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ellfira
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https://www.youtube.com/watch?v=0rAgQeb3M-8

 Donner moi vos avis et n'hésiter surtout pas à voter ça m'aide beaucoup ^_^

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Enfin, cette année 2014 est terminée !

Trop de chômage, trop d’accidents, trop de guerres, trop de misère.

L’année 2015 sera bien meilleure, c’est mon petit doigt qui me l’a dit.

Et vous allez en profiter pleinement !

C’est en tous les cas tout le bien que je vous souhaite.

 

 

 

L'hsitoire est en pause pour le moment, il faut que je ate mon très chers ordinateur.

Ecriture du chapitre 2 prévu pour Samedi

400/1000 mots

Bande annonce disponible sur http://youtu.be/WbgoA1o1X3I ou sur la page FB 

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Sans titre

Nouveau trailer sur YOUTUBE 

 

En ce moment je rencontre quelque problème je ne pourrais donc plus posté pendant une période indetérminèe.

Vous trouverez les chapitres ici , au bout de 10 chapitres, vous ne trouverez plus les premiers pour permettre une meilleure fluidité ^^. Bonne lecture

Sacher également que je ne suis pas parfaite, je sais qu'il y a des erreurs de syntaxe et d'orthographe alors ce qui est mieux que de me crier dessus c'est de m'en faire part vous ne croyez pas ?

Plusieurs d'entre vous m'ont demandé le nom de ma dollz principal, donc oui j'ai une doll'z principal, mais à vous de découvrir qui suis-je ^^!

 D'autres m'ont demandé mon âge, eh bien sacher que j'aurais 13 ans le premier décembre et que je rentre en quatrième ^^!

 Ah oui j'oubliais je m'appelle Imane mais appelez-moi Ephira  oui Ephira Heartfilia  mon nom "d'écrivaine du web" ^^

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Prologue

Avez-vous déjà entendu parler d'Elfira? Citée autrefois connue par tous, peuplée par des êtres dont aujourd'hui vous ignorez l'existence, ou du moins vous ne voulez pas l'admettre! Du nom d’Elfiriens. Cette cité autrefois florissante abritait toutes sortes de créatures magiques, ils vivaient tous en harmonie avec les humains, du moins jusqu'à que ces derniers deviennent avides de pouvoir ! C’est alors qu’un jour, la cité disparue comme ça, sans que l'on n'en sache rien. Au fil du temps, on nomma le royaume d’Elfira cité caché et elle devenu une légende, un mythe, désormais plus personne ny crois ...

Plusieurs années se sont écoulé la cité restait toujours florissant mais pour combien de temps? Depuis des générations ce sont les femmes qui montaient sur le trône d'Elfira, ce qui jusqu'à présent n'avait jamais déplu à personne, du moins avant. Aiden, prince d'Elfira et ainé de la famille royale, jeune homme orgueilleux et arrogant, n’était pas ce que l'on pourrait appeler un modèle de sagesse. De caractère déterminé, celui-ci est prêt à tout pour obtenir ce qu’il veut. Or, cette fois-ci, la tache risquerait d’être rude car pour les Elfiriens, il était inconvenable que ce soit un homme qui monte sur le trône sauf si par malheur, la reine ne mettait pas de fille au monde. Il avait tant prié, jour et nuit, pour que cela n’arrive pas. Malheureusement pour lui, il eut une sœur

 Après sa naissance on n'eut plus entendu parler de lui pendant un an, personne ne savait où il était allé, ni ce qu’il faisait. La seule chose que l’on savait, c'est qu'il tramait quelque chose dans l'ombre. Cela était bien vrai, voilà maintenant 16 ans qu’Elfira fut tombé, tombés entre les mains d’ennemi, tombé entre les mains d'Aiden. L'année où il avait disparu, il avait mis au point un plan afin de diriger Elfira, mais il ne pouvait pas faire tomber le royaume tout seul même avec tous ses efforts et toute sa détermination, il n'y arriverait pas, alors il voyagea, trouva des volontaires, des ennemis ! Quand il acheva tous les préparatifs, Il fit un coup d'État. On dit que la famille royale vis à présent recluse mais l'on ne sait pas comment la jeune princesse a disparu, les rumeurs sont nombreuses mais que s'est-il réellement passée ? 

Berklin, jolie ville portuaire, elle accueille chaque jour plusieurs milliers de bateaux et possède une économie stable. Parmi toutes ces personnes se trouve Avalon jeune fille âgée de 17 ans, apprécier par beaucoup, cependant, elle n’était pas comme les autres. De magnifiques yeux bleu clair qui vous envoûtent dès le premier regard. Une peau très pâle, ainsi qu'un visage fin. De longs cheveux bruns soyeux, qui lui arrivent jusqu'au bas du dos, souvent attaché en gueux de cheval. On ne pouvait pas dire qu'Avalon était très féminine. Elle est plutôt le genre de fille calme, pas vraiment timide.! C'est un vrai rat de bibliothèque qui adore lire. Elle pouvait passer des heures entières devant toutes sortes de livres tous aussi passionnants les uns que les autres et parfois même être plongé dans l’histoire au point se prendre pour le protagoniste! Elle aime tellement ça qu’il lui arrivait parfois d’être sur la lune, ce qui lui a valu d’ailleurs plusieurs convocations!

