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Ma vie

 

 

 

Ines/14 ans/DANSE/IMAGINER

 

Bah voilà je vous l'ai dit je suis une imaginatrice:

Je ne m'ennui jamais je me raconte et j'in*** des histoire.

 

 

                    Danse Interdite:

 

 

Chapitre 1 : Le rêve

Le rideau se lève et je fais face à tous ses regards.

 

J’ai gagné mon combat mais à quel prix, il ne me reste que la danse et c’est le moment d’assurer. Je monte ma jambe aux genoux et  j’enchaine : je tourne, je virevolte je saute je prends tout l’espace et quand je finis la salle tremble de partout des roses rouge volent en l’air je suis heureuse j’ai trouvé ce que je suis, j’ai trouvé la personne qui sommeillait en moi depuis toujours celle qu’…ils ont tiré de l’aveuglement. Il est temps de remercier les gens qui ont reconnu ce que je suis et ce que je fais et quoi de mieux de raconter l’histoire, la vraie mon histoire et celle d’un combats que j’ai fini par gagné mais cette victoire m’as couté une « fortune ».

 

Chapitre 2 : Le commencement

«- Elie ! Debout tu vas être en retard ! »

J’entends la voix de ma mère qui m’appelle mais je ne me lève pas pour autant. Il faut dire que je suis à ma  première année de lycée et je n’ai pas hâte de retrouver cet univers pleins d’hypocrites. Et puis de toute façon je n’ai pas d’amis, je ne suis pas comme dirait les autres « normale ».Alors oui je déteste l’école.

« Elie, dépêche-toi de descendre ou je monte.

-j’arrive maman. »Je ne veux pas mettre ma mère de mauvaise humeur dès ce matin, déjà qu’elle est très stressée en ce moment.

Je me lève et me regarde dans le miroir. Hum…comment me décrire, grande, brune,  peau légèrement bronzée, yeux marrons et grain de beauté sur le nez. Bref rien d’exceptionnel mis à part mon grain de beauté mais il est le plus souvent critiqué qu’admiré. Je ne m’attarde pas trop sur mon reflet et j’enfile un jean slim, des docs Martens jaune, un tee-shirt blanc et ma veste a imprimé camouflage et j’ai toujours sur moi une petite médaille ou y est inscris une phrase que mes parents ont choisie :

« Ne dis pas comme les adultes que si tu suis tes rêves tout iras bien, parce que tu vas tomber, tu auras du mal à te relever, ça prendras du temps mais quand tu toucheras ton rêve il n’aura acquis que plus de prix à tes yeux.»

Je dévale les escaliers. J’arrive dans la cuisine ou mon père lit le journal et ma mère  boit son infusion camomille et thym. Je m’assois en face d’eux et me beurre une tartine, quand mon père écarquille les yeux. Il tapote l’épaule de ma mère et lui montre quelque chose sur le journal. Le visage de ma mère se décompose, elle se lève et dit :

« -Je dois passer des coups de fils. »Elle va décrocher le téléphone ne comprenant pas la réaction de mes parents, je demande à mon père :

« - Qu’est-ce qu’il y a ?

-C’est juste qu’ils parlent d’un vieil ami à ta mère et moi.

-Et qu’est-ce qu’ils disent sur lui ?

-Ho, pas grand-chose, il aurait gagné un prix. »

Je ne suis pas très bavarde donc je ne demande pas plus de détails. Je me lève, prend mon sac et sors dehors. Comme tous les matins j’attends le bus. A l’intérieure le chauffeur Allan me dit :

« -T’as de la chance y a plein de place aujourd’hui à cause de la nouvelle dans le journal. »

Hein, de quoi parle-t-il je n’en ai aucune idée.

Mais je n’ai pas vraiment envie qu’il me dise :

« Ah bon t’es pas au courant. »

Je me tais et avance dans le fond quand j’entends :

« -Alors Eléonore t’as toujours pas enlevé la merde que t’as sur ton nez. »

C’est Lindsey Brooks, une des filles les plus populaires du lycée et bien sur elle me déteste et ne rate pas une occasion de m’insulter. Je l’ignore, elle n’en vaut pas la peine. Je m’assois à une place vide. Le bus s’arrête et deux garçons  entrent l’un s’appelle Jonathan c’est le matheux du lycée et l’autre je ne le connais pas, il est grand, brun, a des yeux vert  et il est musclés. Lindsey commence à glousser et l’invite à s’assoir à côté d’elle mais il refuse et continue d’avancer et il s’assoit à côté de moi. Et c’est bien la première fois que quelqu’un s’assoit à côté de moi.

