Il se fut un temps,

où j'avais en guise de de ion une belle petite page pleine de couleurs sur laquelle j'écrivais une belle petite fiction m'octroyant fierté et espoir!

 Mais le temps passe,

 Les gens changent, leurs idées aussi. J'ai pensé que ce que j'écrivais n'était qu'un ramassis de bêtises... Ainsi, après plusieurs mois, je me suis donc décidée à changer le cours des choses!

 Ces temps-ci, prise d'une sorte d'élan d'inspiration, je me suis mise à écrire des poèmes!

 Oui oui, vous avez bien lu, des poèmes! Je ne les ai dévoilés qu'à ma petite soeur de 9 ans, celle-ci m'a déclarée " C'est trop beau 'Astioch! " , probablement parce qu'elle n'en a pas compris la moitié!

Je me suis donc décidée, après plusieurs jours d'hésitation, 

 A vous les révéler... He he je sais j'éxagère un peu!

Mais, me voilà impolie!

 Je ne me présente même pas! Mon prénom, Amy, nom de famille, Winter.

 Ne vous inquiétez pas, ce n'est que du faux!

Je vous invite donc dans mon " recueil de poèmes "!

 Celui-ci aussi, m'inspire espoir! Et je tiens sincèrement à ce que vous me,disiez ce que vous en pensez! 

 Au plus profond de moi, j'espère avoir une âme littéraire!

 Moustiques

Dans l'interminable nuit nocturne,

Seule et ésseulée dans ma forteresse de solitude,

J'échoue sur une grotesque dune.

D'une couleur noire maussade,

Elle m'attire dans ses désastres rudes,

Et le temps coulent entre mes doigts ouverts,

S'approchant de l'effroyable lendemain.

Affrontement inlassable entre l'homme et la bête, 

Son sang froid a besoin de se réchauffer,

Sa  quête inlassable ne prendra jamais fin,

A moins de la mort de cet effroyable cousin.

Tonnerre assourdissant de l'avion en attaque,

Sifflement strident des bombes qui traquent.

Le paysage est floue,

On ne peut échapper à 

l'Incroyable, l'Abominable, la Détestable vérité.

La bête,

Au therme d'un long combat a remporté la mise,

Le perdant doit offrit son sang

à l'animal vorace, en phase.

Ainsi, la dune source de malheurs.

Aura permis à la bête de dompter l'homme,

Et cette désagréable nuit va continuer,

sans que les paupières se posent sur les yeux, 

pour les couper du vilain monde.

Mirroir du mal même

Outrage à l'humanité

Uni.quement pour sa fin personnelle

S'empresse de nous brutaliser pendant lors du sommeil

Trompe qu'il utilise comme outil de torture

Impuissant, nous assistons à notre échec.

Que la douleur et les cris surviennent

Umble, il nous laisse nous déssecher dans l'inlassable nuit

Et repars le ventre plein et les babines biens rouges

Seul une chaussure pourra enfin l'arrêter.

Si je devais vous décrire cette nuit,

Ce serait comme une nuit noire, où seule quelques rayons de lumières arrivaient à transpercer les volets.

Silence lourd, sans fin.

Je cherchais veinement à trouver le sommeil jusqu'à ce bourdonnement,

Ce bruit s'attardant quelques secondes à la lisière de mes oreilles.

Je commençais à rentrer dans une rage folle.

Ils ne vont pas recommencer ces satanés moustiques... A peine en vacances qu'il venaient vous extirper de cette délicieuse joie.

Un flot d'adrénaline commença à couler dans mes veines.

Je vais l'attraper et la tuer cette carne là!

Au final, après quelques heures de réveil matinal, je trouvais subitement une espèce d'inspiration m'insitant à écrire ces deux poèmes.

Et voilà le résultat!

Quant au moustique, je crois bien qu'il n'a été que le fruit de mon imagination...

INFAME STUPIDITE! Niark niark ( rire sadique... J'ai qqch avec ces deux mots... ^^' )

Une longue bataille

La liberté de la femme,

ne sera achetée qu'au thermes d'encore nombreuses batailles.

Encagoulées, frappées, violées,

Toujours soumise à une véritable torture,

Ces hommes vils et sans scupules,

N'hésitent pas à la faire travailler sans relâche

jusqu'à la mort de cette populace.

La liberté de la femme,

Est encore cachée sous la lumière d'un chandail,

Aimée, adorée, vénérée, elles sont parfois respectées.

Cette dure conquête sera peut-être atteinte dans un futur,

En attendant l'égalité entre les hommes est encore ridicule,

Comment pourrait-on songer à un monde juste lorsqu'il est peuplé de tous ces lâches,

Que l'inégalité trépasse.

Ce poème m'est venue à l'esprit alors que je regardais un reportage sur la condition de vie des femmes dans certains pays et je dois avouer que cela m'a plutôt dégoutée.

Ce " poème " pourrait paraître dépasser pour certaines personnes mais il reflète mes pensées durant mes colères froides quand il est question de se.xisme.

A vrai dire, même dans des pays développpés et riches comme la France, il reste quand même des inégalités hommes/femmes.

Une fois, alors que j'étais chez des amis ( si si, ils ne sont pas méchants! malgré leur indélicatesse! )

j'ai du admirer pendant 30min des garçons faire des tractions et des figures de gym comme une idiote et non sans un certains mépris. Durant ce temps infiniment longs, j'ai du voir leur corps se tortionner, entendre leur souffle rauque. Ce fut un très long et extrèmement ennuyeux. Entre eux, il se disaient " t'es cap' de faire 5 tractions de suite? " et à moi, ils ne m'ont pas proposé une seule fois de faire ne serait-ce qu'une traction. La faute est humaine, certes, mais avec cet ignorement, j'aurais pu considérer qu'il pensait que j'étais une fille ne sachant même pas courrir.

Bien sur, je connais des gars supers gentils et comprèhensifs et ce que j'ai écris ne correspondait que à quelques hommes mais bon... 

L'inégalité persiste!

Face cachée

Dans cette continuité d'inlassable nuit,

Mes pensées divaguant tel un félin d'assaut,

Songeant à la nature de mes sentiments

enfouis dans cette chose sans fond qu'est ce puit,

Je compris enfin d'où venait ce soubresaut,

Plus qu'amitié il se rapprochait d'un étonnement.

Je ne l'avais jamais connu,

cette chose me faisant défaillir.

Ainsi cette étrange équation, 

de désespoir et passion,

d'une éternelle admiration,

peuplée d'incroyable émotion,

Me conduisit à déception.

Sa beauté n'ayant et n'aura d'équivalent

M'envoie balader dans un monde sans pitié,

Dans lequel je m'essoufle à l'agonie.

Sybillin sentiment qu'est cette capture du mon être.

Lorsque je le vois,

Mille aiguilles s'enfoncent en moi.

Lorsqu'il me sourit,

Mille oiseaux s'envolent en charpie.

Son corps taillé à la perfection,

Ses yeux émeraudes déclenche le carillion,

des soubresauts de mon coeur.

Ne t'aurais-je donc jamais souffle de beauté?

Escale de mon tra in reparti à jamais?

Je dois aujourd'hui te considérer comme passé.

Seul tes souvenirs ne seront pas oubliés.