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tout à recommencer...voilà l'histoire, mais il manque les images, désoler :X

la bannière [pour celle qui la veule]



|FICTION 1D|

 

Chapitre 1

Une surprise bien spéciale


Un, deux, trois, quart. Assise sur un banc, j’attendais que ma meilleure amie se pointe. Il m’avait dit qu’elle avait une surprise pour moi. Je l’attendais depuis près de quinze minutes lorsqu’elle se pointa enfin. Elle semblait essoufflée et me dit d’une petite voix :

-Désoler pour le retard, mes parents voulaient que je range ma chambre donc j’ai du trouver une excuse pour les persuadés de me laisser partir.

Je la regardais amusée, elle savait bien que ce ne me dérangeais pas quand elle arrivait en retard. Elle s’assit à côté de moi et dépose son sac. Elle en sort un cellulaire, des cahiers de note, des crayons, du mascara, des boucles d’oreille, mais ne semble pas trouver ce qu’elle veut. Elle sort toute victorieuse son agenda, face à cette surprise je lui dis :

-C’est ça ma surprise, ton agenda ?

Elle me regarde décourager et répond :

-Mais non, c’est dans mon agenda.

Je la regarde perp*** et elle sort une enveloppe de son agenda. Elle me la tend en me disant :

-J’espère que ça te plaira, car j’ai passé tout mon argent pour te l’acheter.

Je la regarde et commence à ouvrir l’enveloppe. À l’intérieur, il y a une note : « Chère Jaspe, j’ai pensé de t’acheter pour ton dix-neuvième anniversaire quelque chose qui te plaira beaucoup. Vu que connaissant mes parents, tu sais qu’ils ne m’ont pas aidé à t’acheter ce cadeau. Tu te souviens, dans deux jours, on part faire un tour en Angleterre. Bien, il y a plusieurs mois, j’ai pu te trouver des billets pour un concert de 1D durant la semaine, voilà pourquoi j’avais changé les dates du voyage. J’espère sincèrement que ça te plaire. Cora». Je la regardais stupéfaite, elle me tendit trois billets pour le concert. Je faillis l’embrasser, j’étais tellement contente d’enfin pouvoir voir one direction en concert. La dernière fois qu’ils étaient passés à Montréal, j’étais en train de choisir mon école pour l’université. Cora me souriait, elle savait que j’avais apprécié son cadeau, mais comme d’habitude, je lui dis :

- Ça ne valait pas la peine Cora.

Elle prit un air offusqué et me dit :

-C’est ça, j’ai acheté trois billets pour qu’on y aille en groupe, toi, Anne et moi, mais si tu ne veux pas, on va inviter Marie.

La simple invocation du nom de Marie, me mit en colère. Marie est l’ancienne meilleure amie d’Anne, mais elle n’a jamais été sympathique avec moi, donc on a commencé à se détester. On est vite devenu ennemie lorsqu’elle a commencé à nous niaiser car elle, elle avait pu aller voir les 1D à Montréal et pas nous. Qu’elle avait un autographe de Niall (son favori) et pas nous, bref c’est le genre de personne vraiment détestable. Tout à coup, un détail me revenait en tête :

-Cora est-ce que mes parents et Anne sont au courant.

-Bien sur, je n’aurais jamais pu t’acheter ces billets sinon, j’aurais eu trop peur que tes parents t’en donne !

J’étais soulagé, je me levais du banc et proposais à Cora d’aller faire un peu de magasinage pour notre voyage. Elle me regarda perp***, je savais qu’elle se demandait bien de quoi on avait de besoin, mais elle savait aussi que mes parents étaient des personnes plutôt aisés qui me permettaient de tous acheter. Elle se leva et me dit :

-On achète quoi ?

Je la regardais découragée, elle pensait vraiment que j’avais une idée autre que refaire ma garde-robe ? Je lui répondis ;

-Si on allait s’acheter quelque chose de présentable pour le concert.

Elle comprit juste avec un coup d’œil à nos habits. On ressemblait bien à des étudiants québécois. Ce n’était pas pour rien qu’on faisait la grève pour éviter une augmentation de frais de scolarité. Les étudiants étaient déjà pauvres. On descendait la rue jusqu’à arriver sur la plazza st-Hubert. Cora regardait dans tous les magasins dans l’espoir de trouver un bon pantalon car avec Cora, le magasinage n’est pas une petite affaire. On trouve enfin quelque chose à notre goût pour Cora c’est un jean bleu marin, un t-shirt brun entre-ouvert aux manches et des souliers keys (marque de souliers) bleu marines. Pour moi, par contre, c’est un veston de jean, une camisole bleu foncé, un jean bleu marine et des keys noirs. Alors qu’on rentrait chez nous (on est colocataires dans une maison payée par mes parents) une fille me bouscule. Bien sur, comme d’habitude, la personne ne s’excuse pas car elle se croit tout permis. On rentre dans le métro un peu frustrée par notre rencontre avec cette personne. On attend longuement le métro lorsque nous voyons de la fumée. On est prise de pa***, on veut absolument partir. On sort du métro et Cora appelle les pompiers, elle leur dit :

-Je ne sais pas trop ce qui ce passe, mais il y a de la fumée sur les rails du métro Jean-Talon.

Les pompiers lui répondent qu’ils arrivent. Cinq minutes plus tard, ils entrent dans le métro qui a été totalement évacué. Cora commence à surfer sur internet lorsqu’elle voit apparaître la nouvelle sur son téléphone : «des bombes fumigènes jetées dans le métro.». Malgré que nous n’ayons pas lu l’intégralité de la nouvelle, on sait sur qui ça va tomber. Le gouvernement accusera les étudiants, mais nous savons tous que ce sont des casseurs. On commence à marcher, on n’habit pas bien loin, mais nous aurions préféré faire dix minutes de métro et non quarante minute de marche.

 

Une fois arrivée chez nous, nous sommes épuisées. Je monte déposer mes sacs dans ma chambre et je suis tellement fatigué d’avoir marchée 40 minutes dans les rafales de vent d’aujourd’hui que je m’endors sans avoir mangé.

Chapitre 2 :

Bonne fête Jaspe


Je me réveille le ventre cru, je n’ai pas mangé hier et ça paraît. Je me lève difficilement et descend manger. Cora m’attends dans la salle à manger. Elle a préparé des crêpes, je me demande bien pourquoi. Je m’assis à table et commençais à manger. Cora me regardait perp***, s’attendait-elle à quelque chose de moi ? Comme si je savais ce qu’elle voulait, je lui dis :

-Ouais, elles sont bonnes tes crêpes, ne me pose pas la question.

Elle me regardait et commençait à rire, je me demandais bien pourquoi. C’est ainsi que je me souvenais qu’on était 11 mai, mon anniversaire. Je me trouvais tellement bête d’avoir oublié que je lui dis :

- Okay, je n’ai pas de mémoire !

Le téléphone sonna, je me levais et répondait :

-Oui, allo.

Une vieille dame parlait à l’autre bout :

-Jaspe, c’es toi ?

Je me souvenais qui c’était :

-Oui grand-maman comment vas-tu ?

-Ça va bien et toi ma petite Jaspe ?

-Oui, ça va très bien, pourquoi tu m’appelais ?

-Je voulais te souhaiter bonne fête et je voulais aussi te rappeler que ce soir, il y a une fête d’anniversaire chez tes parents.

-Oui, merci de m’avoir téléphoné, tu viendras à la fête ?

-Oui bien sur, moi aussi j’ai un cadeau à te donner. Tu es contente du cadeau que t’as offert Cora ?

-Oui beaucoup, bye grand-maman, désoler de ne pas trop t’accorder de temps, mais je suis en train de déjeuner.

-Non, non c’est correct, à ce soir.

-Oui, à ce soir.

Je raccrochais le téléphone et réalisais qu’il était déjà une heure. Je regardais Cora et lui criais :

-Pourquoi ne pas m’avoir réveillé !

-Ben, tu sais d’habitude tu me crie après parce que je te réveille, j’y comprends rien moi…

On devait être chez mes parents, qui habitaient à une heure d’ici, dans quarte heures. Je courais jusqu’à dans ma chambre et criais à Cora :

-Habille-toi, on part dans une demi-heure.

Connaissant Cora, c’est comme si je disais qu’on partait dans une minute. Je commençais à m’habiller. Rien de trop compliqué, un chandail blanc rayé rouge, un jean et des ballerines Nevada (marque de soulier). Cora sorti dans son chambre en quarante minutes, j’avais déjà enfilé ma veste et mis ma tuque. Elle commençait à choisir comment elle allait s’habiller lorsque je lui dis :

-Bon, j’y vais moi.

Ça ne lui prit pas plus de trois minutes pour être habiller. On parti magasiner soi pour acheter un peu de nourriture pour le repas collectif du soir et on parti chez mes parents. J’eue le droit à une heure de musique punk et j’étais soulager d’arriver chez mes parents. Ma grand-mère, mon grand-père, mon oncle Pierre, ma tante Jeanne, ma cousine Chloé, ma cousine Justine, mon oncle Jean-Philippe, ma tante Noémie, mes 6 autres cousines, mes deux petits cousins, ma sœur Maude, ma mère Marie et mon père Mickaël étaient présents. Je passais une agréable soirée avec les membres de ma famille. Je repartis vers dix-neuf heures. On fit une heure de route et on rentrait dormir.

Chapitre 3 :

Le départ


Mon réveil était programmé à quatre du matin pour que je puisse faire ma valise. Je me levais et commençais à farfouiller dans mes tiroirs. J’ouvris ma valise et j’y déposais une brosse à dent, une brosse à cheveux, ma trousse de maquillage, du dentifrice, des lunettes soleil, trois paires de veste, des ballerines, mon habit de concert, dix chandails, dix pantalons, etc. Je m’habillais et allais dans la salle à manger, je me mis deux toast au grille pain et commençait à regarder la télévision. Cora descendit vers cinq heures, on devait partir à six heures et arriver à l’aéroport à sept heures pour partir à huit heures. Elle mangea et on fit une dernière vérification de nos valises. On appela un taxi, car l’idée de laisser ma voiture à l’aéroport ne me plaisait pas du tout. On arrive à l’aéroport, on du passer par les dames à l’entré qui vérifiaient nos billets et envoyaient nos valise dans la soute. Une fois passé, on du aller au contrôle (c’est u***ment pour vérifier dans nos valise si nous n’avons pas de liquide (état de la matière).). On allait s’assoir à la porte d’embarquement vers sept heures quarante. Dix minutes plus tard, l’avion fut prêt, on pouvait monter dedans. On présenta nos billets à la dame et on alla s’assoir. On était assise côte à côte, mais les rangée était des rangées de trois donc un fut pogné avec un vieux monsieur grincheux. Une fois arrivé à Londres, on alla à l’hôtel. Dès que je me fus brossé les dents, je m’endormis.

Chapitre 4 :

L’arrivée chez Anne


Le lendemain matin, on se réveillait et on allait manger dans le restaurant de l’hôtel. On prit nos valises et on remit la clé de la chambre à la réceptionniste. On parti à pied, nos valises à la main, on connaissait bien le chemin pour se rendre chez Anne. Après quelque minute de marche, on arrivait en vue de sa maison. On s’approcha et sonna à la porte. On entendit des pas précipiter à l’intérieur. Lorsque la porte s’ouvrit, on vit la petite tête rousse d’Anne. D’un signe, elle nous invita à renter. Dès qu’on fut rentré, elle explosa de joie :

-Salut les filles, comment allez-vous ? J’ai déjà organisé notre première journée, vous avez une heure pour vous installé après ça, on part !

-Bien Anne.

Je m’installais dans la chambre que j’avais toujours occupée chez Anne. Une heure après, nous étions sur le pas de la porte à attendre Anne. Elle se pointa cinq minutes en retard, mais pour s’expliquer, elle dit :

-Je cherchais mon appareil photo

Chapitre 5 :

Une photographie inattendue


On se promenait dans les rues de Londres, à la recherche d’un endroit qu’Anne n’avait pas voulu nous dire. On errait comme sans but lorsqu’on vit un petit parc. Anne s’arrêta et nous proposa de s’assoir un peu. On était assise depuis un moment, à parler de tout et de rien, on s’in ait sur nos famille lorsque devant nous, passant un pas de course, on vit les one direction. Cora rit un bon coup car on voyait nettement toutes les fans qui les suivaient. Durant le moment de fou rire de Cora, Anne réussi à prendre quelque photo. Elle nous les montra, la plupart étaient flou, mais mon regard fut attirer par la dernière de ses photos, elle était très réussie. On voyait nettement Harry, Louis, Liam et Niall par contre, Zayn était embrouillée. On rentrait chez Anne un peu sous le choc, d’avoir vu les one direction courir sous nos yeux. Anne nous répétait sans cesse qu’elle avait tellement hâte à demain, on ne les verrait pas courir, mais bien chanter demain. Je regardais dans ma poche, les billets y étaient toujours. On rentra chez Anne, on soupa, on regarda la télévision et on alla dormir. Je restais dans mon lit à réfléchir. Avais-je vraiment le goût de voir les one direction ?

Chapitre 6 :

Le concert :


Encore un peu mélangée par le fuseau horaire anglais, je me réveillais vers midi. Je courais mettre mes habits et descendais à toute hâte, le concert était à deux heures, donc il fallait partir à une heure. Je mangeais mon petit déjeuner sur le pouce et remarquais l’absence d’Anne et Cora. Je pris mon téléphone et les appelaient :

-Anne ?

-Oui, Jaspe ?

-Oui, où êtes-vous ?

-On est juste dans le jardin ma cruche préféré.

Je regardais par la fenêtre, c’était vrai, je les voyais. Je leur fis un petit signe de la main et elles me répondirent. Elles rentrèrent dans la maison, on était toutes prête, embarquées dans l’auto lorsqu’une heure sonna. On parti, là-bas, c’était déjà la cohue. On réussi à rentrer à une heure et demie. On regarda nos place, Cora avait réussi à nous trouver des places assez proche de la scène. On était là, à attendre que deux heures sonnent pour qu’on puisse voir les one direction.

 

Deux heures sonnent, les one direction arrivent. C’est l’émeute, toutes les filles hurlent sauf nous et je vois bien que ça ne passe pas inaperçu aux one direction. Après un spectacle très apprécié, nous allions retourner chez Anne lorsque quelqu’un nous accrocha. On se retournait et quelle ne fut pas notre surprise. Les one direction étaient là. Anne ne savait pas trop quoi faire, elle bafouilla quelque mot en anglais et décampait. Je la suivais de près, emportant Cora avec moi. Ils nous appelaient, mais nous ne retournions pas, trop gênée. Une fois rendu chez Anne, nous nous en voulions à mort. Anne aurait pu parler avec Harry, Cora avec Louis et moi avec Liam, nos membres favoris. On finit la journée le cœur lourd de reproche, pourquoi n’étions nous pas resté ?