Voyant que je ne dis pas un mot, il engage la conversation :

« -salut je m’appelle Soan et toi ?

-Eléonore, Elie pour les intimes.

-je peux t’appeler Elie ?

-hum...

-je prends ça pour un oui. »

Je n’ai pas envie d’un ami surtout si il est le prochain sur le tableau de chasse de Lindsey mais il est le premier à être gentils avec moi depuis longtemps. On arrive au lycée et tout le monde descend. Je me rends à mon premiers cours de la matinée : Education Civique. En fait notre professeur Mr. Webb passe son temps à nous lire toute les lois possibles et inimaginables. Ce matin il arrive avec la tête de quelqu’un qui aurais gagné au loto. Il dit :

« -Aujourd’hui j’ai quelque chose qui devrais nous emmener dans un grand débat. Comme certains d’entre vous le savent ce matin est paru dans le journal une lettre de notre président s’adressant à l’ensemble des citoyens. »Il sort le journal de ce matin et commence à lire :

« -Cher citoyens je vous in e que le gouvernement va rétablir la loi n°263 de l’article 318 qui as été a été abolit 2 ans plut tôt par moi-même. La loi est la suivante : Il est dorénavant interdit d&rsquo***rcer la dance classique, toute personne ayant enfreint cette loi seras condamner à la prison à vie. »

Pendant qu’il lisait je me suis dit que c’était horrible d’interdire à des gens de vivre leurs passions.

A l’heure du déjeuner  Soan me rejoint à ma table. En déballant nos sandwiches nous parlons :

« -Tu as aussi Mr.Webb en Education Civique ? Me questionna mon nouvel ami.

-Oui, il vous a parlé de la loi.

-T’en pense quoi ?

-Que c’est horrible d’interdire des gens de faire ce qu’ils aiment.

-Tu sais quoi, je suis absolument d’accord avec toi.

-C’est vrai ?

-A ton avis. »

 

 

Chapitre 3 : quelque chose que j’aurai préféré ne pas savoire

Après les cours, je rentre chez moi. Là au diner je remarque que mes parents ont l’air très inquiet et ils n’arrêtent pas de jeter des coups d’œil par la fenêtre.

« Ma chérie, avec ton père nous allons nous absenter pendant…un moment. Nous partirons dans la nuit.

-Je vais rester toute seule alors ?

-Non, ta Grand-mère veillera sur toi.

-Ok. Quand reviendrez-vous ?

-Heu. »Commence ma mère. 

« Dans un moi tous au plus. »Rectifie mon père. Je devrais me douter qu’ils n’étaient pas dans leur état normal. Mais j’essayais sans doute de me convaincre moi-même que tout allait bien.

J’allai me coucher pas très sereine juste après avoir souhaité un bon voyage à mes parents.

Il était près de minuit, le marchand de sable était très en retard. Car je ne dormais pas encore. Soudain j’entendis un bruit ou plutôt de la musique. Ce son je ne l’avais jamais entendu. Intriguée par cette magnifique mélodie, je descendis les marches en faisant le moins de bruit possible. La maison était plongée dans l’obscurité sauf le salon dont la porte était entrouverte. Je venais de trouver la source de cette musique enivrante. Je jetai un rapide coup d’œil à l’intérieur et ce que je vis me fit  frémir de peur et d’émerveillement. Mon père jouait de piano et ma mère dansait, de la dance classique. C’était magnifique, elle virevoltait elle tournait. Puis le musique s’arrêta, ma mère rangea ses chaussons dans le buffet. Tous deux prirent des sacs qui étaient posés dans un coin. Ils s’embrassèrent et sortirent dans la nuit noire.

