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Joyside, College is gone.


Bad boy.
Inflexion(s).

 

Je suis comme un miroir, quand vous ne me regardez pas, c'est comme si je n'existais pas.

 

 

Personne ne se souvient plus exactement, au juste, pourquoi 

 

 

Acqueduc Amicale, De l'intérêt insoupçonné d'une cruauté bienveillante. Ohohoh.

Evite à l'autre qu'il subisse la tentation : méfie-toi de lui comme de la peste et protège-t'en pour SON bien.

Surveille-le et rappelle-le à lui-même, c'est-à-dire, celui qui t'a plu en lui, l'individu normal qu'il se doit d'être en société.

Ne l'épargne jamais sur l'autel de la pitié QUE lorsqu'il t'en a imploré.

 

 

 


 

 

 

(<3possibilités:) -Les marginaux n'ont plus le droit de toucher de l'argent ?! (colère bluff x))

-Non...

-Ils ne sont donc pas reconnus pas la société ?!

-Je suis désolée, mais si les marginaux sont reconnus unïquement s'il s'assument.~

-Ah ! Pourquoi ?

-C'est écrit.

-Ah. (il envoie chercher quelqu'un et le renvoie)

-(blabla)

-(le coursier arrive vers l'homme, qui se tend vers l'homme de bureau)

-Et voilà C'est marqué que j'ai le droit maintenant aussi !~

-Need expertise ! (choqué, mais oui, c'est paradox ! <)

 

 

 

-(le voleur ? Legrand ?) Ah donc au final, t'es toi !

-J'suis moi !

-(personnage 1 du dialogue croisé) Tais-toi !

-...

 

 

Histoires de profs

Femme : cours de maths

Homme : cours de politique

-blond/brun = !


 

Démocrat' déf ? -Dictature = qui impose sa volonté aux autres (eur) Exact ! Or la démocratie impose aux autres de donner leurs avis ! Tous cherchent à '' donc, démoc' tend inextanguiblement vers.... Qui plus est, elle se base sur des valeurs contradictoires ! Elle prône la méritocratie, mais ce n'est pas le plus méritant mais le plus aimé qui accède au pouvoir !-etc... délirium. cf : salle de classe.

 

 

Le commissaire cherche le voleur parce qu'il croit que ce dernier a volé l'identité nationnale ?!

 

Remplacer "marginal" par "caliqual"~~~ ?

 

 

-(Le chef) : Rejoins-nous !

-Pourquoi ?

-Pour la bonne cause !

-La bonne cause ?

-Quelqu'un a été kidnappé, nous allons le libérer !

-Ah oui ? Mais qui ?

-On s'en moque ! Nous ne faisons pas dans l'idolation ! Nous jugeons par les actes et non par les têtes !

-Oui ! Oui ! Oui !

-Mais qui quand même ?

-Charles De L'Homme.

-Lui !?

-Lui-même.

-Alors je ne vais pas vous rejoindre.

-Si ! Si ! Si !

-Et pourquoi ?

-(tu n'iras pas en prison, tu auras le droit à plus de..., tu pourras... )

 

 

 

-Mais certaines personnes, voyez-vous, pauvre de ce Ricard qui n'y comprend rien, il est trop humaniste !, certaines personnes sont trop peu(~) intelligentes pour être elles-mêmes !

(Extrait de Allegra n°6)

 

 

-Mais au fait ! dit le voleur(~), Qui es-tu ?

-Je suis moi.

-Ah... (il hoche de la tête, puis, se sentant un peu bête, demande)

-Et c'est qui moi ?

-Moi, c'est ce que je suis profondément. C'est le M.Legrand qui me l'a dit. (comme un bon élève plus que comme un prof ou un robot qui répète~)

-Ah bon ! Ah bon ! (il hoche toujours de la tête, et enlève son bonnet, le tient dans ses deux mains en le tiraillant d'un côté de l'autre) Et... et... Et... Eh bien ! Moi, je te...