Chapitre 7 :

Admirateur secret


Le lendemain matin, je me levais et je descendais à la salle à manger lorsque je vis Anne entrer avec neufs cadeaux. Elle les déposa dans le salon et nous les regardions. Nos noms étaient étiquetés sur certains paquets. Qui avait bien pu déposer ces paquets ? Il était dans des emballages cadeaux. Je ne pouvais résister à la tentation d’un cadeau donc j’ouvris le premier des trois paquets avec mon nom. Une petite carte y était insérée. J’ouvris la boîte, sans même lire la carte. À l’intérieur, il y avait une plus petite boîte, une marque de commerce, un bijoutier !? J’ouvris le paquet, à l’intérieur de la boîte, il y avait une petite chaîne en or à ce que je voyais. On ouvrit chaqu’une les cadeaux qui nous appartenait. On fut toutes étonnée par leurs contenus, bijoux et chocolat. Nous avions des admirateurs secrets. Je me promis qu’avant la fin de la journée, j’aurais trouvé le mien !

Chapitre 8:

La découverte

On décidait de partir à la chasse aux admirateurs secrets ensemble. On s’habillait assez chaudement dans l’idée de rester la journée dehors. On déjeunait sur le pouce et on partit. On marchait dans les rues de Londres désespérées de trouver nos admirateurs lorsqu’Anne se précipita vers une maison. Nous la suivions. Elle nous apprit que son amie résidait ici, elle connaissait tout le monde à Londres, à ce qu’il parait, c’était quelqu’un de très en vue. Elle sonnait à la porte. Une jeune fille blonde aux yeux verts lui répondit :

-Oh, Anne qu’est-ce qui t’emmène ici?

-En fait, Amber, je veux te présenter premièrement mes amies dont je te parle tant.

Elle me pointe.

-Jaspe, ma moitié.

Elle pointe Cora.

-Cora, sa meilleure amie.

-Enchanté, moi je suis Amber, l’amie d’Anne.

Après de brèves salutations de ma part et celle de Cora, Anne commença à lui expliquer la raison de notre venu :

-Amber, ce matin, on a reçu des paquets, trois chaqu’une, d’un admirateur secret, pourrais-tu nous aider à les trouver?

Amber était de tout sourire et nous fit signe :

-Entrée, on va regarder ça ensemble.

On entra dans sa maison, elle nous fit assoir au salon et montait les escaliers. Elle redescendit avec un énorme cartable. Elle l’ouvrit et commença à nous énuméré nos choix. Au bout d’une demi-heure, je n’en pouvais plus. Je la remerciais et partais. Cora venait avec moi, par contre, Anne resta car elle trouvait que sa façon était la meilleure. Cora et moi marchions dans les rues de Londres lorsque Cora s’arrêta devant un café internet en me disant :

-Moi, j’ai trouvé comme je vais trouver mon admirateur.

Elle rentra dans le café, me laissant seule. J’errais dans les rues de Londres, triste de ne pas savoir comment m’y prendre. Anne avait eu une idée, Cora aussi, mais moi non. D’habitude, je réglais toujours vite ces problèmes! Pendant que je marchais dans la rue, je ne remarquais pas que quelqu’un arrivait, tout aussi concentrer que moi dans ses affaires. Nous nous fonçâmes dedans. Ses papiers s’éparpillaient sur le sol et moi, le contenu de mon sac se renversa. J’étais à quarte pattes, ne me préoccupant de l’autre, à ramasser mes carnets, mon gloss, mon cellulaire, ma trousse de maquillage, ma bouteille d’eau, mon lunch, mon ipod et la chaînette en or. Après, j’aidais l’inconnu à ramasser ses affaires. Ce ne fut qu’après avoir ramasser toutes ses feuilles que je remarquais un petit bout de papier dans sa poche avec mon nom écrit dessus. Je relevais la tête pour savoir qui c’était. Ce fut la gaffe de ma vie, j’avais foncée dans Liam de one direction. Il m’attrapa par le bras :

-Pas question de te défiler cette fois.

Je le regardais :

-Je ne me suis jamais défiler!

Il me regarda perp*** :

-Viens, tu vas m’expliquer ça à quelque part d’autre.

Il m’emmena dans le parc le plus proche et on s’assit. Il commença :

-Comme ça tu ne t’es pas défiler, hier?

Je regardais mes pieds :

-En fait, ce n’était pas intentionnel, on n’a pas voulu vous donnez l’impression de vous fuir, mais…

Il me regarde, je sais qu’il ne comprend rien :

-C’est que tu vois, je peux tu tutoyer?

Comme sortant d’une rêverie :

-Oui, oui, bien sur.

Je continue :

-C’est que tu vois, en fait, c’est difficile à expliquer, mais quand tu aime vraiment quelque chose et que tu es fan de ses personnes. Quand elles t’abordent, tu ne sais pas comment réagir, tu voudrais te faire toute petite parce que tu es trop gêné. Et nous, vu qu’on était vraiment gênée, on est partie…

-Je vois… donc en fait, c’est juste que vous étiez trop gênée pour nous parler?

Gêne de ma part :

-Oui, si tu veux…

Il commence à rougir :

-Tu sais… moi aussi je pense que j’ai quelque chose à t’expliquer, je me trompe?

Je le regarde dans les yeux :

-Non, le bout de papier qui porte mon nom qu’est-ce que ça signifie?

Il regarda dans le vide quelque instant :

-Bien… tu vois… Jaspe, c’est encore plus compliqué que ton affaire…

Je m’assis en indien sur le banc :

-Je suis prête à t’écouter, vas-y.

Il regarde ses souliers :

-Ben c’est que tu vois… hier, vous ne sembliez pas très enthousiasme donc on c’est posé des questions et qu’en on à voulu vous en parlez, vous vous êtes éclipsées. Donc, le soir, on a fait des petites recherches au près d’un peu tout le monde et on à rien trouvé sauf pour la grande, rousse.

Je rectifie :

-Anne, la rousse, elle s’appelle Anne.

Il sourit tout en regardant ses souliers:

-D’accord, d’accord, je peux continuer?

-Oui, oui vas-y.

-Bon, on a fait de recherches au près des gens, puis vu qu’on avait rien sur les deux autres, toi et ton amie, on est allé voir sur le net et on a tous trouvé.

Un peu gênée :

-Mon facebook et si apparent?

Relève la tête :

-Non, non, mais celui de ton amie, oui.

Je le regarde dans les yeux :

-Avez-vous trouvé l’adresse d’Anne?

Me regarde perp*** :

-Oui, bien sur, pourquoi?

-Pour rien, pour rien…

Me regarde :

-Tu le sais…

Rigole :

-Je sais un tas de truc…

Décroise ses jambes :

- De quoi parles-tu?

Me regarde exaspéré :

-Les cadeaux…

Réfléchie :

-Je vois les cadeaux, mais je ne comprends pas le rapport entre vous et eux… oh!

Le regarde, ouvre bouche-bée :

-C’est vous qu’on cherche!

Satisfaction de sa part :

-Et oui, mais en fait, vous cherchez chaqu’une quelqu’un de différent…

Mon téléphone sonne, répond :

-Oui, allo?

-Jaspe, tu ne devineras pas quoi, c’est Cora!

- Non, je ne vois pas…

-J’ai trouvé mon admirateur!

Rage intérieurement :

-Super, moi non, faut que je te laisse.

-Ok, bye, on se revoit chez Anne?

-Oui, oui au revoir.

Chuchote :

-C’est pas juste, elle l’a trouvé avant moi!

Il me regarde amuser :

-Tu l’as trouvé depuis plus longtemps qu’elle…

Bouche-bée :

-C’est… c’est toi?

Sourit :

-Et oui!

Je lui sautais au cou, réalisant la porter de mon geste, je lui dis :

-Désoler, l’émotion…

Il mit ses mains sur mon visage et commença à m’embrasser. Après quelque minute, il me dit :

-Désoler, l’émotion…

Je riais :

-Arrête, c’est mon excuse bidon!

On commençait à se chamailler. On rentra tard le soir, après une journée passée ensemble, en amoureux. Cora et Anne m’attendaient. Elles étaient folles d’inquiétude, je ne les avais pas appelées. Mais, dès qu’elles me virent par la fenêtre embrasser Liam et lui dire au revoir, elles ne me firent aucun commentaire à mon arriver. Cora sautait sur place, elle me dit :

-J’ai trouvé mon admirateur en premier!

Je la regardais :

-C’est faux, j’avais trouvé le mien bien avant, mais je ne savais pas que c’était lui…

Cora me regarde :

-Le beau Liam.

Je la regardais en rougissant :

- Tu n’y es pas!

Elle me regarde :

-On vous a vu vous embrasser.

Rie :

-Ma surprise est foutue alors!

Cora et Anne rigole :

-Mais pas la notre…

Anne se lance :

-J’ai trouvé mon admirateur, ça été long et je vous avoue que je ne demande plus jamais de l’aide à Amber, mais je l’ai trouvé! Vous devinerez jamais qui!

La regarde :

-Je sais que c’est Harry.

Me regarde déconfite :

-Comment t’as fait?

- Aucun gars ne te rendrait aussi heureuse et toi Cora, c’est Louis.

Elles rouspètent, mais on rigole bien et nous décidons d’aller nous coucher.

Chapitre 9:

L’empêchement.

Je me réveillais du pied gauche aujourd’hui, j’avais un horrible mal de tête, j’avais la tête qui tournait. J’allais me recoucher et j’appelais Cora d’en-haut :

-Cora, Cora!

-Jaspe, qu’est-ce qu’il y a?

- Je ne me sens pas bien, j’ai la tête qui tourne…

Cora montait les escaliers paniquée, suivi d’Anne. Elles découvrirent que je faisais de la fièvre et m’interdisait de sortir de la maison. Je rechignais, j’avais promis à Liam que j’allais aller le voir, il avait quelque chose d’important à me dire. Les filles disaient que s’il ne me voyait pas, il allait m’appeler, mais je voulais aller le voir. Je ne voulais pas qu’il m’appelle. Anne restait ferme, je ne sortirais pas de la maison tant que ma fièvre n’avait pas baissée. Je la regardais d’un sale œil, à cause d’elle, j’allais rater mon rendez-vous. Les filles essayaient de me remonter le moral, mais rien ne fonctionnait, elles me dirent qu’elles allaient à la pharmacie, consulter un médecin. Bien sur, elles sortirent et barrèrent la porte, j’avais oublié de vous spécifiez que la porte d’Anne se verrouillait et déverrouillait u***ment de l’extérieur. J’étais enfermée, c’était fini, je ne verrais pas Liam aujourd’hui. Je me morfondais dans mon lit lorsque j’entendis la porte s’ouvrir, des pas, Anne et Cora étaient revenue. Elles montaient les escaliers, elles passaient la tête par l’ouverture de ma porte et me virent couchée roulée dans mes couvertures, toute habiller. Elles me dirent :

-On a une surprise pour toi!

Je les regardais dégoûté :

-Si c’est un médicament à la cerise ou la barbe à papa, j’ai passée l’âge, je ne suis plus un enfant!

Elles se regardèrent :

-Est-ce que c’est comme un médicament à la cerise?

Cora répondit :

-Oui, c’est dommage…

J’entendis une voix :

-Je ne suis pas un médicament à la cerise!

Cora dit :

-Bon, il a quelqu’un qui à briser la surprise, entre.

Quelqu’un entre, Liam :

-Coucou, Jaspe, j’ai appris que tu étais malade.

Je regardais d’un sale œil mes amies :

-Pas besoins de le dire à tout le monde…

Cora me regardait surprise :

-On pensait que ça te ferait plaisir.

Liam dit :

-De toute façon, je l’aurais appris et je serais venu te voir.

Je ronchonnais :

-Pourquoi tout le monde dit ça…

Une voix se fait entendre dans le corridor :

-Quoi, elle veut plus de Liam?

Je regarde mes amies :

-Vous avez avertis qui d’autre?

Cora hésite :

-Harry, Louis, Zayn et Niall, on avait pensés rester toute la journée avec toi pour pas que tu sois trop seule…

Je leur fis signe d’approcher. Elles s’approchèrent lentement, ayant peur de ce qui allait arriver. Elles s’assirent sur mon lit et je leurs dis en leur faisant un câlin :

-Vous êtes les meilleures amies au monde!

Stupéfaction dans le groupe, comme pour répondre à leur question silencieuse, je leur dis :

-Ben, je suis contente qu’elles aient pensés à ça et en plus, elles sont géniales donc elles ont le droit au titre de meilleures amies au monde.

Liam ajoute son mot :

-C’est ben beau les titres comme ça, mais est-ce que les autre peuvent entrer?

-Oui, oui, ils peuvent entrer.

Ils prirent chaqu’un une chaise et le petit groupe s’assit en cercle autour de mon lit. Anne à côté d’Harry, Louis à côté de Cora et Harry, Cora à côté de Moi et Louis, Niall à côté d’Anne et Zayn, Zayn à côté de Niall et Liam, Liam à côté de moi et Zayn et moi, à côté de Liam et Cora. Il y avait une sorte de gêne dans le groupe, surement dû à notre première rencontre catastrophique. Niall prit la parole après que cinq minutes de silence se soit écoulées :

-On peut m’expliquer la situation?

Je me demandais bien de quoi il parlait. Je vis les joues d’Harry rougir. Je venais de remarquer qu’ils, Louis, Harry et Liam, n’avait rien dit aux autres. Je me glissais sous ma couverture :

-J’y suis pour rien!

Je savais qu’en ce moment, Anne et Cora me regardaient d’un sale œil, elles savaient bien que je ne me mêlais jamais des trucs comme ça, mais pourquoi ne pas avoir dit la vérité? Louis prend les devants et explique :

-Bon, je sais que cela peut paraître ridicule, mais on vous à cacher quelque chose. En fait, je vous présente, Anne, Cora et l’autre. Qui sont les trois filles qui nous ont fuit au concert, bref vous vous souvenez les petites recherches?

Niall hésite :

-Je devais manger….

Zayn par contre dit :

-Oui, oui les trois filles, une immigrée et deux en voyage…

Louis sourit et continue :

-Bien en fait, c’est compliquer à expliquer, mais on est tombé amoureux d’elles, Harry, Liam et moi. Donc, on a tout fait pour les retrouver. Et là, en fait, on leur a tous avoués et bien, on a eu la chance qu’elles aussi nous aiment, donc on sort avec elles…

Niall et Zayn leur font les gros yeux :

-Pourquoi ne nous avoir rien dit?