 

 

Je crois que sur le coup je n’ai pas réalisé l’ampleur de ce qui venait de se passer. C’est qu’après que j’ai « compris ». Mon père et ma mère n’ont pas respecté une loi de haute importance et qu’ils risquent la prison ou pire. Sur le coup je n’ai pas réagi et je suis remontée me coucher. Ça peut paraitre complétement absurde  sur le coup, mais qu’aurez-vous fait à ma place ?

Le lendemain je me suis réveillé en paniquant. Avais- je enfin mesuré l’importance de ce qui c’était passer. Et comment aurai-je put savoir qu’à partir de ce jour ma vie changerais à jamais.

Je descendis lentement les escaliers contrairement à mon habitude et entra dans le salon. Je fouillai dans le buffet et ressortit les chaussons de ma mère. Quand je les prix dans mes mains il se passa comme un courant électrique  d’une incroyable douceur. J’en essayai un et la magie opéras. Je ne pus m’empêcher d’enfiler les deux. J’essayai de reproduire les mouvements que j’avais vu ma mère exécuter la veille. C’était merveilleux. J’étais tombée amoureuse de la dance.

La sonnette de la porte retentit je me demandai qui c’était. Mais oui ma Grand-mère avec tout ça j’ai failli l’oublier .J’alla ouvrir et le visage souriant de ma grand-mère apparut. Comment la décrire…et bien elle est petite, elle a la peau bronzée, des yeux marron (comme les miens) qui pétillent et quand elle sourit des rides aux coins de ses yeux apparaissent. J’adore ma grand-mère mais depuis l’année dernière elle ne peut plus parler. Le dialogue étant par cette cause difficile nous parlâmes avec des sourires et des coups d’œil. Puis  ma grand-mère pointa l’horloge du doigt et mon dieu il était 10H16 et je commençais les cours à 8H15.

J’étais incontestablement en train de sécher les cours. Pour la remercier je déposai un bisou sur sa joue et monta là-haut pour me changer car j’étais encore vêtu de mon pyjama. J’enfilai à vitesse grand V une robe noir simple et des converses roses pales, me fit une longue queue de cheval et redescendit les escaliers aussi vite qu’Apollo 11. Il était 10H21. J’ai seize ans pas questions de conduire d’ailleurs il n’y a plus de voitures mes parents aillant pris la leur et ma grand-mère est venue en taxi. Mais oui mon vélo. Je l’enfourchai et direction le lycée ou m’attend surement une heure de colle. J’arrive en classe et m’excuse auprès de mon professeur. Ouf il ne me dit rien(en même temps j’ai toujours été à l’heure).

A midi je rejoins Soan. J’ai commencé à me prendre d’affection pour lui je le considère comme un véritable ami à présent. Il voit bien à ma tête que je ne vais pas bien :

« Elie !

-hum

-est-ce que tout va bien ?

-Oui. Ne t’inquiète pas pour moi .En fait non ça va pas. »

Une larme nait sur le rebord de ma paupière et glisse doucement le long de ma joue, comme une perle de cristal. Soan me prend dans ses bras et me réconforte, c’est si bon d’avoir ses bras autour de soi et de savoir que l’on a une épaule sur laquelle reposé.

Là je n’en peux plus je lui dis tout. Ce qu’on fait mes parents, mon émerveillement en découvrant cette e de magie interdite et l’immense bonheur que j’ai ressenti en chaussant les chaussons de ma mère et en essayant de reproduire ses mouvements tellement gracieux.

Il ne dit rien. Puis il me prend par la main et me dit :

«Ça ne te dérange pas de sécher les cours cet aprèm ?

 

-Non. Pourquoi ? »

Chapitre 4 : L’innitiation

Il ne me répond pas et m’entraine hors du lycée et me fait monter dans sa voiture. Nous roulons depuis 10 bonnes minutes, quand nous arrivons devant la plus belle maison que je n’ai jamais vue. En pierre elle s’élevait sur quatre étages, de grandes baies vitrées laissaient passer la lumière et un immense et un magnifique jardin finissait d’embellir la maison.

« C’est là que tu habites ?

-Oui. Ça te surprend ?

-Un peu. »

Il me fit entrer dans sa maison, bien que je ne sache absolument pas ce que nous venions faire chez lui…

Nous entrâmes dans une longue pièce couverte de photos. Il s’arrêta  devant l’une d’elle ou était représenté un homme, une femme et un petit garçon.

