Bonjour, humain(e)s, elfes et fées qui passent dans mon royaume. Je vous souhaite la bienvenue à Neveria.

Je m'appelle Elerinna. J'ai à peu près 16 ans en âge humain mais j'ai 300 ans dans mon monde. Je suis une jeune elfe. Je suis la première héritière de Neveria, la deuxième est ma soeur jumelle née une heure après moi. Elle se nomme Elenna. Nos noms viennent des étoiles. Le mien, Elerinna, signifie couronné d'étoile, un nom qui me va bien car je suis une princesse née sous un ciel éclairé de milliers d'étoile. le nom de ma soeur, Elenna, signifie vers les étoiles .

Nos parents, souverain et souveraine du royaume de Neveria, ne sont autres que la Lune et le Soleil. Ils sont apparus un beau jour pour venir en aide aux elfes attaqués par Ulwarth né de par son nom lors d'un mauvais sort. Pour se venger de ce mauvais sort qui l'empèche de supporter la lumière, Ulwarth avait attaqué les elfes un jour où les nuages avaient assombris le ciel. La Lune et le Soleil avertient de l'attaque s'étaient rendus aussitôt sur Neveria, le royaume créé par les elfes en l'honneur de leurs divinités: la Lune et le Soleil. Pour vaincre le sorcier, ils avaient dû se métamorphoser en elfes. Aujourd'hui, ils sont prisonniés de leurs corps d'elfes et doivent attendre le jour de leur mort pour reprendre leur place dans le ciel. Celui est donc recouvert de nuage tous les jours rendant le royaume vulnérable du sorcier Ulwarth.

La Lune est une reine magnifique. Elle a les cheveux blanc avec des reflets gris et sont légèrement brillant comme les rayons de lune. Elle a la peau blanche que si on ne savait pas qui elle est on croirait qu'elle est malade. Elle porte toujours une longue robe blanche ornée de pierres précieuses de toutes les couleurs. Elle se nomme Isil.

Le Soleil quand à lui est un roi majestueux et droit. Il a des cheveux d'or et une peau très bronzée. Il porte toujours une armure dorée, toujours prêt en cas d'attaque. Il se nomme Anar.

Celà fait 700 ans que le roi et la reine sont sur Neveria. Ils ne leur restent plus que 500 ans après ils seront libres et ils retourneront dans le ciel. Quand ce jour arrivera, on ne reverra plus jamais les nuages. 

Chapitre 1:

Je regarde par la fenêtre, il fait gris dehors, jusque là pas de changement. Mes cheveux dorés, hériter de mon père, se promène devant mon visage suivant la brise légère du vent. Les jolies feuilles vertes des arbres suive aussi le vent. Une odeur de bruler m'arrache à ma rêverie. Je décide donc de sortir de ma chambre et me dirige aux cuisisnes. Rien. Il n'y a personne. Soudain, j'entends un cri. Je sais d'où il vient et je ne me fais pas prier pour partir dans sa direction. Quand j'ouvre la porte de la chambre à ma soeur, je découvre un horrible spectacle. Deux elfes étaient entrains d'embrasés les bijoux familiaux que guarder précieusement ma soeur. Quand à elle, des flammes l'emprisonnaient dans une cellule étroite. Elle se débat mais celà ne sert à rien car ça ne fait que la brûler. Je décide de m'attaquer aux deux elfes et fonce tête baisser, comme à mon habitude. En sentant ma présence, les deux elfes se retournèrent. C'est alors que je pû distingué leur visage, l'un est un garçon d'à peu près 310 ans et l'autre est une jeune fille de mon âge. Tout d'eux avaient les cheveux rouges ressemblant à des flammes. Pendant que je l'ai annalisé, je n'avais même pas remarquer que j'étais moi aussi prisonnière des flammes. Je décida donc de ne pas bouger et de reguardais attentivement se qu'ils fesaient, au contraire de ma soeur. Soudain, la jeune elfe montra à l'autre un collier d'où pendait un immense pendentif. 