Mais cette frêle jeune fille ne sait pas encore qu'elle porte les espoirs de tout un peuple sur ses frêles épaules, va-t-elle y arriver ?


J'aimerais remercier anko-san qui m'a beaucoup aidé avec la correction ^^!

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La nuit avait disparu doucement, laissant place au premier rayon de soleil qui pointait à l'horizon depuis déjà quelque heure. Le réveil retenti, elle finit donc par se réveiller, s'étire doucement comme à son habitude, elle scrutait chaque recoin de sa chambre, pour enfin tomber sur une affiche, un poster si vous préférez. Un poster, mais, Avalon n'étant pas une fille comme les autres son affiche ne représentait pas un groupe de musique ou une actrice, loin de là, il, représentait l'un des personnages de fiction d'un des nombreux romans qu'elle avait lu, il s'accordait parfaitement au mur bleu pâle de la chambre. En parlant de la chambre, elle était dans un état pas possible, des livres de tous les cotes, par terre, sur le bureau, le lit. Le ménage et l'organisation n'étaient pas les points forts d'Avalon, loin de là.

Elle regarda son réveil : 10 heures ? Elle avait imaginé tout un planning. Organiser sa journée de A à Z, elle devait se réveiller à 8 heures, aller courir un peu, pour perdre un peu de poids, non pas pour qu'elle ne se trouve pas belle, mais pour qu'elle reste en bonne santé. De là, elle serait allée à la bibliothèque, dévorant les livres, laissant son esprit faire le reste. Mais il est 10 heures et ce maudit réveil qui ne fonctionnaient pas correctement. Laissant s'échapper un soupir, elle se rappela ce qu'elle avait fait la veille pour se réveiller aussi tard. Après tout, elle n'était pas du genre à faire la fête ou encore pire de boire de l'alcool. Alors pourquoi c'est-elle réveillée aussi tard. Ah oui finit-elle par dire, elle avait lu toute la nuit un roman qu'elle avait emprunté et en avait oublié l'heure se couchant donc à trois heures du matin. Mais qu'elle idiote. Mais son réveil lui, aussi étant en faute se surprit-elle à penser, après tout, c'est lui qui n'a pas correctement fonctionné et n'a pas sonner à l'heure.
Se relevant correctement de son lit, elle se dirigea vers la salle de bain, assez belle. Après tout sa mère avait décidé de prendre en main toute la décoration de la maison, il y un an. Tous sont neuf, selon elle, c'était dépassé de mode. Il fallait quelque chose de neuf et qui est à la mode, et quand elle se met quelque chose en tête, elle ne renonce jamais. Une vraie tête de mule, son père n'a pas riposter. Du moins n'en a pas eu le courage. Il avait épousé cette femme après tout, il savait de quoi elle était capable. Et ne voulait surtout pas s'attirer ses foudres, rares sont ceux qui osent lui opposer tête et il ne voulait surtout pas en faire partit. Surtout pour des choses aussi futiles. Avalon avait décidé elle aussi de faire comme lui, tel père t'elle fille dit-on.

Elle se doucha donc rapidement, même très rapidement pour une fille. À peine, dix minutes, elle est surement l'une des filles les plus rapides pour ça, qui sait ? Se séchant rapidement, encore oui, mais elle était en retard donc c'est normal, donc reprenons. Séchant ses cheveux rapidement et les attacha en chignons. Il était mal fait, mais elle ne se souciait pas de son apparence. Vous vous douter donc qu'elle ne mette pas de maquillage si ce n'est très peu, pour elle se ne sont que des artifices. La beauté vient du cœur selon elle, et malheureusement, il n'y avait pas de maquillage pour camoufler la ***té intérieure. C'était vraiment dommage selon elle ...
Elle se dirigea rapidement vers son armoire, s'arrêta, l'ouvrit, scrutant des yeux chacun de ses vêtements, elle finit par s'arrêter sur des vêtements, un jean noir, avec un petit top bleu. C'était simple, mais ça lui suffisait. Elle n'avait pas besoin de plus.
Bien qu'elle ait perdu son temps, elle avait tout de même l'intention de se rendre quelque part. Après tout, elle n'allait pas gâcher sa journée à cause d'une regrettable erreur de réveil. Mais avant tout, il fallait qu'elle fasse quelque chose, quelque chose de très important, manger. Oui, il fallait tout de même qu'elle reste en bonne santé. Mais avant de se diriger vers la cuisine, il fallait qu'elle sache ce qu'elle allait manger. Après quelque minute de réflexion, elle savait déjà. « Aujourd'hui se sera pain au chocolat avec un vers de jus d'orange » se dit-elle. Elle avait acheté le jus d'orange un jour plus tôt, c'était son préférée. Elle ne pouvait s'imaginer sans lui, c'était devenu une habitude chez elle. Hier, elle avait failli ne pas pouvoir l'acheter. Heureusement, il en restait un. Sinon vous ne  pourriez même pas imaginée ce qui serait arrivée au vendeur .