Liam répond gêné :

-En fait, c’est que c’est officiel seulement depuis hier et…

Harry essaye de changer de conversation :

-Qu’est-ce que tu as… Liam, comme elle s’appelle déjà?

Liam n’a pas le temps de répondre, Zayn lui coupe la parole :

-On a le droit à des explications, non?

Liam s’adresse à Harry, puis continue ses explications :

-Elle s’appelle Jaspe, Harry. Oui, Zayn, il est vrai qu’on aurait dû vous en parlez, mais vous voyez, hier, on y a pas trop pensé, on était trop content…

Zayn donne une petite tape dans le dos de Liam :

-C’est correct, vous êtes tous pardonné!

Je sors de sous ma couverture en marmonnant :

-Tant mieux, je suffoquais là-dessous.

Ils me regardèrent tous un peu bizarrement, mais ils commencèrent à rire, qui sait pourquoi

Chapitre 10 :

Une amitié naissante.


Il était une heure, mon mal de tête avait quasi disparu, je pu enfin sortir. Cora et Louis partirent ensemble de même que Anne et Harry. Zayn et Niall nous proposaient de nous laisser seuls, en amoureux, mais je refusais. Ils demandaient surement pourquoi parce que Niall me posa cette question :

-Je pensais que vous sortiez ensemble.

Je répondis immédiatement :

-Oui, mais, il n’est pas parce que nous ons un couple que je n’ai pas le droit d’essayer de passer un peu de temps avec ses amis pour mieux les connaître.

Ils ne comprirent pas immédiatement, mais après quelque instant ils me dirent :

-Oui, on voit, vous pouvez rester avec nous, bien entendu… si vous le voulez.

Je vérifiais si j’avais mes clés, lorsque je fusse rassuré à ce sujet, je proposais :

-Vous voulez aller manger quelque part?

Ma proposition fût acclamé de la part de Niall qui disait mourir de faim, Zayn se montra plus calme, mais accepta. Puis, Liam me proposa même de payer l’adition. On déambulait au pas de course dans les rues de Londres. Le but, éviter le plus de caméras possibles. On arriva dans un restaurant que Niall nous avait proposé. On mangea bien, mais pas trop, à l’exception de ma personne et Niall. Dès qu’on eu réglé l’adition, on déambulait dans les rues de Londres, ce qui m’étonna le plus fut l’absence de médias, mais cela ne me dérangeait pas. J’avais une peur bleue des appareils photos, des micros et caméras, mais, cela ne m’empêchait pas de vivre en communauté. En fait, j’aimais bien aussi être seule avec eux, on pouvait mieux les connaître. Il ne fallu pas longtemps pour que Niall et moi devenions amis, Zayn et Liam étaient découragés, mais ça, c’était une autre histoire. On s’amusait comme de fous, Niall et moi, durant tout le restant de l’après-midi, au grand désarroi de Zayn et Liam. Quelque fois, l’idée que je fasse honte à Liam me passa par la tête, mais pour être immédiatement remplacé par quelque chose d’autre. Il commençait à ce faire tard, le ciel commençait à prendre des teintes de rosées lorsqu’ils me reconduisent chez Anne. Niall me souhaita bonne nuit, tout en me demandant si on pouvait passer d’autre journée ensemble avant mon départ. Je lui promis, au moins, trois jours. Il sautait presque de joie à cette annonce. Zayn était un peu plus calme que Niall, il me proposa lui aussi de passer d’autre journée ensemble, à ce qu’il paraît, il avait apprécié ma compagnie. Comme pour Niall, je lui promis de passer quelque jour avec lui. Liam me souhaita, lui aussi, bonne nuit, il m’embrassa et me demanda de passer la journée de demain seule avec lui. Bien sur, j’acceptais, je savais qu’il attendait depuis une journée entière pour me dire quelque chose qu’il avait dit de très important, hier.

Chapitre 11 :

Ce que tu voulais me dire


Je me levais de très bonne humeur, sachez que quand je suis de très bonne humeur, je commence à chantonner, donc je me rendais à la cuisine en chatonnant lorsqu’Anne m’intercepta :

-Jaspe, tu fais quoi aujourd’hui?

J’hésitais un peu, je ne voulais pas la décevoir si elle avait prévue quelque chose avec moi :

-En fait, je m’étais dit que je passerais la journée avec Liam…

Elle fit la moue :

-J’imagine, juste Liam et toi…

Je me gratte nuque, un peu gênée :

-Oui, en fait, c’est parce que hier, on avait prévu passer la journée ensemble et j’ai été malade et après, on a décidé de rester avec Zayn et Niall, donc…

Elle me sourit doucement :

-Ça va, c’est compris, on vous laisse partir en amoureux!

Je vais dans la salle à manger, suivi d’Anne, nous mangeons notre petit déjeuner, soi des crêpes fait par Anne, la meilleure cuisinière au monde. Je monte me changer et descends passer un peu de temps avec mes amies, mais peu après mettre assise sur le divan, on sonne à la porte. Je me lève pour répondre lorsque mon cellulaire sonne. Anne va ouvrir, elle sourit à son interlocuteur tout en lui parlant. J’ai deviné depuis quelque temps qui est à la porte, Harry. Je réponds à mon téléphone :

-Oui, allo.

-Salut Jaspe, c’est Liam, c’était juste pour t’avertir que j’arrive.

Petite pause, je réponds :

-Mais, je suis prête depuis longtemps!

Liam rit et me dit à tant tôt, je fais de même et raccroche. Je mets mes souliers et attends dans le salon. Cora rouspète, Louis n’est pas encore arrivé, mais que veut-elle que j’y fasse! On sonne à la porte, je suis plus vite que Cora et va répondre. Liam me sourit, je dis à Cora, que je pars. Elle me cri presque après, il ne faut pas que je la laisse seule. Je sors dehors et commence à m’éloigner, Cora sort dehors et me fait des remontrances, comme quoi qu’on ne traite pas ses amies ainsi, Liam se porte à ma défense. Il dit que je suis désolée, mais qu’on est un peu pressé. Cora accepte ses excuse et me demande pardon pour m’avoir traité de tous les noms, j’accepte ses excuses et pars. On marche un peu dans les rues de Londres, que je ne peux toujours pas identifié, mais on s’arrête au petit parc où on s’est en tant que tel, rencontré. Il me dit de m’assoir et par durant quelque minute, il revient avec un bouquet de fleur, des rose roses. J’aimais bien les rose, je le regardais, comme demandant des explications, alors il me dit :

-Je pensais t’offrir des fleurs, mais je ne savais pas lesquelles, donc j’ai demandé à tes amies. Bref, tu dois te demandé pourquoi tout ceci. Et bien, parce que je me disais que notre relation avait peut-être commencé bizarrement, donc je me suis dis de te faire comme en tant que tel une demande officiel.

Je rougis un peu :

-Mais, ça ne sert à rien, c’était très bien comme ça…

Liam sourit :

-Tant pis, je voulais juste te demander si tu voulais sortir avec moi, concrètement…

Je rougissais à vue d’œil tout en tenant mon bouquet de rose, je répondis :

-Oui, j’aimerais bien sortir avec toi…

Ça y est, je devais être rouge comme une tomate lorsqu’il approcha son visage du mien pour m’embrasser. Je n’aurais jamais cru qu’un garçon pouvait me faire cet effet, mais ce n’était pas n’importe qui, c’était Liam Payne de one direction!

Chapitre 12 :

Les groupies s’en mêlent


C’est seulement le soir venu, une fois que Liam était parti et que j’étais rentrée chez Anne que j’appris ce qui c’était passé. En fait, c’était simple, des journalistes (paparazzi) nous avaient surpris, Liam et moi en train de nous embrasser, bien sur les photos s’étaient vite partagées sur les réseaux sociaux et maintenant, presque tout le monde le savait. Je n’avais pas encore remarquée que ces simples photos bouleverseraient ma vie, comme chaque soir, je me ***ctais sur facebook pour parler avec mes amies. Ce soir là par contre, j’avais énormément de message, mais pas les messages qu’on aime recevoir, plus des messages d’insulte, relatant à ma liaison amoureuse avec Liam. Les groupies, n’avaient cessées de me bombarder de message, je ne pouvais pas toutes les bloquées et les signalées car le nombre était trop imposant. Je fermais mon facebook, dégoûtée. J’allais me coucher, mais je passais une très mauvaise nuit. Je me réveillais le matin, en larme. J’avais pleurée une grande partie de la nuit. Ce matin, je ne descendis pas manger, je fermais la porte de ma chambre, m’isolant du monde extérieur. Mes amies tambourinaient à la porte, dans l’espoir que je leur ouvre, peine perdu. Elles se découragèrent et descendirent, je savais qu’elles n’avaient pas complètement abandonné. Quelque minute plus tard, on cogna à ma porte, mais cette fois c’était ni Anne, ni Cora, c’était Liam. Il me demandait de lui ouvrir, mais je ne voulais que personne me voit dans cet état, je me sentais très vulnérable. Je ne su combien de temps passa avant que j’autorise Liam à entré. J’étais encore couchée dans mon lit, la tête enfouie dans l’oreiller lorsqu’il entra. Il referma la porte derrière lui. Il s’approcha et s’assit sur le lit, je savais ce qu’il allait dire, mais je le laissais parler :

-Qu’est-ce qui se passe avec toi, Jaspe?

Je pris mon ordinateur sur mon bureau et me ***ctais sur facebook. Je lui montrai, les tonnes de message que j’avais reçu, il se risqua même à en lire un. Son contenu dû autant le dégoûté que moi car il ferma mon facebook. Il commençait à jouer dans mes cheveux, comme si cela allait me rassurer et m’arrêter de pleurer. Au bout de quelque instant, ça tech*** fonctionna, je séchais mes larmes, mais j’avais encore la gorge nouée par ce que j’avais lu. Vers quatorze heures, je sortie enfin de ma chambre. Celons mes amies, j’avais le teint pâle. J’allais manger un peu durant que Liam expliquait la situation aux autres. Je ne voulais pas qu’ils aillent pitié de moi, je voulais juste qu’ils comprennent. Quand je remontais, Harry me promit que cela n’arriverait plus, je voulais bien le croire, mais il n’avait aucune emprise sur les fans.

Chapitre 13 :

Merci Harry


Je m’étais endormie tôt hier, je ne voulais rien savoir de la pitié des autres, donc je n’étais même pas descendue manger. De temps à autre, ce matin, j’entendais des personnes chuchoter en bas. Cora semblait anxieuse, elle devait avoir peur que je tombe en dépression. Anne était aussi tendue qu’elle, mais pour d’autre raison. Elle savait bien que quand je m’isolais de la sorte, c’était que l’heure est grave. Il fallait agir rapidement et efficacement. Je ne voulais même plus répondre à Liam lorsqu’il cognait à ma porte. Je redevenais comme avant, isolée du reste du monde, seule. Harry dû avoir une idée que génie car il s’exclame :

-Je sais

Et il parti immédiatement de la maison.

À ce moment là, je ne sus pas ce qu’il lui est passé par la tête. C’était une fois le soir arrivé, après de longue supplication de la part de Cora, j’avais décidé de descendre pour qu’elles me laissent tranquille. La télévision était ouverte, c’était le moment des nouvelles de dix-huit heures. Le présentateur commençait comme tous les jours ses nouvelles, jusqu’à ce qu’il commence à parler de 1D, je n’avais pas prêtée attention. Le présentateur passa par la suit à un journaliste, celons eux, il y avait une grande nouvelle sur 1D. Le journaliste commença à faire une introduction, jusqu’à ce qu’il dit :

-Ce matin, nous avons eu le droit, à une interview de Harry Styles, chanteur de 1D.

Une séquence un peu plus vieille commença, Harry était dans la rue, en train de répondre aux questions des journalistes. Une dame dans la vingtaine lui demanda :

-Liam est-il vraiment en couple?

Harry qui comme à son habitude souriait en répondant :

-Oui, en fait, c’est justement pour ça que je suis ici. Cette fille, Jaspe, a reçu des messages d’insultes, hier. Donc, je veux dire à toutes les fans que nous ne tolérons pas d’autre messages de la sorte, Jaspe est une fille géniale, laisser-lui la chance de se faire connaître. Et je suis sure, que malgré tous les messages qu’elle a reçu, elle vous pardonnera si vous arrêtez. Donc, je dis qu’au cas d’autre message de la sorte, moi, j’arrête tout, tant que ça continu.

On fermait la télévision et je sautais presque dans les bras d’Harry pour le remercier, si les messages ne cessaient pas, je savais que le sacrifice était énorme, mais cette simple chose, m’en avait appris beaucoup plus. J’appris ce jour là, que je comptais aux yeux d’Harry, au point qu’il fasse cela…

Chapitre 14 :

Le cadeau


Ce matin là, je mettais réveiller heureuse, heureuse que les messages ait cessé. Les fans, suite à l’annonce d’Harry avaient immédiatement arrêté, mais ce matin, qu’elle ne fût pas ma surprise lorsque je trouvais une immense boîte sur mon lit. De nature très curieuse, je commençais par regarder l’emballage. Devais-je le déballer ou non? Ne pouvant tenir en place, je commençais à défaire le papier cadeau. J’ouvris la boîte et je trouvais à l’intérieur un petit chaton, tranquillement assis. Je le pris dans mes bras et il commença à ronronner. J’avais toujours aimé les chats, quand j’étais petite, j’avais eu trois chats, Zouk, Simba et Alex. Je n’avais pas encore remarqué la présence de Liam derrière la porte, je sursautais quand il me dit :

-C’est une fille…

Je regardais la petite minette dans mes bras, comme l’appellerais-je. Elle avait un long pelage orange rayé de blanc. Je pensais l’appelé Kitty, mais je trouvais ce nom trop courant. Je décidais don de l’appeler sunset (coucher de soleil).

Chapitre 13 :

Une catastrophe


Tout le monde adorais sunset, Harry l’aimait plus que moi, j’en étais sure. Durant l’après-midi, les gars partirent, ils devaient être chez eux avant le soir, qui sait pourquoi! Dès qu’ils furent partis, nous décidons d’aller un peu explorer Londres, vu que nous étions seulement de passage. C’était vers la fin de l’après-midi, nous avions fait un peu de magasinage lorsque je vis une fille, une jolie petite blonde, au bras de Liam. Elle l’embrassait, je m’étais sentie trahi, j’étais partie en courant, je ne voulais plus jamais voir Liam. Je courais tout en pleurant dans les rues de Londres qui m’était peu familière, une fois le soir venu, lorsque la nuit était tombée, je décidais d’aller dormir dans un hôtel. J’étais ressortie de l’hôtel vers vingt-deux heures… pour aller manger, mais je ne souvenais plus très bien de comment c’était passé ce repas…

Chapitre 15 :

Qui est vraiment Jaspe?