« Il était une fois un président qui tomba éperdument amoureux d’une danseuse classique mais comme la loi punissait toute personne***rçant cette dance il abolit la loi et vécu pendant deux longues années un adultère passionné.  Un jour la danseuse mis au monde un enfant qui n’était pas de lui et lorsqu’il le découvrit 16 ans plus tard sa colère fut si grande qu’il ne voulut plus jamais revoir sa maitresse et l’enfant qu’il croyait être le sien. Il réinstaura la loi qu’il avait abolit pour la danseuse . »

Une larme coula sur la joue de Soan.

« Dans l’histoire la danseuse c’est ta maman et tu es l’enfant ?

-…Tu vois, j’aime la danse autant que ma mère. Ce soir je vais danser avec des amis. Tu veux venir ?

-Oui d’accord?

-On passe chez toi prendre des affaires et on file. »

Dit-il avec un grand sourire. »

Nous allons chez moi, n’ayant jamais fait de danse classique, je pris les chaussons de ma mère (pointes et demi-pointes) un short noir tout simple et un débardeur noir. Nous filons à toute vitesse sur l’autoroute puis nous arrivons devant un local abandonné fait  de planches et de divers matériaux. L’extérieur étant vraiment médiocre je m’attendis au pire en entrant à l’intérieur mais curieusement l’endroit était aménagé de sorte que je me sentais chez moi. Soan me présenta ses amis : Phil un garçon très discret qui m’adressait pleins de petit sourires en coin, Caryne une grande blonde qui en apparence et la posture me faisait horriblement penser à une certaine Lindsey, Ross une carrure d’athlète le genre de gars dont toutes les filles tombent amoureuse mais il m’as accueilli chaleureusement et puis il avait Leila une fille a la chevelure rousses aux pointes colorés en blanc, elle avait de très grand yeux bleus. Soan éleva la voie :

« Bon on commence donc tout le monde s’échauffe. Ross tu montre à Elie les mouvements de bases ?

-Pas de problème mon pote. Allez viens Elie enfile tes demi-pointes. »

Je m’exécutai un peu déçu de devoir suivre un « un cours de rattrapage ».

« Alors je te montre un petit***rcice avec tous les trucs que t’as besoins de savoirs, on le fait ensemble et après toi toute seul. Ça marche ?

-Ça marche. »

C’est partit la musique démarre je suit Ross au son du piano. Pirouette, saut, arabesques, temps liés, pas de valse pas de bourrés…Puis à moi toute seule.1, 2, 3 et je m’élance. Ross ouvre grand les yeux, les autres à coté arrêtent leurs échauffements et me regarde sentant ses regards sur moi j’ai l’impression de passer une audition.

Révérence et je m’arrête guettant la réaction des autres danseurs.

« C’est la première fois que tu danse ? Me demanda Caryne.

-Oui, pourquoi ?

-Tu as un don. Je n’ai jamais vu personne danser comme sa pour  la première fois. » Dit –elle. Tous me regardaient avec admiration.

« Bon et bien je pense que l’on est tous d’accord pour dire que l’initiation d’Elie est terminée. En disant cela Soan m’adressa un clin d’œil. Allez tout le monde au milieu. »

Nous avons fait deux lignes de trois. Phil mit la musique, j’entendis les premières notes mais ce n’était pas du classique mais rock pur et simple qui résonne dans toute la pièce.

« Bon alors aujourd’hui on vat instaurer un nouveau principe : la danse ce n’est pas que des tutus, du piano, et des mouvements compliqués c’est aussi le moyen de s’exprimer, de montre ce que l’on aime ou pas. De toucher les gens de leur montrer que ce que l’on fait est beau et mérite d’être vu. » Soan avais dit tout cela en gardant son calme mais je voyais bien cette grosse veine palpiter sur son cou. Il n’en était que plus mignon. Excusez-moi je n’étais pas sensée dire ça. Toutes les choses qui me sont arrivées depuis 24 heures me mettent dans un état pas possible.