Elle se dirigea donc vers la cuisine. Empruntant l'escalier, en bois très esthétique et qui allais parfaitement avec le plancher. Mais là, elle surprit une conversation entre son père et sa mère pour le moins étrange.
« Chérie il est temps de lui dire elle à dix-sept ans et bientôt dix-huit, elle a le droit de savoir » Finit par dire son père
« Mais ... Mais elle est encore jeune, je ne veux pas la perdre, alors encore un peu, laisse-moi encore un peu de temps, je t'en supplie, » avait-elle finit par lui répondre désemparer
Il soupira-t-il faudra bien lui dire un jour ou l'autre, on l'avait promis.»
Avalon fut très surprise, depuis toute petite ses parents ne lui avait jamais rien caché. Alors pourquoi ne pas lui dire, il ne lui faisait pas confiance ? Elle rentra dans la cuisine prête à leur poser la question.
« Bonjour » ils se retournèrent et se redirent, surpris, tout en se lançant des regards qui voulait tout et rien dire « à t'elle entendue ? »
« Bonjour chéri » dirent t'ils en cœur avec un sourire aux lèvres, elle voyait dans leurs yeux de l'angoisse
« Vous parliez ?» Leur lança-t-elle enfin après plusieurs minutes de silence, leur jetant un regard inquisiteur, ils avaient compris où elle voulait en venir.
Ils la regardèrent avec des yeux ronds, hésitant à répondre sa mère à tout de même finit par parler
« On parlait juste du travail de ton père Chérie, rien de bien important »

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Voilà après un long moment à vous avoir fait poireautée le nouveau chapitre (et le seul x) ) est enfin arrivé , je dois avouer avoir changer de style d'écriture habituelle , mais j'ai bien aussi celui-ci , interloquer avec le lecteur c'est bien aussi je trouve , pas de news concernant Elfira , dommage pour vous XD n'hésiter surtout pas à commenter et à voter ! Les avis négatif (et bien construit) comme positif sont les bienvenue ^^.

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S

Elle soupira, elle savait que têtue comme était sa mère, elle n'allait rien lui dire. Lui sortir un monologue sur la confiance et sur le fait que si elle lui dit qu'il n'y a rien, c'est qu'il n'y a rien. Et à vrai dire, elle était déjà assez en retard pour perdre encore plus de temps qu'elle n'en avait déjà perdu. Elle ne voulait surtout pas s'aventurer sur ce térain avec sa mère. Elle en avait déjà payé les frais. Elle déposa son gilet sur la chaise et s'assit. Elle prit un verre de jus et un croissant, mangeant rapidement. Elle prit son gilet, embrassa sa mère puis son père lâchant un "au revoir". Quant à son père, il ne put s'empêcher de lui lâcher un "fais attention à toi petit cœur".

"Petit cœur ", c'est comme ça qu'il l'appelait depuis toujours, elle s'y était faite. Malgré ses allures de gros durs qu'il utilise au travail pour les "méchants criminels" et pour "d'éventuel petit ami" il était quelqu'un qui adorait sa petite princesse comme il aimait si bien l'appeler.

 

Au fond, c'était un père comme tous les pères, qui aimait sa petite fille plus que tout.

Avalon était sur le chemin de la bibliothèque, ça devait faire au moins dix bonnes minutes qu'elle marchait si ce n'est plus. Elle n'avait pas fait attention. Elle était enfin devant le vieux bâtiment avec une grande pancarte "Bibliothèque municipale de Berklin" . Elle venait au moins une fois par semaine depuis qu'elle était en âge de lire. Au début, elle venait avec sa mère. Dès qu'elle a commencé à avoir 12 ans, c'est son père qui la déposait, bien qu'elle était assez grande pour y aller toute seule selon sa mère, il ne voulait pas prétextant qu'elle était encore trop jeune. C'était un papa poule. Depuis ses 15 ans, son père a enfin voulu la laisser partir seule. Elle connaissait cet établissement par cœur jusqu'aux moindres recoins. Chaque livre ou presque, chaque étagère, et même les bibliothécaires. Elle passa devant, les saluant brièvement de la main avec un petit bonjour, qu'elles lui rendirent tout aussitôt. Il y avait déjà Beverly, elle était là depuis un an, elle remplaçait l'ancienne bibliothécaire Catherina qui avait décidé de prendre sa retraite.