Ce qui se passe chez les filles sera décrit par Cora qui écrira comme ça

Et ce qui ce passe avec Jaspe est écrit comme ça

On se réveillait ce matin, on marchait jusqu’à la chambre de Jaspe, dans l’espoir qu’elle soit revenue, mais il n’y avait personne. On ne savait même pas pourquoi elle était partie, mais on commençait à s’inquiété, on ne voulait pas en parler aux gars. Il fallait retrouver Jaspe au plus vite et sans aide. Le téléphone de la cuisine sonnait, j’allais répondre :

-Oui allo.

-Hum… salut Cora, je peux parler à Jaspe?

J’ai une hésitation, faudrait-il tout lui dire, je décide d’y aller avec la vérité :

-Non…

-Pourquoi, elle a quelque chose?

Je cherchais mes mots :

-Non, elle n’est pas rentrée à la maison, hier…

-Quoi!?

Je prenais un peu d’assurance :

-Jaspe n’est pas rentrée hier… elle s’est enfuie et n’est jamais revenue. On a essayé de l’appeler, mais rien. On est très inquiète, on ne sait pas où elle est…

La voix de Liam tremblait :

-On arrive, vous nous expliquerez mieux et on tentera de la retrouver…

Il raccrocha, j’avertie Anne qu’ils arrivaient, elle m’en voulait de leur avoir dit.

Quel mal de tête j’avais, je ne me souviens plus de grand-chose d’hier, mais je sais que j’ai surement fini ma soirée dans un bar à me soûler. J’ai honte de moi, j’ai honte de retombée sous l’emprise de l’alcool. Pourtant, je m’étais promis de ne plus jamais me souler et fumer. J’étais encore dans ma chambre d’hôtel lorsque je réalisais l’heure qu’il était.

Nous commencions sérieusement à nous inquiété, les garçons de même. Je pense que c’était une des rares fois où je fus contente qu’Anne ne pleure jamais en public. Liam restait silencieux, comme s’il pensait. Louis me serrait de ses bras dans l’espoir que j’arrête de pleurer, mais comme comprendrait-il ce qui ce passe vraiment? Niall parlait avec Zayn, je ne prêtais pas trop attention à leurs propos, mais je savais que toutes les discussions tournaient autour d’une chose, la fuite de Jaspe. Anne, restait assise à côté d’Harry, inerte, comme morte. Le temps semblait s’être arrêté pour nous, Jaspe était partie. Je me retournais souvent vers la porte, dans l’espoir de voir surgir Jaspe. Je savais qu’elle devait avoir fait des bêtises, elle s’était peut-être souler hier, même si je lui avais interdit, mais peu importe, je ne la blâmerais pas lorsqu’elle reviendra, je ne lui dirais rien d’autre qu’elle m’a manqué. Si, si elle ne revient jamais, je pense que ma vie n’aura plus aucun sens, Jaspe m’a aidé, elle m’a offert quelque chose que je n’oublierais jamais, elle m’a offert une nouvelle vie. Jaspe compte beaucoup pour moi et sans elle, je pense que je redeviendrais comme avant, je n’aurais que des idées noires et je déciderais de partir, pour toujours, au seul endroit d’où on ne revient pas. Je pense qu’Anne et moi devons un peu éclaircir les garçons sur qui est Jaspe, comme nous, ils pensent la connaître, mais c’est seulement il y a quelque années que nous avons vu qui était Jaspe. Je séchais mes larmes et me décidais à tout dire :

-Nous n’avons pas vraiment été juste avec vous, vous ne savez pas ce qui c’est vraiment passé avec Jaspe. Vous pensez la connaître, comme nous l’avons cru, mais vous ne la connaissez pas!

Ils me regardèrent, soudainement attentif à mes propos, je continuais :

-C’était quand nous avions quinze ans, Jaspe était une élève modèle, au-dessus de tous. Elle se tenait avec nous, on se connaissait depuis très longtemps, elle nous adorait. Un jour, Jaspe n’est pas venue nous voir, nous avons passé une journée complète sans la voir, nous trouvions ça bizarre. Le lendemain, elle fit de même, cela durant toute une semaine. Ses notes avaient baissées, elle ne se présentait que rarement en cours, nous ne savions pas ce qui lui arrivait jusqu’à un jour, nous la voyions. Jaspe se tenait avec des nouvelles filles, nous ne les avions jamais vu. Elles semblaient sympathiques, mais dès qu’on su qu’elles faisaient ensemble, on rectifia vite notre idée à leur égard.

Annabelle, Audrey et Gaëlle m’avaient trans ée en monstre. Je ne pouvais plus m’en passé maintenant, elles avaient eu raison de moi. Je savais qu’on jour, ça devait ressurgir, mais pourquoi aujourd’hui, alors que je vivais un des plus beaux moments de ma vie (ce moment à prit fin lorsque j’ai vu la blonde embrasser Liam.).

-Bref, ces filles fumaient, mais elles ne faisaient pas juste fumées, elles incitaient Jaspe à ce joindre à eux. Ce jour là, on avait compris pourquoi les notes de Jaspe baissaient, que Jaspe ne dînait plus avec nous et qu’elle nous ignorait, elle était dépendante. Je pense que ce fut un des plus laids jours de ma vie. C’est vrai, on avait eu vent que ça n’allait pas pour le mieux dans sa famille, mais pas de là à fumé! Le soir, je parlai à Jaspe. Le lendemain, elle était presque devenue normale.

Je pris une petite pause :

-Chaque jour, on prêtait attention à elle, elle consultait un psychologue pour ses problèmes familiaux et ses problèmes cachés d’alcoolisme et de cigarette. Je pense que le jour où je sus que j’avais retrouvé ma meilleure amie, c’est lorsqu’elle m’a aidé à me sortir du pétrin.

Liam me regardait, puis dit :

-Ce n’est pas tout, je n’ai pas tord?

Je ne savais plus vraiment quoi faire, je ne voulais pas rentrer chez Anne, j’étais sure qu’Anne ne raterait pas l’occasion pour me faire des remontrances. Je savais que Cora devait se faire un sang d’encre, Liam aussi, s’il ne m’avait pas oublié pour la jolie blonde…

Un peu hésitante :

-Non, c’est vrai Liam, tu n’as pas tort, mais je pense que je vous en ai dit trop sur elle. Elle n’aime pas beaucoup qu’on parle de ses problèmes…

Mon téléphone sonna, je ne me précipitais pas pour répondre, j’étais presque sur que c’était mes parents. Je décrochais :

-Oui allo.

Une voix lasse, molle me répondit :

-Salut Co’, c’est Jaspe… comment vas-tu?

Je sursautais :

-Jaspe, où es-tu, pourquoi n’es-tu pas revenue hier?

Mollement Jaspe me lança :

-Cora, je veux savoir comment tu vas….

-Bien, bien, beaucoup mieux que tantôt… toi?

Il eu une hésitation :

-Ouais… pas si mal….

J’hésitais :

-Jaspe, où es-tu, que fais-tu?

Une petite hésitation :

-J’ai dormis à l’hôtel…et je suis en train de te téléphoner.

-Jaspe, tu sais que ce n’est pas ce que je veux savoir!

-Tu veux savoir pourquoi je suis partie. Bien, c’est simple demande à Liam ce qu’il faisait vers dix-sept heures!

Elle me raccrocha au nez, je savais que Jaspe avait quelque chose à se reprocher, mais je ne tentai pas de lui téléphoner, si elle était partie, elle voulait avoir la paix. Ils me regardaient depuis le salon, je leur expliquais la situation et comme je l’avais prédit, Anne se précipita sur le téléphone.

J’étais rassurer de savoir que Cora allait bien, elle devait être avec les gars, je ne craignais pas pour elle, quand à moi, j’allais retourner dans le cycle infernal dans lequel je m’étais réembarquer hier…

Je regardais Liam, les explications de Jaspe me revenaient sans cesse en tête : «Demande à Liam ce qu’il faisait vers dix-heures.». J’avais le goût de lui poser cette question, mais je ne pouvais pas deviner comment il réagirait. Cela devait faire une heure que Jaspe avait appelée lorsque je me décidais à poser la question à Liam :

-Liam?

Comme sortant d’un rêve :

-Oui?

-J’avais oublié de vous dire quelque chose à propos de l’appel de Jaspe, elle m’a dit que si je voulais savoir pourquoi elle était partie, il fallait que je demande à Liam ce qu’il avait fait vers dix-sept heures hier…

- Non, ce n’est pas vrai! Cora, tu as le numéro de Jaspe?

Je ne comprenais pas où il voulait en venir :

-Pourquoi?

Liam soupira :

-J’aimerais lui envoyer un texto, vu que je pense qu’elle ne réponde pas au téléphone, pour tout lui expliquer…

Je lui passais le numéro de Jaspe, mais j’aurais bien aimé savoir ce qu’il c’était passé qui avait pu autant bouleverser Jaspe.

Chapitre 16 :

Il est temps de se réveiller Jaspe

Je passais une autre soirée dans les bars à boire et fumé. Mon téléphone dû sonner cinq fois, mais je ne répondis pas. Je ne voulais pas parler avec Anne et surtout pas avec Liam. J’étais totalement soule lorsque je rentrais à l’hôtel, c’est à peine si je tenais debout. Mon téléphone sonna encore, cette fois, je regardais qui m’appelait, c’était un numéro inconnu, par texto. Je regardais mes appels manqués, tous du même expéditeur par texto, je lisais le message que je venais de recevoir : «Jaspe, je suis vraiment désoler, Jane n’est rien pour moi, je ne l’aime pas. C’est toi que j’aime, si tu reviens, nous ne te dirons rien, nous ne te questionnerons pas, nous te dirons juste à quel point tu nous as manqué. Jaspe, je pense qu’il est important que je te dise à quel point je t’aime et que j’aurais voulu te téléphoner, même te l’expliquer face à face à quel point je suis désoler et que je n’ai jamais voulu pour ce ***, hier, avec Jane. Liam». Ce simple message fit renaître l’espoir en moi, ce qui m’avait tenu jusque là, je me disais que commencer par une bonne nuit de sommeil ne serait pas une mauvaise idée. Demain, je pense retourner chez Anne, s’ils tiennent leur promesse, ils ne me diront rien, sinon, je n’ai pas encore pensé à ce que je ferais…

Chapitre 17:

Le retour de Jaspe

Je me réveillais encore ce matin avec un terrible mal de tête. Je me levais, déjeunais et allais payer. Je sortis de l’hôtel et tout ce que j’avais le goût de faire, c’était de crier, crier que je suis de nouveau libre. Les fantômes d’Audrey, Gaëlle et Annabelle m’avaient quitté, je pouvais de nouveau être moi-même. Je marchais dans les rues de Londres, lors de mon affolement, avant-hier, j’avais oublié de m’orienter, je me retrouvais à passée une bonne heure à chercher mon chemin. Quand j’arrivais à la rue d’Anne, je commençais à courir. J’entrais doucement dans la maison, tout en faisant aucun bruit. Je n’aurais jamais cru voir un tel spectacle. Les garçons étaient couchés dans des sacs de couchage dans le salon. Liam dormait sur le sofa. Je montais dans ma chambre en essayant de ne réveiller personne, mais malgré moi, Liam entre-ouvrit une paupière. Il grommelait quelque paroles incohérentes, mais lorsqu’il me vit, ses yeux s’agrandir de stupéfactions et il chuchota :

-Jaspe, Jaspe c’est bien toi?

Je souriais, malgré mon mal de tête :

-Oui, c’est moi…

Liam se leva :

-Tu es revenue…

Je souriais, oui, j’étais revenue. J’étais de nouveau parmi les gens que j’aimais :

-Oui, je suis revenue.

Liam s’approcha de moi, je pense qu’il ne devait pas trop y croire, croyait-il à un rêve? Je n’en savais rien, mais une fois qu’il fût assez proche de moi, je l’embrassais. Je pense que c’est à ce moment que Liam se réveilla vraiment. Je lui mettais ma main sur la bouche :

-Je vais me coucher, n’averti personne, je veux leur faire la surprise…

Liam hocha de la tête et alla se recoucher, j’entendis Louis grommeler :

-Qu’est-ce qu’il y a Liam?

-C’est sunset…

Harry s’en mêle:

-Elle est comme devenue un peu folle depuis que Jaspe est partie…

Je remontais dans ma chambre, je trouvais sunset couchée sur mon lit. Je me glissais sous les draps et me rendormais.

Chapitre 18 :

Gaëlle, le retour


Je me levais ce matin, je savais que les filles seraient contentes de me revoir et peut-être, les gars aussi. Je descendais les escaliers sur la pointe des pieds, une fois arrivé, je me dirigeais vers la salle à manger. Ils étaient tous attablés, en train de manger. J’attendais quand soudainement, je criais :

-Bouh!

Je ne pourrais jamais dire à quel point ils ont eu peur, ils ont sursauté et crié. J’étais fière de mon coup, mais je vis les yeux de Cora s’agrandir lorsqu’elle me vit :

-Jaspe, c’est bien toi, tu es revenue?

-Oui, je suis revenue!

Cora se jeta dans mes bras, je pensais qu’elle était heureuse de me revoir. Pour une fois, je vis Anne, la larme à l’œil, par la suite, elle disait que c’était de la poussière, mais je n’en n’étais pas certaine. On me fit un câlin collectif (sûrement, la chose que je déteste le plus), mais j’étais bien contente d’être de retour. On sonna à la porte, comme à notre habitude, nous faisions une course pour savoir qui répondrait. J’ouvris la porte :

-Oui?

Je pense que je n’aurais jamais dû ouvrir la porte ce jour là, la personne, mon interlocuteur, je le connaissais très bien. Je pouvais même vous le décrire les yeux fermés. Elle a des longs cheveux roux, mais on voit aux racines, ses repousses brunes. Elle a des yeux bleus, elle est grande et porte des talons aiguilles. Elle sourit bêtement à tout le monde et met des faux cils. Cette personne, c’est Gaëlle, mon ennemi numéro un après Marie! Elle me souriait bêtement et me dit :

-Oh Jaspe, comment vas-tu, ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vu.

Je voulais éviter la conversation avec, je dis :

-Oh Gaëlle, je vais chercher Anne…

Elle m’attrapa par le bras :

-Mais, j’aimerais un peu causer avec toi avant.

J’essayais de m’en aller, mais elle me retenait, à la fin, elle me dit :

-Tu veux m’éviter ou quoi!

Bien sur, Anne se précipita à me rescousse :

-Gaëlle, tu veux bien nous laisser tranquille!

Gaëlle fulminait, mais fini par rebrousser chemin, mais je savais bien, qu’un jour ou l’autre, elle nous le ferait payer.