(...)

-Et est-ce que j'suis moi aussi ? (le voleur parle mal, ses fautes de langage font le jeu du théâtre)

-Bien sûr ! Moi c'est vous.

-...

-D'où la réciproque !

-(le voleur et le "page", ensemble mais pas particulièrement en choeur) Aaah ! D'acccord !

-...?! ...Vous c'est "moi.

-Mais au fait... (le voleur, il s'approche de M.Legrand pour le voler lui aussi) Et vous, () c'est qui ?

-(M.Legrand  -il est dit M.Legrand, mais son vrai "nom" est... sa profession ?) sort sa carte et la montre, ne prend même pas la peine de faire une phrase construite pour s'adresser au voleur qu'il déconsidère totalement, mais la scène est jouée de telle sorte que cela semble tout à fait normal, ce n'est pas gênant, c'est juste très grossièrement remarqué par le public) Penseur Marginal !

-(Le voleur s'approche alors qu'il n'écoute qu'à moitié -et ça se voit, mais le page est tellement absorbé par la majesté du M.Legrand et M.Legrand lui-même est tellement préoccupé/~ >il fait mine de scruter le firmament, de regarder vers l'avenir, mais cela semble plutôt un "prétexte" car il a les yeux&paupières strictement foncés, plissés, fermés et se préocupe surtout de garder le menton bien haut, s'il se hisse sur la pointe des pieds, c'est bien pour dépasser les deux autres qu'il juge niais< par lui-même que personne ne remarque le grossier manège du voleur- comme la dernière fois, et alors qu'il portefeuille~~~) Ah ! Alors si je raisonne bien Moi = Vous = Penseur Marginal !

-Ohlàlàlàlà ! (triste est le page) Pourriez-vous résumé pour un pauvre penseur.

-Penseur apprenti !

-Ah oui, penseur apprenti, comme moi, s'il-vous-plaît ?

-(M.Legrand fait un signe au voleur, en rapport avec ce qu'il vient de lui apprendre, le voleur joue le jeu)

-Cela me plaît ! Il n'y a qu'à faire le raisonement du problème à la solution pour donner une équation claire, sans passer par le calcul, tous ces petits détails embarassant finissent par détourner le cerveau et sa concentration, non mais ! Cela donne donc : Moi = Penseur Marginal !

-Oh ! (surpris) Alors moi = penseur marginal ?!

-(M.Legrand reprend son rôle de mentor en répondant aussitôt) Tout à fait !

-Oooh ! C'est pour cela que je suis penseur marginal !

(...)

-Mais comment puis-je être sûr que celui-ci soit marginal ? (accuse le voleur quand M.Legrand) il n'est peut-être pas fiable en fait !

-Hé ! Ce qui appartient à un appartient à tous ceux qui sont comme lui, non ? (bêbête, bafouille, sincère) (...) vous voulez dire que je devrais me méfier de moi-même ?

-euh...

-(le voleur, qui part au loin, lance derrière lui) Exactement !

-Exactement ! (répète M.Legrand, par peur de paraître sans connaissance.)

(...)

(construction d'une phrase correctement savante :)

-On pourrait dire Triste est le chat ! (

-Mais on pourrait accentuer la trister pour créer un pathos ! Penser profondeur plus que förme mon ami, allons allons. Un synonyme de triste par e'xemple...

-Attristé ?

-Pas assez fort. Il faut frappez fort la première fois ! Désespéré !

-(il répète la nouvelle phrase)

-Maintenant, le chat ! Qu'est-ce qu'un chat à la base ?

-Un animal ?

-Animal !

-(Il répète la nouvelle phrase.)

(De même pour le verbe, etc, etc, plus ajout de complèments etc etc.)

 


 

(meilleur de toi-même, coach, je suis moi, plus fort)

Condamné pour sa sincérité, rip Quin. (cf la femme de Malcom H. "Mais tout le monde a des problèmes !")