- Non! Lachez immédiatemment ce bijoux, il n'est pas à vous, s'écria ma soeur.

- IL est plus à nous qu'à toi, lui répondis la fille avec un sourire qui fit découvrir toutes ses dents.

Avant que ma soeur ne dise encore quelque chose qu'il ne faut pas, je décida de prendre la parole.

- Auriez-vous au moins le temps de vous présentez? leur demandai-je poliment.

- Je m'appelle Galadriel, se présenta la jeune elfe, et voici mon frère ainé. Celà vous suffit comme présentation votre majesté.

- Quel était votre but dans notre château?

Ils hésitèrent, puis son frère lui fit signe qu'ils pouvaient le dire.

- Nous avons été envoyer par le sorcier Ulwarth, qui sera prochainement votre roi, dit-elle d'un ton sec. Et ce bijoux lui appartenait avant que vos parents ne le lui vole. Alors, ils nous appartient. 

-Vous s'avez au moins se que ce bijoux fera une fois dans les mains du sorcier? demanda ma soeur en prenant le même ton calme que moi.

- Bien sûr! Ce pendentif-cadenas ouvrira la porte des ténèbres et l'armé d'ombres qu'il renfèrme depuis trop longtemps déjà, répondis le garçon dont on ignorait le nom puisque sa soeur ne nous l'avait pas dit.

- A bientôt vos altesse! Nous nous reverrons plus vite que se que vous le pensiez car quand l'armé sera lâcher plus personne ne pourra l'arrêter et certainement pas vous et vos deux parents, expliqua alors galadriel la tête haute.

Sans plus attendre, ils partirent en se jetant par l'étroite fenêtre de la chambre et nos cellules de flammes nous libérèrent. Ma soeur tomba alors de fatigue et je la rattrapa avant que sa tête ne heurte le sol. Je découvris alors que ses brûlures étaient plus grave que se que je pensais. Les habitants du château se précipitèrent devant la porte de ma chambre en suivant de près leurs souverrains. La reine Isil se jeta dans mes bras pour récupèrer Elenna.Le roi Anar scrupta les brûlures de sa fille et posa une main solide sur le bras de sa femme. La reine commença à pleurer.

- Qu'est-ce qui se passe? dis-je affoler en tentant désespèrement que mon père me reguarde dans les yeux. Père!

- Les flammes n'étaient pas des flammes ordinaires, elles s'étaient empoisonnées, m'annonça mon père en me reguardant avec des yeux attrister.

- Et alors? Vous pouvez la soigner, vous êtes des divinités.

- Oui mais nos pouvoirs étaient trop puissant pour pouvoir les contenir dans nos nouveaux corps.

- Et qu'est-ce qu'on peut faire? m'écriai-je alarmer.

- Il faut trouvé un guérrisseur, c'est la seule solution, me dis ma mère avec le reguard illuminé de joie.

- Dois-je te rappeler que les guérisseurs habitent dans les montagnes éloignées des elfes. Le plus près d'entre eux doit se situé à un an de marche d'ici et nous ne pouvons quitté notre royaume en laissant le champ libre au sorcier, déclara le roi à sa femme mais assez fort pour que tout le monde l'entende.

- Moi, je suis près à y aller, s'écria un paysans en levant la main assez haut pour qu'on le voit.

Le roi le reguarda et lui fit non de la tête.

- Vous ne voulez pas sauver Elenna, cet homme est notre seule chance, dis-je à mes parents sur un ton sévère.

Mon père me parla alors par thélépathie, jugeant que ce qui était présent n'avait pas besoin d'entendre ce qu'il avait à lui dire. " Elerinna, ma princesse, tu voit bien que tout ces gens ne sont pas assez fort et en bonne santé pour supporter plus de deux ans de voyage. Alors arrête de faire l'enfant gater ". Je ne voulais pas accepter la décisions de mes parents et me mis à réfléchir. Tout à coup l'idée se heurta à moi.

- Si personne ne peut y aller, alors se sera moi qui irais trouver le guérisseur.

- Je refuse.....Elerinna, murmura ma soeur entre deux cris sourd de douleur.

