tu m'aime
mes amis ses pourla vie♥
et il des fille qui son amis avec des mec
et il des perssone qui son en couple
mes tout sa ne fera j'aimais ses que je pour lamoure de mes soeur
mes si tu a pas de soeur ni Je n’ai jamais su le fair
de frére bah tu des amis swag
j'ai un chose a vous dire
About You...
- Tu ne t’apprécies pas, n’est-ce pas?
- Je n’ai jamais su le faire… - Permet moi alors de t’avouer que tu restes celle qui me marque de ton caractère insolite. Malgré cette manière violente et malheureuse que tu engages pour te dégrader constamment, ta simplicité, et ta gentillesse, démontrent, par opposition à cette fâcheuse idée que tu as de ta propre personne, que tu ne peux être qu’un être digne d’une confiance et d’une amabilité sans limite. Tu es d’une délicatesse défiant celle de n’importe qui, alors que ta féminité se trouve, elle, emprisonnée dans ce minois, si tendre que tu gardes en un masque naturel et fabuleux. Tu n’arrives pas à comprendre ce qu’est la colère. Ton dictionnaire n’est que très peu enrichi par ce simple enchainement de lettre à travers lesquelles certains lèvent une main sur leur femme, d’autres un poing sur leurs fils, et agrippent les cheveux fragiles de leurs filles pour ainsi trainer leur frêle petit corps. Pourrais-tu te voir un jour froncer les sourcils, hurler de rage, pleurer de colère, montrer en tes iris abyssaux cette flamme ardente et menaçante qui ne cesse de t’effrayer toi-même? Tu ne le sais guère. Cependant, laisse donc mes doigts filer sur les touches, in er qu’il faudrait déjouer ta patience légendaire pour te voir fringuée d’un tel voile de mécontentement. Tu n’es réellement pas quelqu’un de nerveuse au point de t’agacer sur n’importe quoi – encore moins n’importe qui. Et pourtant, tu sais bien que « nerveux » signifie aussi quelque chose que tu pourrais demeurer : angoissée, tremblante, oui, tu n’étais pas invincible. La peur n’est point une sensation que tu ignores. Tu n’apprécies pas avoir peur. Tu n’admires pas même le danger, le sang, la violence, la mort. Tu ne sais comment te satisfaire d’un cœur battant si fort que tu ne peux respirer convenablement et permettre à ses vertiges de s’extirper de ton être bousculé. Restant d’une fragilité et d’une tendresse infinie, tu ne dois pas non plus te laisser marcher sur les pieds, bien que ceci soit bien trop facile à entreprendre. Certes, tu gardes une sensibilité impressionnante, écrasant cette même possession de Shinki, et tes sentiments te contrôlent malgré tout méchamment pour te supporter jusqu’au fond du gouffre. Comment te relever? Peut-être bien serait-ce un défaut, mais tu désires la présence humaine. Tu es tactile, tu as besoin de contact physique autant que spirituel. La présence, la protection, la placidité d’une autre ; tout ceci t’es important. Tu apprécies là dans ses bras, comme Papa, ou même Mama, pourraient te l’avoir tant fait durant ces nuits de cauchemars intenses, tandis que tu pleurais, encore et encore, pourtant enlacée par les deux parents qui acceptaient, résignés, de passer maternellement la nuit avec toi. Et cette générosité, tant appréciée autant qu’elle se peut d’être redoutée. Tu es trop gentille. Autant que tu en restes naïve. Peut-être parce que Mama, que tu as vu, de tes yeux d’enfant, saignante et inerte, n’es plus là pour t’expliquer là vie, que Papa travaille dur pour que tu puisses manger, et que le désespoir d’une figure maternelle perdue t’es fait perdre le si grand sourire que tu abordais, ainsi que la clarté de ton teint si doux. Tant de choses à raconter sur ta personne. Je pourrais en poursuivre un roman et pourtant, d’autres attendaient encore une présentation, sans attendre, car le temps ne m’est que depuis trop longtemps compté. - Pourquoi tant de mots, pour quelqu’un de si insignifiant? - Inconnue aux yeux du monde, tu es un bijou bien trop précieux pour t’y dévoiler entièrement. Et pourtant, à travers tant de mots, si mélodieux, je tiens ici à avertir quelques amis qui lieront ceci, vainquant leurs soupirs feignants et leur état oisif, que tu mériterais d’être comprise, autant que connue d’eux-mêmes, toi qui pourtant apprécierais rester transparente. Mais, je te pousse, devant, là, sur cette scène, ceci avec allégresse, pour à nouveau ouvrir tes ailes.
Ainsi dit, envole-toi, exprime-toi, et permet-moi, encore une fois, de guider tes pas.
mes soeur werty31 et quiopl
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