 

Beverly était le stéréotype parfait de la blonde idiote aux .es généreuses, la fille facile en quelque sorte. Toute la ville savait qu'elle n'avait eu ce travail seulement car c'est la nièce de la femme du maire et qu'il ne refusait jamais rien à sa femme. Elle ne faisait rien de ses journées si ce n'est s'asseoir, se maquiller et lancer un petit bonjour. Celle qui fait tout le travail, c'est Elizabeth. Dans la quarantaine cette mère de famille adore la littérature, c'est sûrement pour ça qu'elle fait ce travail, à certains moments, Avalon la plaint, c'est elle qui fait tout le travail dans la bibliothèque, alors dès qu'elle a un peu de temps cette dernière vient l'aider. Dès qu'Elizabeth n'est pas occupée, elle propose des livres à Avalon.

 

Elle se dirigea vers plusieurs étagères feuilletant chaque rangée à la recherche d'une en particulier. Bingo. Elle l'avait trouvé dans les C. "Cavalier Vert, Tome 2 : La première cavalière" elle avait lu le tome 1 une semaine plus tôt et comment dire, elle en était tombée follement amoureuse. Elle l'avait découvert grâce à l'un des nombreux forums en ligne, Julie l'une de ses "amies d'internet" l'avait supplié et encore, c'était trop faible de l'acheter. Elle avait longuement hésité au début, mais il ne lui a fallu seulement une citation du livre pour qu'elle tombe sous le charme.

"Personne ne choisissait de devenir un Cavalier Vert ; on était appelé à servir. Un appel de la magie, d'après ce qu'elle avait compris. Un appel irrésistible, inflexible, qui pouvait briser l'esprit de la personne qui n'en tenait pas compte."

Cette seule et uni.que partie. Elle le prit donc et alla s'asseoir sur l'un des nombreux canapés, ouvrit la première page, et se laissa aller pour le fabuleux monde imaginaire que lui offrait la lecture...

 

 

 

 

Elle lisait, elle ne saurait dire depuis combien de temps, pour elle seulement quelques minutes étaient passées. Soudain, elle sentit une légère pression sur ses bras et une douce voix lui parler :

" Avalon ma chérie ? C'était Elizabeth ou Eliza comme Avalon aimait l'appeler.

- Hum quoi ? Grogna-t-elle.

- Je sais que tu n'aimes pas que je t'interrompe mais ça va bientôt être l'heure de fermer, il est 19 heures.

- Quoi ? Déjà ? dit-t-elle surprise."

Ce n'était pas vrai, elle avait passé la moitié de sa journée ici et elle ne s'en était même pas rendue compte, elle était tellement absorbée par sa lecture qu'elle en oublia le reste. Elle se leva donc, prit le livre et demanda à l'emprunter, elle n'aimait pas ne pas finir un livre, c'est impossible pour elle. Elle embrassa Eliza et s'en alla, elle partit en laissant échapper un bonsoir pour Beverly, après tout si elle était cruche ce n'était pas de sa faute se dit-elle et il valait mieux avoir un minimum de respect.

 

Elle sortit son portable pour voir si elle avait reçu d'éventuel appel, après tout, elle n'avait que le numéro de son père, de sa mère et des urgences, elle n'aimait pas passer sa journée à parler, du moins pas avec un portable. Elle savait qu'en rentrant, elle allait se faire taper les doigts pour avoir pris autant de temps. Mais soudain, elle tomba sur un message sur sa boîte vocale pour le moins bizarre. Sa mère lui demandait de rentrer rapidement, c'était urgent. Elle avait l'air d'avoir peur, on aurait dit qu'elle était paniquée, elle accéléra le pas.

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Voilà désolée pour tout ce retard, correction approfondie en cours. J'ai récupéré mon ordi il y a tout juste une réponse. Le chapitre 3 va faire un peu clicher et déjà vu, mais on va se le dire franchement, je n'ai tout simplement pas d'autre idée pour faire passer Avalon à Elfira. Bande annonce crée soyez un tout petit peux indulgent je n'en avais jamais fait xD trouvez là sur ma page fb ou dans les média sur Wattpad ^-^.

 Page Facebook crée Ephira Heartifilia veiller bien a ce que se soient la page et non pas la personne. 