" Te sent tu assez forte pour y arriver ",me dis ma mère. " Bien sûr que je le suis, celà va faire 150 ans que je mentraîne au maniement des armes et de la magie. S'il vous plaît laisser moi y aller ".

- Ma fille, Elerinna, notre futur reine se porte volontaire pour chercher un guérrisseur. Quand à nous nous veillerons à la santé de notre seconde héritière et de la protection de Neveria, annonça mon père.

- Si elle échoue, nous aurons plus de reine! s'écrièrent en coeur une famille de paysans.

- Mes ordres ne sont pas négociables, dit mon père en les fusillant du reguard les obligeant à se taires.

Chapitre 2:

Le lendemain mes serviteurs m'avaient apporté une tenue flamboyante. Elle était composé d'un body en dentelle scintillante, d'une brassière en armure beige sertie d'une plûme, d'une longue jupe blanche ouverte devant laissant entre voir de très hautes bottes, le tout fini par une ceinture de la même composition que la brassière ornée elle aussi de plûme. Ma lance à la main, je partis ce matin pour un long voyage. Mes parents me regardent partir du haut de leur balcon. Ma soeur présente à côté d'eux. Ils me font aurevoir de la main. Je prends une grande inspiration avant de partir. Je décide de ne plus me retourner pour ne pas voir leurs larmes. 

Après des heures de marche, j'arrive enfin dans une immense forêt composer de grands arbres verts et de petit sentier. J'arrive à un croisement, mais quel chemin prendre. Aucun plan ne m'a été donner et je suis perdue. Tout à coup, alors que j'allais emprunter un chemin au hasard, une lueure bleue apparue sur le chemin de droite. Intriguer, je me décide à m'en approcher. C'était une petite flamme bleue. Je n'avais jamais vu ça, n'y entendue parler. Et elle disparue comme elle était arrivée. Etait-ce un signe? Pas le temps de me poser plus de question, je prie donc le chemin de droite. Le sentier est agréable et bien dégager. Aucune branche n'en dépasser. Je profite donc de ce chemin où il n'y a aucun obstacle pour profiter de l'air encore tiède avant que la nuit tombe. Je m'imagine alors les rayons de soleil à travers les feuilles, facile à imaginer même si je ne les ai jamais vu. Puis s'en s'avoir se qui m'arrive, je tombe brusquement dans le vide. Ayant de grands réflêxes, je m'agrippe à une racine dépassant de la paroie rocheuse. Elle n'est pas solide et ne suportera pas mon poie longtemps. Je glisse petit à petit. Et je finis par tomber. Enfin c'est se que je croyais. Quand j'ouvre les yeux, j'aperçois une main qui aggripe mon bras de toute ses forces.

- Tu veux bien te dépècher, je tiens plus moi, dit alors la personne à qui la main appartenait.

Sans plus tarder, je me hisse au bord de la falaise avant que la personne qui me tient ne me lâche. En me redressant, je m'aperçoit que c'est une jeune elfe qui m'a sauver. Elle a de magnifiques cheveux violets attachaient sur le côté par un fil d'or.

- Aerin! m'écris ai-je en me jetant dans les bras de ma meilleure amie.

- Tu n'as rien. J'ai fais aussi vite que j'ai pû. Ce matin, je me suis rendue au château pour te demander si tu voulais faire une balade près de la rivière et je fus surprise d'appendre que le château avait été attaquer hier laissant Elenna malade. Quand j'ai demandé où tu étais, le roi m'a répondu que tu étais parti vers la forêt pour trouver un guérrisseur. Et quand il m'a dit que tu étais seule, j'ai accourue pour te rattraper. Quelle idée de te laisser seule, idiote comme tu es. Cette hypothèse c'est confirmer quand je t'ai vu au loin suivre la direction d'un feu follet.

- Il ne fallait pas? lui demandai-je inquiète.

- ET ben non balourde.

C'est donc en compagnie de ma meilleure amie Aerin, que je continue donc mon aventure vers les montagnes des guérrisseur.