Chapitre 19 :

La décision


On refermait la porte, contente de nous être débarrassé de Gaëlle. On se rassit, Anne et moi, les garçons semblaient tendus, que ce passait-il? Louis hésitait, Harry regardait ses pieds, Niall souriait bêtement, Zayn fixait le vide et Liam, Liam évitait mon regard. À la fin, je m’énervais :

-Mais, qu’est-ce qui se passe!

Tous sursautèrent, surement car j’avais tapé assez violemment sur la table. Louis hésita, Liam prit la parole :

-On sait bien, que Cora et toi, devrez bientôt repartir et que nous nous devons aller faire un tour en France. Donc, on a peur de comment ça va ce passer, les relations à distance…

Je soupirais, ce n’était que ça, j’avais régler ce problème depuis longtemps avec Anne et mes parents. J’entre-ouvris la bouche, mais Anne fut plus vite :

-En fait, Jaspe, y avait pensé, elle a appelé ses parents et ceux de Cora, elles peuvent rester chez moi à condition d’aller voir de temps à autre ses parents.

Les garçons sourirent, heureux, mais bien vite, ils retrouvèrent leur air soucieux. Je soupirais :

-Mais, que y’a-t-il encore?

Harry commença :

-C’est qu’on part en petite tournée en France et on ne vous verra plus, pendant un bout de temps…

Louis enchaîna :

-On vous propose deux choix : venir avec nous et vivre, peut-être, les foudres des fans ou rester ici et nous attendre…

Je dû être la première à répondre :

-Je viens avec vous!

Liam me regarda, inquiet :

-Mais, tu es sure, après ce que tu as vécu?

Je soupirais :

-Mais, oui, je suis sure!

Cora et Anne décidèrent la même chose, demain, première heure, nous partirons pour Paris, la ville lumière!

Chapitre 20 :

Welcome in Paris.

Nous prenions l’avions, après quelque temps, nous arrivons enfin à Paris. J’avais toujours rêvé, dans mon enfance, de visité cette ville, mais dès notre arrivée à l’aéroport, nous fumes bombarder de journaliste. En fait, tous se demandaient qui nous étions, Anne, Cora et moi. Les garçons essayaient d’expliquer le mieux possible qui nous étions. Je savais bien que la France était un pays touristique et que les français, certains, parlaient anglais, mais je me décidais à parler. J’étais la seule du groupe à avoir l’accent français, mon grand-père était né ici. On posait la question à Harry :

-Laquelle est Jaspe?

Je ne laissais pas Harry répondre :

-C’est moi…

Tous les journalistes se tournèrent vers moi, j’étais devenu le centre d’attention car je parlais français. Je répondis calmement à chaqu’une des questions : «D’où venez-vous?», «Quel âge avez-vous?», «Quels sont vos noms?», etc. Nous partîmes enfin, mais j’eu une autre surprise. Une petite rouquine se précipita vers moi, cette rouquine, je la connaissais bien, c’était Amandine, une de mes très grande amie. J’appris, qu’elle avait déménagé en France, depuis un mois.

Chapitre 21 :

Amandine

Amandine, cette très chère Amandine, que j’invitais à m’accompagner. Elle se fit un plaisir de nous guider dans les rues de Paris et de nous servir de guide, à Cora, Anne et moi. Je savais bien que les garçons ne nous abandonneraient pas, même qu’ils nous suivraient. Amandine, que dire sur elle sans vous dire qu’elle est folle de Zayn? Je pense que ce qu’il y a retenir est que c’est une fille géniale, elle est sociable, peut-être un peu collante, mais tellement attachante. Dès fois, on me dit qu’elle a l’air stupide et je réponds que ce n’est pas vrai, Amandine n’a pas l’air et n’est pas stupide, foi de Jaspe! Bon continuons, Amandine nous faisait visité Paris, nous étions toutes contentes d’être toute réuni, les cinq filles. J’oubliais, Isabelle, oui, la tranquille et timide Isabelle. Je pense que malgré tout ce qu’on dit sure elle, c’est une fille géniale. C’est vrai, c’est peut-être une intello, elle passe quasi toute sa vie derrière des manuels de science, mais ça ne change rien à sa personnalité. Les gens ne l’aiment pas trop car elle est un peu bizarre, du sens, un peu fou. Je pense, que c’était une de mes amies qui m’avait manqué le plus, il y a trois ans, elle est partie avec sa famille en Écosse. J’espérais, un jour, trouvé du temps pour aller la voir. Je me souviens que le jour des adieux, elle m’avait glissé un papier dans la poche, j’avais voulu l’ouvrir, mais elle m’avait dit : «Pas avant que tu aille un petit ami.». Je pense, que pour elle, c’était le meilleur moyen pour que je ne puisse pas l’ouvrir avant long car je ne suis pas un bourreau des cœurs. Maintenant, j’avais un petit ami, je pouvais ouvrir le papier, je m’arrêtais et fouillais avec désespoir dans mon portefeuille. Je sortie enfin le morceau de papier, mais je dû constater qu’il avait vu de meilleur jour. Le papier était fripé et un peu déchirer. Je l’ouvris, à l’intérieur, un numéro de téléphone avec le nom d’Isabelle dessous. Qu’est-ce que ça signifiais?

Chapitre 22 :

Le numéro

Après une petite ballade dans les rues de Paris, poursuivis par les journalistes, je rentrais chez Amandine, qui nous avait invité à dormir chez elle et me précipitais de composer le numéro sur mon cellulaire. Ça sonnait, j’avais tellement hâte de savoir qui répondrait, j’entendis une petite voix posée, en anglais avec un fort accent néerlandais :

-Oui, allo.

Je reconnaissais cette voix entre toute :

-Isabelle!

Oui, c’était le numéro d’Isabelle, il n’y avait qu’elle qui parlait comme ça en anglais. J’entendis un petit rire de l’autre côté du téléphone :

-Jaspe, comme ça va, tu as un petit ami ou tu as cédé?

Je soupirais :

-Qu’est-ce que tu pense!?

Elle riait du plus belle :

-Tu as un petit ami!

Je riais à mon tour :

-Oui, bravo!

Il eu une hésitation dans sa voix :

-Où es-tu?

Je répondis :

-J’habite, pour le moment, en Angleterre, à Londres, mais je suis en voyage avec mon petit ami en France. Cora, Anne et Amandine sont là aussi!

Elle soupira :

-On dirait qu’il ne manque que moi…

J’arrêtais de rire :

-T’inquiète Isabelle, je viendrais faire un tour en Écosse, promis!

Elle soupira :

-Pas besoin, je viens faire un tour en France, tu reste combien de temps?

J’hésitais :

-Deux semaines

Elle soupira, soulager :

-T’as de la chance ma petite Jaspe, je partais voir mon grand-papa demain! Tu es dans quelle ville?

-Paris…

-Wow, génial, mon grand-père habite à Paris, je pourrais vous voir!

Je lui disais au revoir et lui donnais l’adresse d’Amandine. J’étais tellement contente lorsque j’annonçais la bonne nouvelle aux filles, elles sautèrent de joie, demain, Isabelle serait avec nous…

Chapitre 23 :

Le retour d’Isabelle

Nous étions impatiente d’entendre le bruit de la sonnette, ça serait un nouveau départ pour nous toutes, ensemble, comme avant. On s’était promis de toujours rester ensemble, bien sur, ce n’était qu’une promesse d’adolescente, nous l’avions vite oublier. Nous avons, chaqu’une, pris notre chemin, mais sans le savoir, il y avait une jonction à tous ses chemins, même si la vie ne nous a pas toujours été clémente, nous sommes resté ensemble, main dans la main. Nous avons tout bravé pour arriver à faire notre place dans le monde, nous avons dû nous montrer ferme, mais nous savions que c’était le meilleur moyen de réussir, s’affirmer. Cora, Anne, Amandine et moi avons vite trouvé comment s’affirmer, mais Isabelle, s’est laisser un peu trop piler sur les pieds, on peut le voir dans son comportement. Elle a énormément de misère à s’affirmer et si nous sommes là pour elle, nous saurons, que peut importe le moment et le lieu, elle sera là pour nous, pour toujours.

Ce n’est que vers midi que la sonnette résonna, nous nous précipitâmes vers la porte, je pense que les garçons n’avaient rien compris. Anne ouvrit la porte, de l’autre côté, notre très chère Isabelle. Ses cheveux bruns clairs bouclés étaient un peu décoiffés, on avait toujours dit qu’au fond de ses yeux bruns, il y avait une sorte de petite lumière moqueuse. Elle n’avait pas changé, à part qu’elle était rendu maigre. Isabelle avait grandie trop vite, vers l’âge de 13 ans, elle avait déjà sa taille adulte, soit, elle n’était pas très grande. Isabelle, n’était pas trop talon haut et n’aimait pas prendre une heure à choisir ses habits, elle portait la première chose qui lui tombait sous la main et des fois, ce n’était pas très beau, mais elle disait : «La vraie beauté est intérieure, mais de nos jours, l’apparence compte tellement plus, je ne comprends pas pourquoi!». Nous la fîmes rentrer, elle semblait épuisée par le voyage, plutôt court, mais il faut dire qu’Isabelle à une peur bleue des avions.

Chapitre 24 :

Amandine tombe sous le charme

Je pense, que malgré que les garçons aient passés peu de temps avec nous, Amandine s’était attaché à eux, mais je pense, que sont béguin pour Zayn était devenu plus fort. Elle ne savait pas comment nous en parler, ni lui en parler. C’est vrai, Zayn et moi n’étions pas les meilleurs amis du monde, mais je ferais tout pour qu’il remarque la présence d’Amandine. J’allais justement rencontrer les gars à la tour Effel, je pense, que c’était un des plus beaux jours de ma vie, Liam avait promis de me faire visiter la tour, j’étais au ange. En fait, j’allais être seule avec les cinq gars car les filles avaient quelque chose « d’important » à faire. J’étais enfin rendue là-bas, je vis Liam me faire des signes de la main, j’allais les rejoindre, la mission faire remarquer Amandine à Zayn était commencée :

-Salut les gars, comment allez-vous?

Ils répondirent pêle-mêle :

-Très bien, content de te voir!

Moi aussi, j’étais contente de les voir. Liam me proposa d’aller nous promener un peu en ville avant de visiter la tour, je ne m’y objectais pas. Cela devait faire cinq minutes lorsqu’Harry me dit :

-Je pense que Zayn veut te demander quelque chose…

Je me tournais vers Zayn :

-Oui, qu’est-ce qu’il y a?

Il semblait un peu gêné, lorsqu’Harry voulu répondre, il lui plaqua la main contre la bouche. Je trouvais ce comportement, des plus étranges. J’insistais :

-Qu’est-ce qu’il y a Zayn?

Cette fois, il rougit et bégayait. J’en pouvais plus :

-Mais, voyons, vas-y, soit pas gêné!

Zayn prit une grande inspiration et se lança :

-Tu vois, ça peut paraître bizarre, je ne dis pas que le coup de foudre n’existe pas, mais c’est des plus étrange. Donc, je voulais simplement te demander si tu pouvais donner cette lettre à ton amie Amandine, la petite rousse, car chaque fois que j’ai voulu lui donner, elle m’a évité…

Je regardais la lettre qu’il me tendait, j’avais envie de l’ouvrir, mais je ne voulais pas paraître mal polie, donc, je ne l’ouvris pas.

Le soir venu, j’avais l’impression que ma journée n’avait que durée une demi-heure. C’est le soir, au souper, que je me souviens de la lettre pliée, glissée dans ma poche. Je la sortie de ma poche et la tendait à Amandine :

-Zayn m’a demandé de te donner ça…

Les yeux d’Amandine s’agrandirent, elle tremblait, je ne voyais pas pourquoi elle semblait aussi fébrile. Elle ouvrit la lettre lentement et la lue. Je ne savais pas ce qu’elle ressentait, mais de plus en plus qu’elle avançait dans sa lecture, un sourire apparaissait sur ses lèvres. Ce n’est qu’après le souper, qu’on apprit la contenu de la lette, alors je me souviens de ce que Zayn m’avait dit : «je ne dis pas que le coup de foudre n’existe pas, mais c’est des plus étrange (…).». Une déclaration d’amour, le coup de foudre, quoi!

Chapitre 25 :

Journée de pluie, journée de confidence

Aujourd’hui, la température n’était pas en notre faveur, la journée s’annonçait brumeuse et pluvieuse, je ne savais même pas si les garçons viendraient. Hier, Amandine avait parlé plus d’une heure avec Zayn, ce n’est qu’une supposition, mais je pense que c’est l’amour fou entre ces deux là! J’avais oublié de mentionner que j’avais emporté sunset en voyage, elle dormait à côté de moi ce matin là car je ne m’étais toujours pas levée. Je m’enfouis la tête dans l’oreiller, pas question de me lever aujourd’hui! Je ne vis même pas que quelqu’un s’aventurait dans ma chambre, la tête plongée dans mon oreiller. Quelqu’un s’assit sur le lit, cette même personne commença à jouer dans mes cheveux. Je relevais la tête pour trouver Liam assit sur mon lit. Je souriais, mais lorsque je remarquais qu’il était trempe, je le sonnais d’aller se sécher dans la salle de bain avant de s’assoir dans mon lit. Il revient quelque minute après, il ne fit pas que s’assoir dans mon lit, il se coucha de façon à être face à face avec moi, dans ce temps là, j’avais toujours les yeux fermés. Lorsque je rouvris les yeux, j’eu la peur de ma vie, Liam, lui rit un bon coup. Après, il m’embrassa. J’aurais voulu aller voir Niall, Harry, Louis et Zayn, mais Liam me retient, c’est vrai que ça faisait longtemps qu’on n’avait pas eu un peu de temps ensemble, tout les deux. Pour moi, une relation se basait sur la confiance et l’empathie, je ne voulais pas d’un gars qui me désirait physiquement seulement, il fallait aussi qu’il apprécie mon caractère et Liam, était comme ça.

Je dû passé plus d’une heure, seule avec Liam. Harry passa la tête dans l’embrasure de ma porte vers midi, il nous dit sur un ton de reproche :

-On dirait que je vous dérange!

Bien sur, il venait de casser un moment magique. Je me décidais à me lever, Liam parut déçu que je parte, mais il fallait bien que j’aille voir les autres. Je descendis en bas dans mon pyjama. Ils étaient tous réunis dans le salon, on nous avait gardé deux place, je me souvenais que quand j’étais plus jeune, en groupe, on se plaçait comme ça pour raconter nos secrets. Dès que je croisais le regard d’Anne, je compris que nos mythiques soirées de confidences reviendraient maintenant, mais avec des nouveaux. Je m’assis sur le divan entre Liam et Niall, je m’assis en indien et Anne commença :

-Bon qui veut commencer!?