Alors on a continué à danser. Et pour une fois je me sentais à ma place là où j’aurais dut être depuis toujours. Quand nous avons fini de danser il faisait presque nuit et Phil me proposa d’aller manger un  Mc ’do avec eux. J’acceptai et nous nous mirent en routes. Nous étions six dans la voiture cinq places de Soan, inutile de préciser que nous nous sentions comme des sardines dans leur boite. Nous arrivons aux abords du Mc’do. Leila choisis la table et on s’y assai.

« Je vais prendre commande. Tu viens Elie ?me demande-t-elle

-Oui bien sûr. »Répondis-je.

Nous avançâmes jusqu’au bout du magasin.

«  Tu danse très bien !

-Merci, toi aussi.

-Tu sais j’ai commencé à danser quand j’avais six ans donc j’ai beaucoup travaillé pour en arriver là, alors que toi c’est naturel. Qu’est-ce que t’en pense ?

-De quoi ?

-De la dance classique, du groupe.

-Oh, et bien. Je n’avais jamais vu la danse comme ça. Franchement vous êtes vraiment un groupe cool mais dis-moi, je ne veux pas être méchante mais Caryne et Ross…

-Ils n’ont pas l’air d’être comme nous.

-Heu oui. Désolé c’était indiscret comme questions.

-Non ne t’inquiète pas, quand à Ross il a des aires de briseurs de cœur mais c’est un gros romantique qui n’a juste pas encore trouvé l’amour.

-Et Caryne ?

-Tu es une curieuse toi.

-Pardon si ce n’est pas trop discret de ma part.

-C’est pas sa c’est jusqu’elle a une histoire une peu compliqué je n’ai moi-même pas tous compris.

-Son histoire qu’es ce que c’est ? »

Leila jette un coup d’œil à la table ou sont assis nos amis  puis elle me regarde dans les yeux.

« Pas ici d’accord.

-Quand ?

-Ce soir 22 heures. Je viens te chercher.

-Ça marche. »

Nous retrouvons les autres les bras chargés de plateaux débordants de frites, de boissons, de sauces et d’hamburgers.

« -Bah dis donc vous en avez mis du temps, c’est surement à cause du vendeur que Leila trouve tellement canon.

-La ferme Ross !

-Relax chérie si j’avais su que t’aimais les gars en uni e ***  je serais déjà derrière le bar tout au fond de se resto. »

Tous  deux continuent à se taquiner et je me tourne vers Phil et Soan qui ont déjà manger deux portions de frites chacun.

« Dites ils sont en couple Leila et Ross ?

- On ne sait pas vraiment en fait, ils se tournent autour mais je crois que Leila aurait trop peur de le perdre si jamais ça finissait mal. 

- Soan on ne parle pas pendant qu’on mange. »Le houspille Caryn c’est malpoli.

Nous nous séparons : Phil, Caryne, Ross et Leila partent chacun de leur côté quant à moi Soan me raccompagne.

« Alors sa ta plut ?

-Oui c’était génial.

-Tu sais-tu leur a beaucoup plut ils sont prêts à t’accepter dans le groupe mais il faudra que tu fasses tes preuves.

-En danse ?

- Non, il ne faut pas que tu nous trahis.

-Ah oui la fameuse loi, je l’avais presque oubliée celle-là.

-Tiens les lumières sont allumés chez toi !

-Grand-mère ! »

En effet ma grand-mère devait être morte d’inquiétude et elle ne peut pas appeler la police vu qu’elle ne peut pas parler. Sans remercier ni dire au revoir à Soan je m’élançai vers ma maison. J’ouvris la porte et me précipita dans le salon, personne, et dans la cuisine elle écoutait la radio et lisait un livre. Rassurée je déposai  un *** sur sa joue et m’assit à côté d’elle.

Un sourire échangée et au lit.  J’étais complètement crever.

Chapitre 5: Secrets

Je fus réveiller par le bruit d’une voiture qui klaxonnait(ou plus exactement le conducteur). Je me levai et regarda par la fenêtre il faisait encore nuit noire.

Leila m’attendais dans la voiture, bien sur notre « rendez-vous ». Comment avais-je pus oublier. Je sortis juste vêtus d’un jean, d’un pull blanc et de bottes fourrés.

Je la rejoignis dans sa Twingo grise et elle démarra.

 

 

J'espère que le début de cette histoite vous a plus c'est peut etre pas terrible mais ca vous en dit beaucoup plus sur moi.

 

 

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