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CHAPITRE 3

Quelque par

Il était la accoudé au balcon, regardant au loin l’horizon, le soleil couchant, les contrées les plus éloignée .Oui après tout ce travail acharnée c’était enfin à lui. Il en avait tellement rêvé. Et il ne regrette en rien ce qu’il a fait pour l’obtenir, c’était son destin. Un jeune homme le rejoignit, il exécuta une légère courbette, d’une voix tremblante, surement du  la peur que lui évoquait cette homme il lui dit « On la retrouvée ». Un léger rictus se dessina sur son visage, ces traitres l’avaient enlevée mais il l’avait retrouvée après toutes ces années. Voilà il pouvait enfin mettre son plan à exécution rien ne pouvait plus autant le satisfaire. Il lui fit un  léger signe de la main lui intiment de partir son sourire toujours coller aux lèvres…

Dans une certaine rue à Brooklin …

Elle se pressait toujours plus, elle était toute retourné, jamais au grand jamais  sa mère ne lui avait paru aussi troubler. D’habitude elle contrôlait ces sentiments d’une main de fer,  elle ne montrait jamais si quelque chose l’agaçait, aucun muscle de son visage ne se contractait et surtout sa voix restait toujours impassible. Elle pouvait néanmoins vous faire savoir son agacement a travers des phrase pour le moins iro*** et pouvait vous faire taire dans n’importe quelle situation avec un seule mot, qu’elle qu’elle soit. Mais la non, on s’entait quelque trembler de tout son être. Qu’avait donc t’il put se passer ? Quelqu’un de mort ? A  vrai dire elle n’avait aucun cousin, tante ou même grands parents ils étaient morts et ces parents étaient  enfant u***, lui aurait-il caché qu’il avait un frère ou une sœur ?!  Impossible ! Ou alors c’était son père qui devait avoir eu un accident, elle chassa ses penser négative et accélèrent le pas, ou aurait presque pu dire qu’elle courait.

Maison droit devant, plus que quelque pas et Avalon arriverait enfin chez elle. Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf et dix.

Elle rentra chez elle stressée, lançant un « vous êtes ou ?», au passage,  elle trouva ses parents au salon. Elle fut un peu soulagée de voire que sa deuxième hypothèse n’était pas la bonne après tout son père était là. Sa mère avança vers elle d’un pas décidée et la pris dans ses bras.

« Il faut qu’on parte »  lui glissa-t-elle à l’oreille, en caressant ses cheveux, c’est tout ce qu’elle lui avait dit, ses mots repassait toujours et toujours dans sa tête, comment ça il faut qu’on parte ?

« Pourquoi ? » fut tout ce que pu dire Avalon sur le moment, aucun autre mot ni son ne put sortir.

Elle s’éloigna un peu d’elle pour l’avoir parfaitement dans son champ de vision. Sa mère soupira,  passa sa main dans ses cheveux, parfaitement coiffée au passage, ce qu’elle ne fait jamais. « Ils nous ont retrouvées, ils t’on retrouvée ».

L’inquiétude monta, sa tête commençait a tournée, qu’avaient t’ils donc pu faire pour qu’ont les recherche, non qu’avait elle, elle put faire pour qu’ont la recherche ?

Son père qui jusque-là n’était pas intervenue pris la parole, lui qui d’habitude laissais toujours faire sa femme.

« Ma chérie s’est assez compliquée, il se gratta ses cheveux puis continua, tu vois il y a dix-sept ans nous n’habitions pas dans cette ville, a vrai dire nous n’habitions pas dans ce continent tout cours, si on peut dire ça comme ça. Moi et ta mère on a appris qu’ont l’on ne pourrait pas avoir d’enfant, et toi eh bien tu es née dans une situation assez comp***, tes … tes parents t’ont confié à nous pour ta propre sécurité,  cause d’une personne, et pour lui échapper nous t’avons ramenée ici… » Non elle ne pouvait pas en entendre plus, c’était inconcevable, elle aurait pu imaginer toute sorte de scénario aussi loufoque les uns des autres, que ses parents sois des dealers de drogue, qu’ils aient des dettes ou même qu’il est tués quelqu’un mais pas celui-là. Et après tout comment pouvait-il oser l’appeler leur fille ? Et encore ce n’est pas le ait d’être comme qui dirait adoptée qu’ils lui fassent le plus mal, c’est qu’ils ne lui ont rien dit, au grand jamais rien dit. Ils lui ont mentit toute ses année, ou plutôt lui ont cachée la vérité toute ces années. Et lui ils lui balancent, car oui il n’y a pas de meilleurs terme, comme ça comme si c’était naturelle.  Et encore si il n’y avait pas eu se soit disant « ils » ils ne lui auraient jamais rien dit, elle aurait été dans sa tombe qu’elle n’en aurait rien scène était trop, elle en avait lu des histoires du style, un peu clichée pour elle, elle se disait toujours que les personnages en fessait trop, mais là elle comprend vraiment. Oui elle comprend ce sentiment de traitrise qui consume son âme. Une larme silencieuse roule sur sa jour, deux, trois, quatre. Elle prend sa tête entre ses mains. Sa lui fait mal au plus profond d’elle-même, jamais elle n’avait ressenti pareil douleurs. Ses parents, si on peut les appelez comme ça, la regardait impuissant, sa « mère » a bien essayée de la prendre dans ses bras mes rien ni fait elle la repousse, quand  son père eh bien il reste la figée, sans vraiment savoir quoi faire. Comment un phrase pouvait-elle faire aussi mal, son cœur bat si fort qu’elle croit qu’il va exploser, mais elle, oui  elle est toujours là, figée en pleurent toujours aussi silencieusement. Après tout à quoi bon faire une crise, éclatée en sanglots et faire part de sa souffrance au monde entier? Le mal était fait et rien ne pouvait l’atténuer, même pas des excuses. Aussi sincère et grandiose soit elle.