Tous la pointèrent, on rit un bon coup, Harry lui posait une question :

-Dans quel genre de famille tu as vécu?

-Une famille attentive, mais un peu collante, une mère, un père, un frère et deux chats la composait.

Anne posait une question à Isabelle :

-Isa, pourquoi as-tu déménagé en Écosse?

-Et bien, c’était parce que mon père avait trouvé un travail là-bas et en plus, il venait de se séparé avec ma mère donc il a décidé de partir.

Isabelle posait une question à Niall :

-Est-ce que tu t’es fait des amies dans le groupe?

-Oui, une… Jaspe, pour moi, c’est comme ma meilleure amie!

Je me tournais vers lui :

-Moi aussi je t’aime!

Niall rit et me posa sa question :

-Qu’est-ce qui a le plus marqué ta vie, sauf ma rencontre?

Je ris :

-Je pense que c’était en première secondaire… voulez-vous vraiment le savoir, parce que ce n’est pas beau à entendre?

Ils répondirent en cœur que oui, donc je continuais :

-Bon, j’avais douze, bientôt treize, c’était dans l’année où on était indécise, on ne savait pas avec qui se tenir et faire confiance à qui. J’avais douté envers mes amies, mes amies les plus fidèles, j’avais décidé de voler par mes propres ailes. On sait tous que ça doit arriver, un jour. J’avais décidé de commencer à me tenir avec Gaëlle. Gaëlle, la fille la plus bizarre et populaire de l’école. C’était dans le temps où elle vivait dans une famille d’accueille, bref vous voyez le genre de fille! Revenons à mon histoire, je me tenais avec Gaëlle qui me présentait ses amies, je deviens vite quelqu’un de plus tôt populaire, mais Gaëlle ne cessait pas de me demander des choses, je n’avais pas le goût de faire tous ce qu’elle voulait, mais je lui en devais une. Je me tenais même plus avec mes grandes amies d’avant, Gaëlle, m’emporta dans une bâtisse abandonnée, elle avait donné rendez-vous à plusieurs de ses amis. Elle sortit une lampe de poche de son sac et nous proposa d’aller visiter. Je refusais, mais au bout du compte, j’acceptais, pour Gaëlle. On entrait là-dedans, c’était noir complet. On avançait, Gaëlle voulait absolument aller dans le dernier sous-sol car il y avait trois sous-sols. On marchait dans les escaliers, certains tremblaient d’excitation, on était dans un lieu interdit! Une fois rendu en bas, on vit quelqu’un, Gaëlle paniqua et laissa tomber la lampe de poche, on se ruait dans les escaliers, je trébuchais, tombais, me relevais, la peur au ventre. J’étais la dernière, en fait, je le pensais, à monté les escaliers, je me blessais en montant, une plaie à la main. Ils sortirent dehors, tout essoufflés, moi, je n’eu pas autant de chance, la porte se referma devant moi, mais je réussi à l’ouvrir. Lorsque je sortis, Gaëlle fut contente de me revoir, mais on attendait tambouriner à la porte, qui s’était refermé après mon passage. Gaëlle comptait ses amis, il manquait Audrey! On attendit là, des secours, des policiers, mais on se fit prendre, ils nous emportèrent au poste, ils retinrent Gaëlle, mais pas moi, mais je pense que ce premier démêlé avec la police m’avait fait réfléchir…

Ils me regardèrent abasourdis, je n’en n’avais jamais parlé à personne, mais les faits étaient réels et Cora le savait, elle en avait eu vent, mais n’avait jamais supposé que j’étais là.

Un silence gêné s’installa dans la pièce, je devais tout leur expliquer, depuis le début :

-Est-ce que je peux vous faire confiance?

Ils hochèrent de la tête :

-Bon, commençons du début, je m’appelle Jaspe, je suis née dans l’une des familles les plus riches de Montréal, je ne m’en vante nullement. J’ai vécue mon enfance dans le luxe et les caprices, dès l’adolescence, j’ai réalisé que j’étais choyé et qu’il y avait beaucoup de jeune de mon entourage, qui n’avait pas cette chance. Je réalisais à quel point mon existence avait été gâtée. Je voulus faire un compromis avec mes parents, mais ils ne voulurent rien entendre. Je décidais d’agir seule, je ne leur demandais plus rien, mais ils continuaient. Tannée de vivre une vie si facile, je me suis tournée vers les seules choses qui gâche une vie, l’alcool et la drogue. Je ne voulus jamais prendre de drogue vu l’effet, je décidais de fumé la cigarette. Mon monde chavirait, mes notes baissaient, j’étais sure de devoir refaire mon année, je m’en fichais. Mes parents continuaient, j’ai alors eu une seconde idée pour mettre fin à tout ça, je décidais que le suicide était la solution, mais après un mois, je dû réaliser que je n’avais pas la force d’agir. On me disait : «Mais, non, c’est que tu es trop forte pour tomber dans un piège si facile.». À quinze ans, je décidais de passer à l’action, mais, c’est en même temps que je réalisais quelles seraient les conséquences de mon acte. Je ne voulais pas que Cora décide de me suivre, j’étais la seule personne qui la tenait ici, elle me l’avait si souvent répétée. Je ne voulais pas que mes amies pleurent, je ne voulais faire du mal à personne sauf mes parents, mais je savais qu’ils ne seraient pas les plus malheureux. Je décidais donc, le 22 mars, que je ne penserais plus jamais au suicide, car ce n’était pas la solution. Cora dit aussi que le 22 mars, c’est le jour où elle a retrouvé sa meilleure amie car elle a décidé de vivre pour elle. À 16 ans, j’ai décidé de prendre un nouveau départ, je déménageais avec Cora en appartement. Je voulais oublier tout cela, ne plus jamais y pensé, mais je savais que ces souvenirs me hanteraient jusqu’à la fin de mes jours, pour me rappeler toutes mes erreurs. Ils voulaient que je m’en veuille. J’ai brisé tout mes liens avec Gaëlle et toutes ses amies, j’ai décidé de briser tout les liens avec ma sœur, j’ai décidé de brisé le plus de liens avec ma famille. J’ai essayé de les oubliés, en vain. J’ai compris que la vie ne m’avait jamais été vraiment clémente, si j’étais née dans une famille comme ça, c’est qu’elle m’attendait dans le détour. J’ai appris de mes erreurs, j’ai appris à me relever et à ne jamais, plus, abandonner car baisser les bras est un signe de faiblesse. La faiblesse, je n’en voulais plus, je voulais rester forte peut importe la situation. Malgré tout, il m’arrive encore de tout laisser tomber.

Liam me serrait dans ses bras, par pitié ou simplement car il avait été chamboulé par mon récit? Je ne voulais pas plus de la pitié, elle ne me servait à rien, elle ne m’aidait nullement. Liam me garda longuement contre lui avant d’enfin parler :

-Cora?

-Oui?

Liam hésitait :

-Est-ce que tout cela est vrai?

-Oui, ça c’est déjà passé et je suis contente de comment ça c’est terminé…

-C’est ce que tu ne voulais pas me dire, qu’elle avait en temps que tel abandonné sa famille!

Je sentis de la colère dans sa vie, je me défaisais de son étreinte :

-Liam, c’est ma vie, c’est mes problèmes!

Liam choqué :

-Reste que ça ce fait pas! Abandonné sa famille, franchement!

Je voyais rouge, j’hurlais :

-C’est pas tes problèmes, mêle toi de tes affaires, si tu trouve qu’abandonné sa famille ce fait pas, ben tu as qu’à essayer d’endurer la mienne!

Je montais les escaliers à la course en pleurant.

-Jaspe, ce n’est pas ce que je voulais dire, je suis désolé!

Je me retournais en hurlant :

-C’est ça, tu es toujours désolé, tu es désolé que je t’ai vu embrasser une fille sur la rue, tu es désolé de me faire des remontrances sans tout savoir et quoi d’autre?

Liam resta bouche-bé :

-Mais… mais, Jaspe, je reconnais mes erreurs et tu me fais des remontrances!

J’hurlais :

-Tu vois, tu vois, tu continu!

-Mais non, de quoi tu parle!

J’hurlais :

-C’est fini Liam, je ne veux plus jamais te voir, je pars, adieu!

Je montais dans ma chambre et m’embarrais. Je m’assis dos à la porte, qu’avais-je fait. J’aime tellement Liam. Quelqu’un tambourinait à ma porte :

-Jaspe, Jaspe, s’il te plaît ouvre-moi…

Je déplaçais le bureau d’Amandine devant la porte, je prenais mon sac et y rangeais quelque truc, j’ouvris la fenêtre et je partais. J’enlevais mes chaussures pour grimper la clôture, je les laissais là. Je commençais à courir dans les rues de Paris, je me rendais à l’aéroport et m’achetais un billet pour Londres. J’aurais un peu le temps de réfléchir, mais, même si je savais déjà que c’était la pire erreur de ma vie. Je ne pourrais plus jamais me blottir dans les bras de Liam pour pleurer. Je regardais mon billet, on appelait les passagers de mon vol, je laissais tombé mon billet. Je n’étais pas capable d’abandonner Liam. Je me précipitais vers la maison d’Amandine, mon cellulaire sonnait, je m’arrêtais et répondis :

-Oui allo?

-Jaspe, c’est Isabelle, où es-tu?

-Je regardais autour de moi et remarquais la maison d’Amandine, je répondis :

-Devant la maison…

Je vis des rideaux s’écarter et apparaître le visage d’Isabelle, elle me fit signe de la main. Je grimpais par-dessus la clôture et sonnait à la porte. Cora venait me répondre :

-Jaspe, tu ne nous fais plus jamais ça, surtout à Liam, compris?

Chapitre 26 :

Je suis un peu perdue…

J’entrais dans le salon, ma fugue n’avait plu à personnes, Harry et Niall tentaient de consoler Liam qui était en pleure. Anne tentait tant bien que mal de raisonner Amandine, que je n’étais pas partie pour toujours. Lorsqu’Amandine me remarqua, elle cria :

-Jaspe, qu’est-ce qui t’es arrivé?

Je ne savais pas à quoi je ressemblais, mais dès que Liam me vit, il eu un sursaut d’horreur. Je regardais mes pieds, écorchés jusqu’au sang et boueux, pourtant, je n’avais pas trop marché. Mon regard montait, mes mains était écorchées, surement à cause de la clôture. J’allais dans la salle de bain et me regardais dans le miroir, j’avais le visage blanc, les yeux rouges, les cheveux en pagaille. J’entre-ouvris la bouche, mais aucun son n’en sorti, qui étais-je? Anne entra dans la salle de bain :

-Que t’est-il arrivé?

-Je…je ne sais pas…

Anne me regarda :

-Viens, je vais t’arranger ça.

Elle me prit par la main, elle me fit m’assoir sur une chaise, elle sortit des bandages et du désinfectant dans l’armoire d’Amandine. Elle désinfecta mes plaies et me les banda, j’ai les pieds et les mains bandés. Anne me retourna dans ma chambre, qu’ils avaient réussi à ouvrir, et me dit de me changer car si vous n’avez pas oublié, il pleuvait dehors. Je me séchais et prenais des habits secs. Je me brossais les cheveux et descendais en bas. Liam pleurait encore, pourtant, j’étais revenue…

Chapitre27 :

Oublie-moi, c’est fini, je pars

Dès que je m’assis dans le divan, je sus pourquoi Liam pleurait, j’avais rompu. Je savais bien que rien ne pourrait jamais régler cela. Nous nous étions chicaner, c’est vrai, mais, je pense que nous n’étions pas fait l’un pour l’autre, nous étions trop différent. Je ne savais comme l’expliquer aux autres. Ils attendaient tous que je m’excuse et que la vie reprenne son cours normal. J’hésitais, comme le dire sans choquer les autres? Je m’assis à terre, face à Liam, je pris sa tête dans mes mains :

-Liam.

Tout en pleurant :

-Oui?

J’avalais ma salive :

-Ça ne fonctionne plus, je pense qu’on aurait jamais dû être ensemble, pour moi, nous sommes trop différent. Nous ne nous entendons jamais sur rien. Nous nous chicanons et j’ai peur de créer des problèmes. Je te dis adieu, je pars, oublie-moi ou souviens-toi de moi, mais sache que je ne reviendrais jamais…

Liam pleurait de plus belle et s’accrochait à mes mains :

-Non…non, Jaspe, je t’aime! Tu ne peux pas partir comme ça, m’abandonner!

Je me défis de son étreinte et montais dans ma chambre, je ramassais ma valise, mes affaires, je pris mon imperméable et partais. Je voyais, sous la pluie, derrière la vitre, les regards attrister de mes amies. Ce demandaient-elles si un jour, nos chemins se recroiseraient? Je m’en fichais, je retournais chez moi, à Montréal dans ma jolie maison. Je descendais la rue lorsque j’entendis des pas derrière moi, je les ignorais. Une fois rendu à l’aéroport, je me payais un deuxième billet, mais cette fois pour Montréal. J’embarquais dans l’avion et fis un dernier adieu silencieux à Liam, à Niall, à Harry, à Zayn, à Louis, à Anne, à Amandine, à Cora et à Isabelle. Je partais, le cœur lourd, qui savait si j’avais un jour, la chance, de les revoir…

Chapitre 28 :

Pourquoi es-tu partie?

Jaspe écrit comme ça

Cora comme ça

Pourquoi est-elle partie, nous semblions si heureuse ensemble. On c’était promis de toujours rester ensemble, mais il semblerait que nos chemins se soient divisés. Moi, je ne voulais pas abandonner Louis, je l’aimais beaucoup trop. Je savais que Jaspe voyagerait un peu avant de revenir à un endroit fixe, elle ferait tout pour ne plus jamais nous revoir. Cela me chagrinait, il restait qu’elle était ma meilleure amie depuis presque toujours. Je n’avais pas compris pourquoi elle avait mit fin à sa relation avec Liam, une heure plus tôt, ils semblaient tellement heureux. Je savais que Jaspe était spontané et qu’elle prenait, parfois, des décisions trop tôt, sans évaluer la situation. Je me sentais terriblement mal à cause de Jaspe, Liam était reparti, tout seul, il disait vouloir vivre sa peine d’amour seul, mais je pense plutôt qu’on lui rappelle trop Jaspe. Je m’en voulais, d’avoir laissé Jaspe s’en aller sans rien faire. J’aurais… j’aurais pu essayer de la faire réfléchir, de lui dire de ne pas prendre de décision trop précipité, mais comme d’habitude, je n’ai rien fait.