 

 

e sera pire après. Souffre maintenant, je t'en prie. Souffre maintenant. Si ta vie est une torture alors tu n'en es pas encore au stade l'agonie. Je fais voeu que tu reporte cette étape à chaque fois que tu t'efforces à une effort. A jamais. Fais comme si tu n'existais pas. Tu es un autre. Tout simplement. Tu joues le rôle de quelqu'un qui n'est pas toi, et tu es un autre. Tu ne le connais pas. Mais après cela passé, tu te retrouveras. Aller.

 

 

Quelqu'un ? Demain...

 

J'ai du mal à trouver la lumière, Prends-moi la main, Dis ce qu'il faut faire. Je ne trouverais pas. Je ne veux entendre. Que toi.

 

Ce soir, par ex'emple. Fixe l'objectif, souviens-toi le futur, et fais. En mesure. Une heure ? Une demi-heure ? Quoi et jusque quoi ? Et vas-y, bébé, vas-y, ma grandeur. Souviens-toi de moi surtout. Que mes cris soient ceux qui t'encourage à courir plus vite pour les fuir ou les rejoindre. Aime-moi. Aime-moi bébé.

 

La réponse est dans l'anticipation.

 

M'sieurs, dames, on se rejoindra sur la prochaine pour conter l'histoire du manipulateur des grandes foules, téléphathe à volontés absurdes, géniteur de la peur injustifiée, un héro parmi tant d'autres, mais de ceux qui de nos jours sont tombés dans la désuétude et l'abandon, messieurs, mesdames, nous vous conterons Super-Stition !

 

Il y a le brillant, le satin, le pailleté, l'éclat, l'absolu de la noirceur, il y a tous les reflets de toi quand Ondel brisa le miroir.

 

Temps. Esthétique. Soi. Réfléxion. Budget. Organisation ?

A partir de quelle moment environnant le psychisme se met-il à prendre la vie pour un jeu ? Ou plutôt, à partir de quel moment se rend-il compte qu'elle n'est pas ? A partir de la confrontation avec les autres ?

 

"Elle n'était même pas capable de faire ça ? Alors que lui gérait des mutinationnales et leurs firmes aux deux pôles et connaissait ce qui se passait jusqu'aux entournures écorchées de la planète. Et qu'on ne croit pas qu'il avait tout ça comme ça allait de soi, ça non ! Il fallait aller à la recherche des införmations, les traquer, partir à leur quête, les quémander, les négocier, s'applatir -pour de faux, pour de vrai-, et travailler. Et elle n'était pas capable de ça. Comprendre qu'il ne pouvait se permettre de l'aimer pour le moment -alors que ça lui était très dur de se co-ntraindre lui-même- c'était trop dur pour elle ! Lui qui endossait, ployait, se soumettait à mille conditions, contraintes, dettes, arrangements, promesses et budgets ? Il fallait aussi qu'il se heurte à la seule erre d'harmonie qui lui restait ? Il fallait croire que pour elle, ce n'était plus une histoire d'harmonie, ce que ce n'était plus de l'harmonie tout court, qu'il avait trop vécu sans elle et que les deux prunelles qu'ils avaient été avaient finies par loucher/.

Mais c'était de sa faute ! Entièrement de sa faute ! Lui avait des obligations à respecter qu'elle n'avait pas ! Et quoi, elle en profitait pour se détacher de lui et s'en aller reconquérir sa liberté ?

Ce que compris Rastor ce soir-là, en se rendant au club sm où cet autre gars l'avait convié, c'est qu'il s'était tout seul enchainé. En emportant avec lui sa femme, il croyait emporter avec elle un peu de sa liberté, maintenant qu'elle le quittait, il l'a 

 

 

"Tout le monde a une tare. Celle de ta mère, c'était d'être géniale. Ou peut-être de me faire confiance. Mais j'inspire à tout le monde une certaine confiance, et tout le monde a bien d'autres tares. Alors je pense que ta mère n'aurait pas dû être ce qu'elle était, c'est-à-dire, un génie." cf.