Un silence pesant c’était installée, c’était finalement son père qui l’avait rompu « on … on doit y aller »

Avalon n’avait plus aucune envie de répliquée, elle se dirigea vers sa chambre, t’elle un robot, a peu de chose près, si ce n’est que ce n’est pas un robot.

Elle avait seulement pris une valise et un sac en y rangent principalement ses livres, comme quoi on ne change pas et quelque vêtement.

Mais c’est à ce moment-là qu’elle entend un bruit, ou plutôt un combat, elle se dépêche de descendre, pour tomber née à née avec son père et un homme, assez robuste, il devait avoir la quarantaine ou du moins dans les environs de la quarantaine. On pouvait apercevoir quelques cheveux  blancs par si, par là. Là tout de suite, elle n’aurait pu dire qui allait gagner, il devait avoir la même force. C’était sans comptez l’intervention de sa mère dans cette histoire, et il faut l’avouer elle se défendait plutôt bien, du moins pour l’image qu’elle se fessait d’elle.

Mais là un étrange phénomène se produit  à ce moment même, un bruit strident se fit entendre, un peu comme les cris d’une chauve-souris, puissance fois 100…

 

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CHAPITRE 4


 

 Elle se réveille doucement sa tête lui fait un mal de chien. Elle ouvre enfin les yeux, et là elle remarque enfin. Elle se trouve dans une cellule sombre, équipée de seulement un banc. Le genre d’endroit  lugubre, froid et surtout qui vous fou la chair de poule. On aurait dit une prison, vous voyez les prisons d’époque, ou plutôt les cachots. Elle se croirait tout droit dans un de ses romans d’aventure qui se passe au moyens Age.  Comment a-t-elle pu arriver là, elle se remémore les dernier incident. Tour d’abord la déclaration de ses parents, ou plutôt de ses personne car elle ne sait pas vraiment qui ils sont, ensuite la venue de se gros gaillard chez elle, le combat et enfin de cris strident et après c’est le trou noir, elle ne se souvient de rien, elle a surement dut s’évanouir. Mais comment a-t-elle atterrie ici, là est la véritable question. Dans ce… ce trou à rat, car oui elle n’a pas atterrie ici par magie, c’est contre tous les principes physique, et tous les principes tout cours, on ne trouve ça que dans les films ou encore dans les centaines de livres qu’elle lit. Mais dans la vie réelle ça n’existe pas. Elle se lève difficilement, sa tête lui fait un mal de chien,  c’est surement ce que les gens ressente dès qu’il on but mais là ce n’est pas le cas. Peut-être qu’elle a été kidnappé et qu’ont la droguée sans le savoir « stop toute tes pensée ma vielle, on n’est pas dans un film ». A ce moment-là, elle ne peut s’empêcher de pensée à la dernière parole que sa mère lui a dite. « Ils nous ont retrouvées, ils t’on retrouvée ».

 

Qui l’a retrouvée ? Et pourquoi retrouvée ? Plus elle se posait des questions et plus elle ne trouvait pas de réponse. Elle était perdu, tout était plus simple avant ce matin, après tout ça devait être un jour normale.  Mais c’était tous sauf ça. Déjà on lui apprend que ce n’est pas une Lewis, qu’a la recherche. Du grand n’importe quoi et puis quoi encore. Autant bientôt on va lui dire que le Papa noël existe. Elle secoue négativement la tête, à quoi bon toute ses sombres pensée ?

« Il y a quelqu’un ? ».Elle ne s’attendait pas vraiment à ce qu’on lui réponde c’était juste pour tester, mais au fond d’elle elle l’espérait intérieurement, mais si elle ne l’avouera pas.

Mais là à son plus désarroi, elle entend « qui est là ? » et voit un silhouette qui s’approche d’elle. Elle est fine est élancée, elle s’approche d’elle d’une démarche chaloupée, elle réussit à entrevoir des yeux,  oui des yeux, malgré l’obscurité elle put voire qu’ils étaient noire, assez quelconque mais il avait quelque chose, une petite lueur. Elle aperçoit alors les e c’est une femme, grande elle a de beau cheveux blond, blond latine, mais il paraissait si naturelle.  Finalement la blonde lui lance un « 

- Que fais-tu là

-Je… je me le demande le demande moi-même, ou suis-je ?

