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millanou a 10 points de bonté.

millanou
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                 Welcome!                 

 Je vais essayer de me présenter en deux ou trois phrases que je vais tenter de faire courtes. Il y a quelques trucs que j'aime, mais plus que je n'aime pas. J'aime la pluie, les séries gores et écrire, j'ai mis un texte de mon invention à la fin de mon qsj ( merci de ne pas le copier-coller, c'est tout de même une petite heure de travail ). Mais par dessus tout, j'aime la montagne. J'aime sentir l'air froid et frais de l'altitude sur mon visage, et le vent souffler dans mes cheveux. J'adore. J'aime aussi mes quelques amies, mais je n'en ai pas beaucoup. Pourquoi? A ce qu'il paraît, je suis désagréable. Je n'aime pas m'ennuyer en cours alors que je pourrais être chez moi, aller en cours alors que je suis malade et serait dix fois mieux devant une série, quand mon thermos de thé est vide alors je dois prendre de l'eau dans ma gourde quand il fait zéro à la montagne, avoir cour d'histoire en première heure le matin. Vous aussi? Ca veut dire que je suis normale. Super, ça me fait une belle jambe. Je n'aime pas non plus le mot swagg, les leggings et la bouche de canard sur le profil facebook. Pas vous? Parfait, je redeviens moi. Je n'ai pas respecté mon engagement? Je m'en fous, vous faites une remarque à un écran...

 

Un petit test pour faire passer le temps? Même pas en rêve! Si vous vous ennuyez, vous n'avez qu'à sortir! Il pleut... Dommage, sortez quand même, une douche ne peut pas vous faire de mal. Je vous donne quand même des noms de jeux: fancy pants man world 1,2, ou 3; curve fever; ma bimbo; cromimi... Que vous irez voir seulement après avoir mis un +2! Au passage, pas de +1, c'est vraiment chiant, impossible à rééquilibrer. Je suis maniaque. Un hôpital psychiatrique? Voyons, je vaut mieux que ça! Je serais contente aussi si vous ne copiez-collez rien du tout de mon qsj, je hai le plagiat! ( tu ne comprends pas ce mot, ouvre un dictionnaire! ). L'hôpital psychiatrique? Passez votre tour. Quoi? Mon qsj est nul? TA GUEULE! 

Ne dites rien, je vous l'ai déjà dit... L'asile? Vous tournez en boucle, ma parole!

Je pourrais faire comme tout le monde et mettre un long texte qui dit: si toi aussi, tu... Non. Si toi aussi tu étais comme moi: Bang! On est tous d'accord? Parfait. Je l'ai déjà dit, je déteste le plagiat. 

Bon, mis à part ça... Je vais mettre les photos des dollz de mes amies, comme ça je l'aurait fait: 

     

Voilà, c'est bon. 

Quoi? Il manque quelque chose? Parler de ma vie! Navrée, mes problèmes ne regardent que moi... Je ne vous connaît pas... Vous êtes E.T, et alors?! Quoi? Mon prof de maths? Alors je vous emmerde! Tout va bien? Bonne journée. Je suis une connasse? Parfait, bonne journée. Trop drôle? Allez-vous en! 

 

La fleur pourpre

 La jeune fille, assise sur le rebord da sa lucarne scrutait le ciel avec attention; les reflets orangés de l'aube commencaient à se voir, et rien d'autre n'aurait pû rendre la demoiselle aussi heureuse, un matin d'hiver. le froid des premiers flocons se sentait à travers la fine vitre, mais elle s'en moquait " si j'attrape un rhume, au moins, quelqu'un s'occuperas de moi" se lamentait-elle. Car Alice était bien seule, dans ce grand manoir; ses parents ne s'occupaient pas d'elle, et sa nourrice avait disparu, personne ne savait où; mais des buits laissaient entendre qu'elle serait partie en Guyane avec son amant, mais l'enfant se méfiait de ces bruits. La pelouse était à présent couverte d'un fine couche blanche givrée, et Alice ne pouvait pas résister à la tentation  d'aller jouer dehors, et enfila son chandail par-dessus sa robe en laine; puis sortit par la porte de derrière. le contact avec a pierre froide lui arracha un sourire, depuis le temps qu'elle attendait cette sensation! Les temps étaient rudes, en ce dix-huitième siècle déjà bien avancé, mais en ce temps-là, les adultes n'avaient pas le temps de s'en soucier. Assise dans laneige et face à ses propres pensées, et elle comptait les flocons qui tombaient du ciel dans un silence constant. Silence qui fût troublé par les gérémiades de sa mère, qui râlait sur le froid.

- Alice, rentre! hurla-t-elle de sa voix rude. Les yeux de la femme étaient violents et vides de tout sentiment, bon ou mauvais; et ses cheveux marrons lui coulaient dans le dos. Si elle avait pris plus soin d'elle, elle aurait été une femme magnifique; mais elle n'en avait pas le temps. L'adolescente eût un sourire en coin, que sa mère remarqua malheureusement trop vite.