 

 

Dr. Glutinoid. Parce que ce n'était pas lui mais qu'on considérait ce nom comme original et donc stylé. Parce que son vrai nom était Jean-Marie, qu'il avait toujours caché.

Parce qu'il n'y a plus que lui pour vous soigner, bande de tarés !

-Ooooohlà ! Tu viens de dire quoi à mes joueuses-là ?

-Euh... Coucou Sarah ! J'adore ce que tu fais, je vais retirer ma plainte et mon réquisitoir contre ton site :DDDD

-Ouais. TOUT DE SUITE. Parce que c'était limite là.

-T'as raison, maintenant je vais me mettre à respecter les joueuses et à critiquer juste. après tout, si elles jouent toutes comme moi, ce n'est pas de leur faute. Faut bien vivre où on peut, hé !

-Arrête de copier le grand Matt, toi on ne te vireras jamais x')

-On s'arrange pour ça.

 

 

Amour. J'aime tendre l'autre joue quand on ne m'a pas encore frappé l'une. J'ai l'impression que c'est de la sincérité. Les profs prennent ça pour de l'imbécilité. Tout est une question de point de vue. Mais le message ne parvient pas à celui pour qui je l'ai écris. C'est pourtant bien ça l'important. Et ce message, tu le recevras. Je te le traduirais en muet, en chinois, et algébrique rédigé comme il faudra ou quoi d'autres ? Quoiqu'il en soit... Mais... tu le recevras. C'est ce qu'on appelle une réponse correcte, poliement dûe, et plus communément une vengeance.

Je m'assurerais que tu sois bien puni pour n'avoir pas frappé la joue que je te présentais, ne t'en fais pas.

 

 

Parce que nous sommes tous une âme éclatée, éparpillée, en milliers de millions de milliers de morceaux. Que nous sommes un Dieu ancien détruit par la fatale entité de la Mort mais qu'en faisant l'amour, c'est comme si on se reconstituait.

Voyez le tout dans la symbolique.

Assassiner nos frères ne servira qu'à diminuer la grande puissance du Dieu que nous habi'tons. Car si Dieu aime tant les nécessiteux, c'est que Dieu est lui-même un nécessiteux. Nous n'avons pas besoin de Dieu. Dieu a besoin de nous. Et le jour où la belle Apocalypse nous unifiera tous à nouveau, alors finit la schyzophrénie, finit la bipolarité, et ce sera comme si nous n'avions jamais existés.

Ainsi raisonne l'Amant de l'Apocalypse.

-...Ca y est, y a les majuscules alors ça met tout de suite en enflammé !

-La perfection réside dans la subtilité !

-Et le détail qui tue ? T'as oublié ?

-Toute une philosophie.

La secte à Nathan (extrait)

 

 

Les métaphores littéraires sont trésors d'un domaine appartenant aux névrosés. Chassé-gardé ? A peine, mais une fois rentré, vous faîtes parti intégrante de la communauté.

 

 

L'art plastique ne serait qu'une question de couleurs ?

 

 

Remise à niveau. Fais-moi tout pour éviter CA la prochaine fois. TOUT. Eviter ça. Capiche ? Capiche ! Capiche...~

 

 

 

 

 

On se revoit la prochaine fois. Maintenant repose-toi. YSSS.

 

AHAH. On reprend. L'histoire des 10.

Alors alors. J'avais toujours hésité entre une belle vie et une vie laide mais reconnue par la suite. J'ai compris en étudiant Baudelaire que prendre les deux était encore le mieux.

 

Tu ne reconnais pas mon monde. TANT MIEUX.


 

 

 

Tout justifier. Il faut tout justifier !

-Suivre le troupeau. Cet homme prétend ne pas appartenir au troupeau !