-Hey Adonis, on a un petit problème, une gamine, un gamine elle et puis quoi encore, goujat

-Comment ça une gamine, il ne devait y avoir qu’Aksel et personne d’autre

- Je ne sais pas moi, qu’est-ce que tu veux que je te dise, elle a dit qu’elle ne sait pas où elle est.

-On à pas le temps-là ramène là, on verra au QJ avec l’autre merdeux qui nous sert de chef.

Avait qu’Avalon ne puissent répliquée quoi que ce soit, elle vi qu’on ouvrait la porte et qu’ont la prenait pas le bras. Elle a bien essayée de se défaire, mais cette jeune femme avait une poigne de fer, malgré les apparences. Elle aperçut une autre silhouette, surement son coéquipier, était-il des voleurs. Assez grand, roux, de sa vie elle n’avait pas vu beaucoup de roux, assez rare, dans son lycée on pouvait les comptée sur les doigts d’une main. Il avait l’air d’avoir passée sa vie dans une salle de sport, avec sa musculature, qu’elle ne put qu’admirer, elle se demandait comment les garçons fessaient pour toujours en avoir plus. Il était assez grand elle dirait vers les 1 mètre 80,85 et ne lui donnait pas la vingtaine, qui ce n’est pas plus de vingt-cinq, vingt-six ans. Avec sa carrure, elle aurait cru avoir à faire à un footballer américain. Il fit un signe de la main à la jeune blonde, ou plutôt miss blondasse comme l’aimait désormais l’appeler Avalon, après tout elle l’avait traitée de gamine. Lui signifiant de se dépêchée il accéléra le pas, un peu trop vite pour Avalon.  Ils quittèrent le bâtiment, et marchèrent  à travers des routes bondées qu’elle ne connaissait pas, un style architectural d’époque devant elle. Les gens quand eu, eh bien que dire, il avait une fassent assez étrange de s’habiller. Elle se serait vraiment cru quelque siècle plus tôt, elle fessait vraiment tache devant eux, un style vraiment, mais vraiment décalée. Mais ce n’était pas le plus important. Après tout ou l’emmenée contre son grès a ? Elle ne savait même pas ou ? Dans une ville qu’elle ne connaissait pas, car elle se souviendrait d’avoir vu un quartier pareil dans la ville où elle habite. C’est surement un rêve, un très mauvais rêve. Après tout une journée aussi étrange ne peux pas exister ?! Pas vrai. Bientôt elle va devenir dépressive. Il faut qu’elle se pince et tout redeviendra comme avant. Oui rien ne se serait jamais passé.

« Et toi, là, là blondasse, pince moi s’il te plait, le terme blondasse lui avait échappée  vrai dire

-Quoi, elle semblait étonnait de voire Avalon parlé

-C’est qu’elle parle la minette, avait rajoutée son compagnons

-Je te demande de me pincer, je dois juste être dans un rêve et après je vais me réveiller, c’est sûr, elle n’avait pas pris en compte la remarque de monsieur gros muscle

-Rêver ? Et puis quoi encore, elle doit devenir folle la gamine, et comme si ça ne suffisait pas elle tirait encore plus fort sur le bras d’Avalon, dépassant son amie. Lui à vrai dire était assez surpris des questions d’Avalon, il ne s’y attendait, mais vraiment ne s’y attendais pas du tout. D’où pouvait venir cette minette ?

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Des rues, des rues et encore des rues. Avalon ne saurait vous dire combien de minute si ce n'est d'heure elle marche. Mais ça lui parait interminable. Aussi interminable que d'escalader le mont-blanc ou même de courir tout le long de la muraille de chine. Et voilà que maintenant son pied commençait à faire des siennes, elle se demandait d'où pouvaient-ils tenir une force aussi, phénoménale. Elle ne saurait dire ou elle est. Pour elle, les façades se ressemblent toute, et surtout cette ville lui est inconnu. Elle parait si médiévale mais en même temps si moderne, bien que ce soit impossible. Mais ces lieux lui paraissent tellement familiers, vous savez cette impression de déjà vu, alors que concrètement, vous n'avez jamais de pied dans un endroit ou alors vous êtes amnésique. Avalon elle pencherait vers la première option.

Tout d'un coup, la blondasse s'arrête dans une petite ruelle, manquant de faire trébucher Avalon, devant une vielle demeure délabrée qui contraste avec les beaux bâtiments qu'elle a déjà vus. Les pas de la jeune femme devant elle, se font de plus en plus ralentit. Ils rentrent dans le bâtiment devant eux. Assez grand bien que peux accueillant. De part par les toiles d'araignée que l'on trouve sur le seuil de la porte au vieux béton qui donne l'impression que le bâtiment risque de s'écrouler d'un moment à un autre. C'est avec le cœur lourd qu'Avaloir rentre dans ce bâtiment, non sans quelque prière au cas où. Qui sait ?