- Pour une fois que vous me remarquez, dit-elle d'une voix calme et douce, comme celle de sa mère à l'origine, mais teintée de tristesse; trop pour son âge. Du haut de ses treize ans, cette fille avait été beaucoup trop seule, et cela s'en ressentait dans sa voix.  

- Tu seras punie. Tu vas passer deux jours dans la chambre rouge, trancha la vielle femme. 

Une sensation de malaise s'empara d'Alice, dont les larmes commencaient à perler sur les joues. La chambre rouge, l'endroit où l'oncle Stephen était décédé dans des circonstances suspectes; et on disait qu'elle était hantée par  son fantôme qui réclamait vangeance. 

- Non, pitié, Mère! Pas la chambre rouge! se défendit la jeune fille, ses yeux marrons, ceux de son père, baignés de larmes; vous savez bien ce que l'on raconte sur cet endroit! 

- Oui, je le sais. 

La matrone s'approcha d'Alice et lui saisit les cheveux dans la main, sans aucun égard; en la traînant derrière elle. Les cheveux dont l'adolescente était si fière, ses cheveux qu'elle coiffait avec amour, tout les matins et soirs, sous reccomandation de sa nourrice " si tu veut être une princesse, il faut entretenir ta chevelure, mon ange ", lui répétait chaque matin sa nourrice après lui avoir déposé une tendre bise sur le front pour la réveiller.   

La porte claqua derrière le dos d'Alice, dans un fracas assourdissant, et la clé de la chambre rouge cliquetait dans la serrure dorée. La demoiselle scruta la pièce; le papier peint rouge sang tranchait sur les dorures du lit à baldaquin, dont les draps bleu juraient avec les rideaux du lit, eux aussi rouges. La cheminée en marbre était éteinte; et de la vapeur flottait devant le visage de la jeune fille à chaque fois qu'elle expirait. les carreaux de la fenêtre étaient sales, recouverts d'une couche de poussière et de crasse vielle d'au moins dix ans. Personne n'était venu faire le ménage depuis la mort de l'oncle, qui était à présent le sujet dont il ne fallait plus toucher mot. Une lumière blanche tentait déséspérément de passer à travers les carreaux, sans succès. la peur paralysait la demoiselle, qui était debout au milieu de la pièce comme une poupée sans âme. Soudain, un mauvais pressentiment s'empara d'elle; et ses intuitions étaient toujours bonnes, elle le savait. Un effroi grandissant s'empara d'elle, et se rua sur la porte et frappa, frappa encore et encore, sans succès. elle hurlait, aussi, elle criait des appels vains au secours " Au secours, au secours! Sortez-moi de là, pitié! AU SECOURS!" Mais était révolu le temps où ce manoir grouillait de domestiques, et ses plaintes raisonnaient dans le vide du couloir en pierre que personne n'empruntait jamais. Ses larmes déposaient un goùt salé et amer dans la bouche, mêlé au sang qui coulait de la lèvre qu'elle s'était mordue de peur. Un bruit étouffé se fît entendre de la cheminée, et elle retourna frapper la porte d'horreur; elle aurait dû céder, la porte, sous les coups de poing saccadés qu'elle recevait, et les cris perçant de la fille ne s'arrêtaient pas, ils produisaient un bruit constant rempli d'angoisse. Alice commença alors à tambouriner la porte avec ses pieds, avec sa tête. Son corps était secoué de spasmes et elle tremblait de toute son âme. La cheminée produit un nouveau son, et l'adolescente ne pût plus supporter cette peur. Elle la tiraillait de côté en côté, des visages se peignaient dans l'obscurité de la pièce, et elle vit une ombre noire sortir de la cheminée. Trop, c'en était trop. Elle courut vers la fenêtre, et sauta. Elle travrsa les carreaux. Ils lui déchirèrent la peau, les vêtement et du sang teinta le verre de pourpre. Son cri suivait sa chute, et ses larmes restèrent en suspention dans les airs. Des carreaux tombaient de la tour, et un bruit sourd conclut sa chute. Elle s'était écrasée sur la neige qu'elle chérissait tant, et une fleur pourpre s'épanouissait autour de son corps. Les yeux fermés, elle paraissait sereine, enfin libérée. 

Ses parents se rendirent compte de sa chute que trois jours plus tard. 

Personne ne pleura à son enterrement. 

Les roses pourpres flétrirent sur sa tombe. 

La morale de cette histoire? C'est à vous de la trouver. 

                      

Comment une fille aussi désagréable peut-elle écrire d'aussi belles choses? Belle, l'histoire? On la relit un petit coup? Faites de beaux rêves! 

 

Bon jeu et n'oubliez pas le +2! 

Je tiens juste à préciser que mon loft est en pleine réorganisation, et que je n'ai jamais utilisé la banque!!!

 

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