-Se prend-il pour un Dieu ?

-Je le crains.

 

 

Celui qui se prend pour un Dieu est considéré comme tel, et dans la mémoire de chacun y est assimilé et le devient. C'est ce qu'on appelle la réputation.

Et ce putain de truc-là te suit toute ta vie !

Heureusement que ça se modifie et qu'ça s'fuit..

 

 


 

 

 

QUE SE LEVE DU CIEL DESORMAIS LA HORDE DES FEMMES BAFOUEES.

ET LES HOMMES AUSSI ! BAFOUES DE TOUS POILS, LEVEZ-VOUS ! JE VAIS VOUS COMPTER !

Alors alors, un, deux, trois, quatre... 35, 36, 36... 36 ou 37 maintenant ? Roh, zut.

BAFOUES, FINALEMENT, BAISSEZ-VOUS !

0 ? Ah ! Je savais qu'il y avait une méthode plus pratique pour les compter.

 

 

 

 

 


 

 

 

L'amour devient une obscession. Une large obscession. Si tu es prêt à mourir pour, alors tu ne vis plus que pour ça, n'est-ce pas ? Ta vie se résume à cette obscession. Tu es comme une Offrande au sentiment : tu es l'Amour seulement.

Scum !

L'amour se confond très vite avec la folie, alors cesse d'harceler. Vis pour toi. Vis pour la vie. Car il n'y a qu'à elle que tu dois rendre des comptes. L'amour est une occasion, une tentatrice, une vilaine maîtresse.

...J'adore balancer ce genre d'absurdités censées faire réfléchir les gens !

 

 


 

 

Encore que nous ne savons pas tout, nous savons déjà cela, et c'est sur cela que nous butons, et sur cela que nous reviendrons toujours. Tant que (c'est pour cela que Quin ne peut pas grandir ! Ce don de sa "jeunesse" éternelle -ou à Fb ?- c'est en fait une malédiction ! (cf fin du bouquin !)) cela n'aura pas été réalisé ! Car nous sommes les bons esprits : nous voulons la réalité, pas le rêve...

 

 

Les ordres différents ralentissent. On fonce plus vite vers un mur qu'on rame à contre courant.

C'est ce que l'Homme aime, la difficulté. Il est masochiste. C'est un comple'x'é qui cherche à se prouver qu'il peut être fort.

Mais sans guerre point de héros. Alors l'Homme se tue, se tue, comme un bourreau, ne se rend pas compte qu'il signe et froisse cent fois la même lettre. Le poméliste lui-même à la recherche de la (sa)  perfection finira par mourir d'une crise cardiaque quand le moment sera venu. A moins que tout ceci ait été déclenché, à moins qu'il ne l'ait jamais vu.

Chez ce poméliste fou point d'objectivité, rejeté par ses confrères, de son secrétaire admiré.

 

"Je te veux pütain !

-Alors manipule-moi ! Tu m'as toute !

-Je refuse.

-Comment ? Pourquoi oser aller à l'encontre de tes désirs et des miens ? Quand RIEN ne nous retient Dimitreï. Rien.

-Je sais que si je le fais, plus rien ne sera comme avant.

-La seconde qui passe efface la précédente, tout comme fait d'elle la suivante. Dimitreï et tu peux décider de ton destin, alors décide !

-Je laisse au destin le choix de me manipuler.

-Mais c'est à toi de le manipuler ! Souviens-toi Matrïovska, la petite vieille manchotte qui lisait dans les mains ! Son conseil !

-Lana. Hem, Jina. Jina Lau. Jamais tu m'entends ? Jamais je ne ferais ça !

-Et tes énigmes alors ? Et tes prétentions ?! Tout ça, alors, c'était de la co'n'nerie !?

-De l'orgueil, une ambition incertaine que je ne méritais pas !