Après avoir monté quelques marches d'escalier, le trio arrive dans ce qui semble être une salle commune. Plusieurs tables, ainsi que plusieurs personnes, le rouquin qui de ce qu'elle avait compris s'appelais Adonis la prit par le bras, elle la ramena au bar. En train de parler avec plusieurs personnes, elle découvrit un jeune blond. Il fit une petite accolade à Adonis. Et ne sembla pas vouloir quitter la jeune blonde des yeux. Lui décrochant par la même occasion un magnifique sourire. Le jeune blond fini par prendre la parole.

« - Eh Ilric, il se trouve ou Zach ?

-Comment ça va petite beauté ? Dans son bureau, je ne te conseille pas d'aller le voir tout de suite Elora, il a prévenu qu'il ne voulait voir personne.

-Tant pis, on a un problème, et tu sais bien qu'il ne me fera rien a moi, surtout si je suis avec Adonis. »

Le jeune blond ne sembla même pas avoir remarqué Avalon jusqu'au moment où il posa la question.

« Qui est cette jeune beauté prés de toi Elora ?

_c'est notre problème, répond la blonde

-elle, un problème impossi... »

Et avant qu'il ne puisse finir sa phrase, Elora lui tourna le dos,  lui coupant pas la même occasion, se dirigeant ainsi vers la sortie. Adonis la suivant, toujours en prenant le bras d'Avalon, dont le bras commencé à devenir engourdie. Avalon arriva devant un escalier si on pouvait appeler sa comme ça. Il était si grand que l'on n'en voyait pas la fin. Déjà quelle avait mal au pied avec tout ce qu'elle avait dû marcher. Elle ne sentait tout simplement plus son corps. À la fin de ce parcours du combattant, car on pouvait bien l'appelée comme ça, il arrières devant une porte. Elora et Adonis souffleraient avant de toquée, un mélange et d'appréhension que l'ont trouvée dans leurs regards comme s'il avait peur de ce qu'il allait leur arriver. C'était assez étrange, ils avaient l'air tout content, fière d'eux mais  dès qu'ils rentrèrent dans le bureau leurs épaules s'affaissaient. Eh la devant Avalon se trouvait devant elle surement l'un des jeunes les plus beaux que l'on lui est donnée l'occasion de voire de toute ça vit. Elle ne s'était vraiment jamais intéressée à tout ceci. Entant plus soucieuse du fait que si oui ou non Christina Lauren aller sortir un nouveau roman et si elle pouvait l'acheter. Ses parents s'étaient toujours inquiétés à propos de ça, si elle pouvait avoir un mari et fondée une famille, un mari qu'elle aurait rencontré étant plus jeune ou elle aurait vécu une histoire à l'eau de rose comme les plus grands classique. Enfin, c'était surtout sa mère. Le jeune homme qui se présenter devant elle était brun, un regard ténébreux et surtout intimident et surtout des yeux de couleurs gris. Jamais elle n'en avait vu de pareil. Elle le dévisagea de haut en bas sans vraiment remarquer de ce qu'elle fessait. Jusqu'au moment où elle entendit sa voix grave et rocailleuse. Sur le moment, ça la fait fondre . Pour la première fois de sa vie, elle ressent une certaine attirance envers quelqu'un.

« - J'avais bien dit à Ilric que personne ne devait me déranger ! Que voulez-vous ?

-On sait bien, mais on avait un problème, se lance Adonis tandis qu'Elora lui fessait les yeux doux, mais visiblement, il ne lui prêta pas vraiment attention.

On doit bien dire qu'aujourd'hui Avalon n'a pas de chance, X ne l'a même pas remarquée, enfin jusqu'au moment ou...

Qui est cette gamine derrière toi Adonis ?

Eh bien, um, il feignit une petite toux, c'est comme qui dirais notre problème...

Il semblait assez gêné, de même pour blondasse qui avait perdu ses grands airs. Il dégage quelque chose d'intimident, il se sentait, comment dire si petit. On avait cette impression qu'il allait rentrer dans une colère noire d'un moment à l'autre, ce qui était assez déstabilisant regarda droit dans les yeux d'Avalon, elle voulait juste à ce moment-là creuser sa propre tombe. Sons regard était si insistant, qu'elle n'arrivait plus à le regarder droit dans les yeux qu'a la fin, elle baissa les yeux.

« - Qui est-elle ? »

Tous les textes et images qui se trouvent sur cette page sont de moi, si j'en retrouve ne serait-ce qu'une partie quelque part je porte plainte c'est assez clair je crois....

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