Cela devait faire plus de trois heures que nous restions silencieux, nous ignorant. Ma gorge se nouait chaque fois que j’essayais de parler. Isabelle fut la première à rompre le silence :

-Il faut faire quelque chose! Ça crève aux yeux que Jaspe aime encore Liam, était-ce de la pression des fans ou simplement que Liam lui tombait un peu sur les nerfs, elle seule le sait, mais moi, je veux agir!

Le voyage est interminable, vivement le retour chez moi, je vais pouvoir un peu dormir, je me demande bien ce qu’elles font…

Je savais bien qu’Isabelle avait raison, mais je n’avais jamais été un leader, je ne savais pas comment m’y prendre. J’étais toujours rester dans l’ombre de Jaspe car avec elle, je savais que je ne ferais pas faux bon. Je me sentais à nue, comme si je n’avais plus rien pour me protéger, Jaspe était partie, la triste vérité me frappait de nouveau. Comme recevant une gifle, je me recroquevillais sur le divan, c’était impossible, elle allait revenir, elle dirait que c’était juste une blague…! Je savais que si elle ne revenait pas avant ce soir, je ne la reverrais jamais, plus jamais elle me protégerait. Elle ne pouvait pas être partie, elle avait laissé sunset ici! Je ne voulais pas les croire qui ne pensaient qu’elle ne reviendrait pas. Je savais que Louis devait être découragé, pourquoi j’espérais encore?

J’étais arrivée à Montréal, je aillais un taxi et me rendais chez moi. Cette petite maison que j’avais partagée avec Cora, peut-être, viendrait-elle un jour ici. Pour l’instant, je ne voulais pas qu’elle s’inquiète, je savais qu’il était stupide de faire un interurbain, mais jamais besoin de savoir comment elle allait, il restait que c’était ma meilleure amie pour la vie. Une fois rentré chez moi, je sortis mon cellulaire et composais le numéro de Cora… ça sonnait

Mon téléphone sonnait, c’était peut-être Jaspe! Je répondais :

-Jaspe!?

Un rire :

-Oui, salut Cora, comment ça va?

Je soupirais :

-Dit-moi que ce n’était qu’une blague que tu es devant chez Amandine.

Un soupir :

-Non, ce n’était pas une blague…

J’éclatais en sanglot :

-Non…non! Vous sembliez si heureux! Tu ne peux pas me quitter, ni quitter les filles et sunset!

Un soupir :

-C’est pas ça, c’est que Liam me fait toujours de remontrances, je n’en suis plus capable!

Je continuais à pleurer :

-Liam a disparu!

Étonnement :

-Quoi?

Sanglotait :

-Liam a disparu, il est parti, il veut plus nous voir…

Soupir :

-C’est compliqué…

J’arrêtais de pleurer :

-Les fans!

Sanglot de sa part :

-Ne Dit rien à Harry, s’il te plaît!

J’hurlais à Harry :

-C’est les fans Harry, je pense…

Jaspe criait à l’autre bout du fil :

-Tu n’es pas de confiance! Je n’ai plus personne sur qui me fier! Je te déteste, adieu!

Paniquée :

-Non, Jaspe, aimes-tu encore Liam

Sa voix se radoucie :

-Tu ne diras rien à Liam?

-Promis

Soupir :

-Oui, je l’aime encore, mais je ne veux pas qu’il me fasse toujours des remontrances et il a les fans…

-On peut essayer d’arranger ça avec les fans en étant subtile, ça te plaît?

-Oui, mais pour Liam…

Soupir :

-Ça sera à toi de t’arranger, ok?

-Ok…

Harry se penchait au-dessus de mon épaule et chuchotait :

-C’est qui?

Je mettais la main sur mon téléphone :

-C’est Jaspe, elle a encore des problèmes avec les fans…

Harry me demande :

-Je peux lui parler?

-Je ne sais pas… peut-être, elle ne veut plus te parler.

Harry me prit le téléphone des mains et s’éloigna

|Harry, lorsqu’il parle avec Jaspe|

-Jaspe!?

Hésitation :

-Oui allo, Harry?

-Dans le mile, bon parlons fan, que ce passe-t-il?

Soupir :

-C’est compliqué, mais j’ai pensé que ça dérangeait pas trop car je recevais beaucoup moins de message d’insulte, mais ma tolérance n’a rien arranger, maintenant, les propos sont de plus en plus odieux et on certaines poussent même à me demander de rompre, donc j’en peux plus et en plus, Liam me fait sans cesse des reproches, je craque!

Soupir :

-Je vais en parler aux autres, pas à Liam, tu arrangeras ça avec lui, je ne veux pas me mêler de ce qui me regarde pas. Ton couple, c’est ton couple, fait tout ce que tu veux, mais explique les raisons à Liam… j’en peux plus de le voir pleurer, ça me fend le cœur.

Nervosité :

-Je sais pas comment le dire à Liam sans qu’il se fâche, pour les fans et les reproches, aide-moi!

Rire :

-Je pense qu’il n’y a rien de plus simple, pour les reproches, tu lui explique simplement que ça t’énerve un peu qu’il soit toujours après toi et tu lui dis que tu ne veux pas le changer, mais simplement améliorer son comportement avec toi. Pour les fans, dit-lui que tu ne voulais pas brouiller sa relation avec ses fans donc tu ne lui as rien dit et que tu es franchement désoler.

Harry, Harry était mon sauveur, il était toujours là quand j’avais besoins de lui. Il était génial, je comprends que ça ce passe si facilement entre Anne et lui, il est adorable. Pour moi, Harry était comme un confident, je pouvais tout lui dire et je savais qu’il ne le dirait à personne et il tenterait de m’aider, seulement m’aider.

Dès qu’Harry me redonna mon portable, je voulus savoir comme allait Jaspe et ce qu’il comptait faire. Il me dit :

-Premièrement, nous allons retrouver Liam. Deuxièmement, nous allons annoncer aux médias qu’il a rompu. Troisièmement, je vais expliquer la raison de pourquoi Jaspe est partie. Dernièrement, je vais mettre ma menace à exécution…

On le regardait étonné, personne ne pensait qu’il le ferait vraiment, mais je pense que je réalisais à quel point Harry et Jaspe étaient devenus proche. Sacrifié sa carrière pour une amie, c’était énorme. J’aurais aimé avoir des amis comme ça dans ma jeunesse, j’avais eu Jaspe qui avait compensé pour tous les autres.

On parti jusqu’à l’hôtel où longeais les garçons, on entra dans la chambre de Liam, il était couché sur le lit, la tête enfouie dans l’oreiller. On s’approchait et on s’assit sur le lit, Harry lui dit :

-Viens Liam, on a quelque chose à faire…

Liam releva la tête :

-Quoi donc, Jaspe est partie…

-Justement…

Liam enfoui sa tête dans l’oreiller :

-Je ne veux pas qu’elles le sachent, je ne veux pas qu’elles pensent avoir gagné…

Je prenais la parole :

-Elles n’ont pas gagné, il ne faut pas baisser les bras Liam, si je ne me trompe pas, ça devrait bientôt s’arranger…

Il me regarda :

-Vraiment, tu le pense vraiment?

Je souriais :

-Oui, viens on va aller aux fans ce qui c’est passé!

Liam se leva :

-J’arrive!

On sortit dehors, on ne savait pas trop comment s’y prendre pour attirer des médias, la pluie avait cessé depuis peu, le sol était encore mouillé, mais le soleil refaisait surface. Dès qu’on mit le pied dehors, les journalistes se précipitèrent, la seule question : «Où es passé Jaspe?». Une fois leurs avoir expliquer qu’on répondrait à leur question, Harry prit la parole :

-Jaspe, Jaspe est partie, les fans lui envoyaient encore des messages d’insultes, mais elle ne voulait le dire à personne. Elle est partie, elle a rompu avec Liam à cause de ça. Donc, je veux dire à tous que ma menace sera mise en exécution si elle reçoit encore des messages d’insultes car vous savez, Jaspe et moi, sommes très proche…

Une journaliste :

-Donc, c’est vrai, tu veux vraiment tout arrêter si elle reçoit encore des messages d’insultes?

-Oui…

Niall et Zayn :

-Nous aussi, nous suivons Harry car Jaspe est notre amie et elle compte beaucoup à nos yeux.

Ce soir là, ils passèrent dans tous les canaux de télévisions autant les anglophones que les francophones. La question était est-ce que les fans arrêteraient ou continueraient même sous la menace de perdre des membres. Ce qui avait étonné le plus les médias était l’absence de Liam, il n’avait parlé à personne de ce qu’il ressentait, on le qualifiait comme «neutre même après les choses qui c’était passées.». Nous savions que c’était faux, il était les plus bouleversés de nous neufs.

Je ne m’habitue jamais au décalage horaire, il est u***ment seize heures ici et je vais me coucher, en espérant passer une bonne nuit. Demain matin, Liam me manquera, c’est sure…

Chapitre 29 :

Tout ira pour le mieux, foi de Cora


Jaspe me manquait terriblement ce matin, je sentais comme une sorte de vide partout où j’allais et surtout quand j’étais dans le salon. Au moins, je pouvais espérer que les fans arrêtent et que Jaspe sache expliquer à Liam le problème. Puis, j’aimerais qu’ils continuent à s’aimer, comme avant. Je savais que ça serait surement difficile dans les premiers jours, peut-être semaines, mais j’espérais que ça s’arrange. Les garçons n’étaient pas venus ce matin, peut-être dormaient-ils encore. Comme je faisais cette réflexion, on sonna à la porte, il n’y avait plus de course pour savoir qui répondrait, c’était Jaspe qui les faisaient. Les gars étaient là, de l’autre côté de la porte, il ne manquait personne, même pas Liam, en pleure avec une boîte de mouchoir dans les mains. Je me demandais s’il avait pleuré toute la nuit, mais je devinais bien que oui par l’air fatigué des quatre autres qui avaient dû passer la nuit à le consoler. Harry me demanda le numéro de Jaspe, mais je savais qu’elle était une bonne menteuse, mais elle ne mentait jamais à Niall. J’avais pu le constater, ils se ressemblaient trop, Niall pouvait deviner ses mensonges, j’en étais certaine. Donc, je donnais mon cellulaire à Niall et il appela Jaspe.

|Niall lorsqu’il parle avec Jaspe|

Jaspe :

-Oui, allo?

Bonne inspiration :

-Salut Jaspe, c’est Niall, je voulais te demander si tu avais reçu d’autre message?

On se croisait les doigts, pourvu que ça aille marcher!

-Heu… j’en ai reçu seulement trois…

Soupir de mécontentement :

-Ah… bon, je pense qu’il va falloir mettre notre menace à exécution…!

Plainte :

-Non, non… faites pas ça, je ne vaux pas la peine, de doutes façon, ces filles qui m’ont insultées, je les connais…

Hésitation :

-Vraiment, si tu les connais, elles aiment one direction?

Soupir :

-Oui… elles ont toujours été méchantes avec moi. Donc, c’était une occasion pour eux…

Joie :

-J’espère un jour les croiser…

Stupéfaction :

-Pourquoi, ce sont de véritables pestes!

Rire :

-Justement, je veux leur dire ma façon de penser!

Rire :

-J’imagine leur face, complètement déconfite surtout une, elle t’adore!

Hésitation :

-Jaspe, vas-tu revenir un jour?

Hésitation :

-J’ai un marché à vous proposer…

-Ah oui, quoi?

-Je ne suis pas sure que ça va vous plaire, mais écourter le séjour à Paris et venir à Montréal avec moi…

Je mettais ma main sur le micro du téléphone :

-Groupe, ça vous plairais d’écourter notre séjour à Paris, mais de partir pour Montréal pour rejoindre Jaspe?

Cri général, nous partions pour Montréal. Je retournais au téléphone avec Jaspe :

-C’est bon, on arrive!

-Niall?

-Oui?

-Dit à Cora la maison, elle comprendra…

Je le dis à Cora et son visage s’illumina, qui sait pourquoi…

Chapitre 30 :

Aussitôt arrivé, aussitôt reparti

Je ne savais pas quand ils arriveraient, vers vingt heures ce soir, je reçu un appel de Cora comme quoi qu’ils étaient à l’aéroport, qu’ils prenaient un taxi et qu’ils arrivaient. J’étais toute contente, je revoyais mes amis, mais d’un autre côté, j’étais anxieuse, comme réagirait Liam? Je n’en savais rien, je devais arrêter de me poser des questions car j’avais peur des réponses. Ils arrivèrent pas avant vingt et une heures, je leurs proposais d’aller dormir, ils acceptèrent tous, je n’avais que sept chambre, ce qui était déjà énorme, donc il fallait trouver avec qui nous voulions partager notre chambre. Le résultat fût Harry et Anne, Louis et Cora, Amandine et Zayn, Niall, Isabelle, Liam et moi. Nous allions dormir.

Chapitre 31 :

M’aimes-tu encore, car moi, oui…

Durant la nuit, je fus réveillée par des pas dans le corridor, quelque faisait les cents pas. Je me levais, totalement épuisé, qui pouvait bien ne pas dormir? J’ouvris ma porte à grande volée sans le remarquer. Cette personne ce retourna vers moi, c’était nul autre que Liam, je n’étais pas encore prête à lui parler, mais lui semblait prêt. Surement à me faire d’autres reproches…! Liam s’avança et me dit :

-J’aimerais qu’on parle…

En simulant en bâillement :

-Heu… peut-être demain, je suis vraiment fatiguée…

-Non, je préférais te parler tout de suite, sans que les autres s’en mêlent…

Je le comprenais, donc je l’invitais à venir discuter dans ma chambre. Je m’assis sur le lit et lui, il tira la chaise de mon bureau et s’assit :

-Allons droit au but, je m’en fou de savoir pourquoi tu es partie, tout ce que je veux c’est que tu sache que moi, je t’aime encore. Peu importe ce que tu as fait et ce que tu feras, je t’aimerais toujours…

Je pleurais, comment lui expliquer :

-Liam, je n’ai jamais été très bonne dans les affaires de cœur, mais je pense qu’il est important que tu sache pourquoi je suis partie…

-Bon, je suis partie parce que j’étais tannée des fans qui m’insultent et de tes reproches, j’avais l’impression que tout ce que je faisais était mal avec toi…

Il pleurait, maintenant :

-C’est pas ce que je voulais faire, j’étais comme impuissant là-dessus, je regrette vraiment si cela à mal paru à tes yeux, j’essaierais d’arrêter, mais je ne peux rien promettre…

-Ça me va…

Hésitation :

-M’aimes-tu encore Jaspe?

-Oui… je t’aime encore, c’était stupide…

Et il m’embrassa, comme si un *** pouvait tout régler, je savais que c’était faux, ça nous aiderait juste à continuer, ensemble. Il me demanda s’il pouvait rester ici pour la nuit, je lui fis une place dans mon lit. Tout était régler, j’avais réussi à tout lui expliquer!