-Espèce... espèce de Kafka ! Il y a mille autres personnes à aider sur Terre ! Mille autre solutions à apporter ! Mille autres problèmes sur lesquels réfléchir ! Et tu choisis de rester centrer sur celui-là alors que tu y est bloqué ! Pourquoi ?! Dimitreï, je m'en arrache la voix, mais réponds, pourquoi ?!

*Tit*

-C'est prêt. Mange donc.

-Jamais.

-Tu dis ça, mais tu ne respecteras jamais ta promesse. Moi c'est l'inverse. Je te promets de toujours rester à tes côtés mais de ne jamais oser t'aimer.

-Eh bien soit, je prends ce bol ! Et je te jure de le garder tout le temps avec moi, de ne jamais m'en séparer, ni de l'offrir, de le vendre, ou de le manger !

(Résolution : elle le perdra, maladroitement, au-delà d'un pont, et le suivra.)"

 

 

"Tu crois que les prières fonctionnent ? Vraiment, je veux dire..."

C'est ce qui s'appelle briser un coeur.

Elle a brisé mon coeur.

Ou plutôt, elle m'a tendue la dague pour que le brise.

Et j'ai poursuivi son geste, et j'ai touché mon coeur.

Et comme du cristal, tout s'est éclaté.

La matière transparente, comme une cascade aux flots tumultueux et sanglants carillonnait,

Abreuvant mon âme de nouvelles idées.

A quoi sert l'inutile ? Telle était la question."

 

 

Admiration. Chronïques d'un voyageur intergalactique. 42.

 

La prise de conscience et Incapacité.

Amputation invisible.

Discernement distortionné.

Le Roi fait chaque matin avec lui-même,

 un pacte de refuser toujours pour toute la journée,

être autre chose qu'un congestionné.

Le Roi est Roi avant d'être Sujet.

Ses courtisans ont plus d'âme qu'il pourrait s'en laisser.

Et le shut down n'existe pas pour les princesses.

Et les anges sont des statues hantées.

Et la chance existe pour celui qui la vit, la voit, ou la laisse passer.

La chance, c'est en fait le fait de ne pas avoir fait.

Tu n'as pas agi. Mais tu as. Voilà la chance.

Ce n'est pas une coïncidence, un hasard, c'est plutôt comme un fait divers que l'on expose dix fois, mille fois plus que les autres aux médias.

Parce que les Hommes voient des idoles invisibles là où il n'y en a pas. 

 

 

 


 

Si y a bien un truc que je déteste sur Terre, c'est me rendre compte que je me trompe, que je me suis trompée.

 

 

Laisse la neige tomber...

 

 

Effrayant trafique d'effigies de personnages de rpg relativement jeunes et réalistes...

  

 

 

21 juillet - 8 août Reprise.
Régler des trucs perso.

Désolée de ne pas avoir prévenu de mon absence !

Je reprends les rpg après mon truc perso.

Merci pour votre compréhesion si vous me la permettez. 

 

 

 

(note perso) Aigue-Marine (à consulter)

 

 

 

Foutoir. Mon loft est une décharge, on dirait.

  

 

Mistral 5

 

 

Mistral 5 est un mafieux réputé pour savoir tout sur tout le monde mieux que personne d'autre. Il est de caractère plutôt froid et ne perds jamais le contrôle de lui-même. C'est quelqu'un capable de faire du mal sans le regretter, et il est autant craint que détesté dans son quartier. Il n'aime pas montrer sa solutide et ment toujours au sujet de son statut de célibataire. Il déteste se retrouver en mauvaise posture et a tendance à être maniaque.

Il déteste sortir de jour et ne travaille jamais avec la même équipe de malfrats. Il aime manger dans les restaurants chinois.

  
  
 
Relations :
 
• Edwin

Age Genre Ville Pays
26 ans Femme
Célébrité préférée Musique préférée Film préféré Plat préféré
Couleur préférée Le job de mes rêves Emission préférée Loisir préféré


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