Chapitre 32 :

Je vous présente Marie…

Ce matin là, je ne m’étais pas levée, j’étais restée avec Liam. Lorsqu’on nous appela pour déjeuner, nous descendîmes. Quel ne fût pas l’étonnement général lorsqu’on annonçait qu’on était de nouveau ensemble. Les garçons étaient tous excités à l’idée de visiter Montréal en notre compagnie, croyaient-ils que Montréal serait plus intéressante avec des montréalaise? Bref, après avoir prit le petit déjeuner, nous sortions dehors, la question était par où commencer. Je voulais leur faire visiter le jardin bota***, Cora voulait aller au biodôme, Amanda voulait aller à la ronde, Anne voulait leur présenter Montréal au complet sans rien visiter et Isabelle voulait aller dans le vieux Montréal et au musée des sciences. Les garçons décidèrent d’eux-mêmes, aujourd’hui, nous allions au biodôme. Je proposais d’y aller en métro car il n’y avait pas de stationnement, les filles furent d’accord, mais les garçons, n’ayant pas de carte opus préféraient y aller en voiture. Nous entrâmes dans le métro et je leurs achetais à chaqu’un la carte de métro du mois, ça leur convenaient, mais ils voulaient me rembourser, je refusais. Nous nous rendîmes au biodôme. La file d’attente était interminable, mais ça valait la peine. Nous pûmes enfin entrer, ça commençait par la forêt tropicale. Malgré les nombreuses fois que nous étions venues, nous étions toujours aussi émerveillées. On passa dans la forêt laurentienne puis les côtés du St-Laurent pour finir par le climat arctique. Nous étions tous, sans exception, émerveillés. Dans le métro, pendant que nous discutions, une fille me bouscula, je me retournais et qui je voyais? Marie, l’ancienne meilleure amie d’Anne, on était des ennemies jurées surtout depuis qu’elle m’envoyait des messages d’insultes. La première réaction de sa part fut de regarder le groupe, son regard s’attarda sur Niall puis elle me dit :

-Oh, Jaspe, ça faisait un siècle qu’on ne s’est pas vue!

Pff, elle est si hypocrite, tout ça pour avoir un autographe qu’elle n’aura pas!

-Ah, Marie, tu ne me manquais pas…

Stupéfaction :

-Pourtant, je croyais qu’on était amies!

Je n’en pouvais plus :

-Nous n’avons jamais été amies, cesse de faire l’hypocrite, tu le sais très bien que nous sommes ennemies, tu m’as même envoyé des messages d’insultes, hier!

Elle se mit en colère :

-Oui, c’est vrai, je te déteste, tu me vole mes amies!

Furieuse :

-C’est même pas vrai!

Rigole méchamment :

-Si, comment tu es devenue l’amie d’Anne?

Anne s’en mêle :

-On était dans le même groupe d’amies et juste à cause qu’elle s’est un peu éloignée de Cora, on est devenue amies!

Rire :

-C’est ça, tu es un bouche trou pour elle, rien d’autre. Tu as laissé tomber ta meilleure amie pour une fille qui te prend comme bouche trou, comme tu es naïve!

Liam me prend par les épaules :

-Qui est-elle?

Je chuchote :

-C’est une des trois qui m’a envoyé des messages d’insultes…

Niall ayant tout entendu s’approcha de Marie :

-Salut, je m’appelle Niall, je fais parti des one direction, mais je suis certain que tu le savais…

Marie stupéfaite :

-Oui…oui, je t’adore tu es trop craquant!

Niall garde son sérieux, ce qui me fait rire :

-Ah… ben moi, j’ai quelque chose à te dire…

Marie :

-Oui, quoi?

-T’embêtes plus ma meilleure amie, compris!?

Déconfite :

-Oui, oui…

Elle sort à la prochaine station, comme si de rien n’était. Peut-être Niall y a été un peu fort, mais il reste que c’est méchant, mais j’avais tellement le goût de rire de Marie, mais ça ne se faisait pas…

Chapitre 33 :

Magasinage entre amies

Nous n’étions pas encore rendus chez nous que je proposais aux filles d’aller faire un peu de magasinage, bien sur, cela signifias que je laissais les garçons un peu seuls. Il est vrai qu’il avait des couples, mais de temps à autre, j’aimais passer du temps juste avec mes amies. Les garçons continuèrent leur route en métro, ils nous promirent d’être rentrés avant dix-neuf heures. On déambulait sur l’avenue mont-royal lorsque je fus littéralement frappé par une paire de chaussure, il me les fallait. Les filles étaient de mon avis, il me les fallait. Nous entrions dans le magasin, j’essayais la paire de chaussure, tout allait bien, par contre, je n’étais plus certaine de les vouloir. Mes amies me persuadaient qu’elles m’allaient très bien, mais il restait que je trouvais le prix trop élevé. Mes amies soupirèrent, j’étais riche et je me souciais encore du prix. Je leur expliquais à nouveau que je voulais être le plus normal possible, mais j’achetais mes chaussures hors-prix.

«Il me les fallait.»

Nous sortîmes du magasin toutes contentes de notre achat lorsque Cora entra dans la pharmacie du coin. Elle se dirigea vers l’allée des cosmétiques, mais qu’est-ce qu’elle faisait? Elle s’arrêta et me proposa d’acheter du maquillage, mais elle savait bien que je ne me maquillais jamais! Elle m’expliqua alors qu’une réunion avec mes parents ne devait pas tardé car depuis que je sortais avec Liam, on suivait nos déplacements. Dès qu’ils (les médias) apprendraient que nous sommes à Montréal, ils ne se gêneraient pas pour le dire et mes parents le sauraient. Cora avait visé juste, comme toujours. Chaque fois que j’allais chez mes parents, je voulais être sur mon trente et un car je ne voulais pas qu’ils pensent que j’avais encore besoins d’eux, ils me donnaient déjà assez d’argent comme ça. Je m’achetais deux, trois ombres à paupière, un mascara, deux rouges à lèvre, du crayon pour le contour des yeux et un peu de fond de teint (il fallait prévoir les imprévus).

«Au paradis des cosmétiques.»

Mes amies pensaient que le magasinage était fini pour aujourd’hui, il n’y avait plus rien à acheter, sauf que la fête de Cora arrivait à grand pas et je voulais lui acheter un cadeau, voilà pourquoi j’étais allée magasiner. Je proposais à Cora, qui avait mal au pied, d’aller au starbuck et que nous reviendrons la rejoindre un peu plus tard. Elle accepta et alla se commander un café. Mais, que lui acheter, la vie ne l’avait pas choyé, mais moi, si. Elle avait tous ce qu’elle voulait, que lui acheter de plus? À chaque année c’était la même histoire, Amandine me dit :

-Je sais quoi lui acheter.

Elle se précipita dans une boutique, on l’attendit quelque moment et elle ressortie victorieuse en nous brandissant un collier sous le nez.

-En France, elle s’était longuement attarder sur ce bijou et avait dit qu’elle aimerait bien l’avoir, mais que c’était une perte d’argent…

«En nous brandissant un collier sous le nez.»

Nous allions rejoindre Cora au starbuck en cachant le collier. Nous repartîmes pour la maison, mais cette fois, nous y allons pour de bon.

Chapitre 34 :

Montréal ville natale rime avec parents


Il était vingt et une heures et les garçons n’étaient toujours pas rentré, je n’avais pas mangé, que pouvaient-ils bien faire? On sonnait à la porte, Cora se précipitait. Ils tenaient là, de l’autre côté de la porte, lorsqu’ils entrèrent, je commençais à leur faire la tête. Cora, Anne, Amandine et Isabelle me suivirent, plus personne ne leur parlait. Liam sa fâcha :

-C’est pas de notre faute si on s’est perdus dans Montréal!

Je ris un bon coup :

-Comment avez-vous fait?

Soupir :

-On est partie dans la mauvais direction de métro, après on a cherché quelqu’un pour nous renseigner, mais tout le monde voulait des autographes, on a finit par prendre le bus et Louis s’est chicaner avec le chauffer, donc il a été sorti du bus. On l’a suivi, bien sur et là, on a cherché un taxi, à la fin, on a décidé de revenir à pieds…

Je ris plus fort, les autres aussi commencèrent à rire, certains de leur malheur et d’autre d’une aventure cocasse. Mon téléphone sonna, j’essayais de calmer mon rire, heureusement, je réussis :

-Oui allo, Jaspe Ouimet à l’appareil.

-Jaou, c’est maman!

Soupir et mécontentement, ma mère continue :

-Je voulais t’inviter demain à une soirée en famille.

Soupir, ma mère :

-Quoi, tu ne peux pas, ton petit ami prend tout ton temps?

-Non, non, c’est juste que je n’ai pas le goût de passé une soirée avec vous…

-Voyons Jaou, toute la famille sera là!

Elle savait que si elle disait ça, j’allais venir car je ne m’absentais jamais quand ma grand-maman était là. C’était rendue une vieille dame et elle m’adorait, je ne voulais pas qu’elle pense que je m’éloigne d’elle. Ma grand-mère et mon grand-père paternel étaient morts trop vite, je n’avais pas eu la chance de passer de bons moments avec eux. J’aurais voulu leur dire avant qu’ils meurent à quel point je les aimais. Je n’ai pas eu cette chance, mais je compte le dire à ma grand-maman maternelle, lui dire à quel point elle va me manquer et a quel point j’ai aimé passer tous ces moments ensemble. Cette personne était en plus la seule de la famille avec ma cousine Justine qui s’occupait vraiment de moi, c’était la seule qui me disait toute la vérité, elle ne me contait jamais de mensonge. C’était les deux seules que j’aimais vraiment.

-Ok, je serais là, je peux emporter…

Elle me coupa la parole :

-Ton petit ami, Cora, tout le monde que tu veux!

-Bye, maman

-Bye ma chérie, demain soir, dix-sept heures, compris?

-Oui, oui, bye

-Bye.

Je fulminais, qui était-elle pour m’imposer de venir à une soirée familiale, qui était-elle pour m’obliger à revoir ma détestable sœur. Trop en colère pour manger, j’allais directement me coucher.

Chapitre 35 :

La soirée familiale


Je me levais de mauvaise humeur, je n’avais parlé à personne de ma soirée de ce soir, mais dès que je descendu, Cora le su :

-On va chez tes parents ce soir, j’imagine.

Je m’assis et bu mon jus d’orange (mon jus et comme le café pour certain, ça me réveille) :

-Hum… oui, préparez-vous à une soirée d’enfer…

Après avoir pris mon petit déjeuner, j’allais m’habiller, chic, mais minimaliste. Une chemise blanche, un peu de maquillage, un pantalon serré noir et mes chaussures talon haut noirs.

Vers quinze heures, je faisais une vérification générale, je défroissais les habits, rentrais les étiquettes, etc. Vers seize heures, nous partions en haute, dans la mienne et celle de Cora. Cora était avec Louis, Anne, Harry et Zayn. Moi avec Amandine, Liam, Isabelle et Niall.

Une fois arrivé à la «villa» de mes parents, nous garâmes les voitures et allions sonner à la porte. Ma mère me répondu, toujours habiller aussi chic et pleine de bijoux et maquillage. Elle nous conduit au grand salon, toute la famille était déjà arrivé, une surprise m’attendait…

Chapitre 36 :

Hélène

Chloé hésita, mais finit par m’expliquer :

-Tu sais, Zachary et moi avons 27 ans, nous avons décidé d’adopter un enfant. Donc, je te présente Hélène.

Elle me pointa la petite fille tranquillement assise sur le tapis, m’observant. Elle la prit dans ses bras et lui dit :

-Hélène, je te présente ma cousine Jaspe…

Chloé se retourna vers moi :

-Hélène a deux ans…

Moi, à deux ans, j’avais perdu mon grand-père paternel dans un accident de la route. Un chauffeur soul lui avait foncé dedans quand il tentait d’aider quelqu’un, j’en faisais encore des cauchemars. Comme pour me sortir de mes pensées, la petite Hélène m’agrippa les cheveux et me les tirait :

-Aïe!

Chloé prenant un air offusqué :

-Voyons, Jaspe, elle n’a que deux ans, les erreurs, ça arrive!

Je ronchonnais :

-Oui, oui, on peut faire des erreurs, mais éloigne là de moi.

Chloé me lança un regard assassin, c’est vrai qu’entre Chloé et moi, ça n’avait jamais été l’amour fou, j’ai toujours préféré sa petite sœur Justine et je pense qu’elle n’apprécie pas. Elle avait sans cesse essayé de se rapprocher de moi, mais à chaque fois, elle faisait des erreurs et je commençais à l’ignorer. Peut-être un jour, s’avouerait-elle vaincu. La petite Hélène ne cessait de me fixer, comme si elle voulait que je lui porte attention. Je n’avais jamais vraiment aimé les enfants, le seul que j’avais bien connu m’avait volé mes parents! Par contre, Chloé posa Hélène sur le sol et juste sa façon d’agir avec sa fille d’adoption me répugnât, elle disait qu’elle n’avait que deux ans, mais elle l’obligeait à rester calme et à bouger le moins possible. Je m’approchais d’Hélène, je m’assis devant elle :

-Salut Hélène, je m’appelle Jaspe, ça te dirait d’aller jouer dans le jardin avec moi?

Elle dû comprendre car elle se leva et commença à courir dans la maison. Je dû, moi-même courir pour ne pas la perdre de vue. On s’en alla dans le jardin qui était immense et Hélène s’assit dans le gazon comme attendant que je lui donne des instructions. Alors, moi aussi, je m’assis dans le gazon, je ramassais un de mes vieux ballons qui était encore beau et le lui faisais rouler. Elle l’attrapa et me le lança maladroitement. Je l’attrapais. Nous refîmes ce petit manège jusqu’à ce que ma mère nous appelle pour souper. Hélène alla s’assoir à côté de ma cousine et de son amoureux, moi je m’assoyais entre Liam et Niall.

Chapitre 37 :

On a toujours rivalisé


On était assit à table, tous silencieux, on savait qu’il manquait quelqu’un à la famille, mais personne n’osait en parler. Ma sœur m’observait, qu’est-ce qu’elle me voulait encore! On avait toujours rivalisé, elle avait toujours voulu être le centre d’attention, mais à son grand désarroi, je suis toujours rester le centre d’attention de mes parents, même si je jugeais qu’elle me les avait volé. Ma sœur amusée par ma situation décida de parler du membre de notre famille qui n’était pas présent, même si elle savait que ça créerait de la chicane dans la famille, s’adressant à Liam :

-Tu savais que Jaspe avait un grand frère?

Liam stupéfait :

-Non…

Amusée :

-Elle ne semble pas t’avoir tout dit

Fait tourner la paille dans son coke :

-Il s’appelle Jacob, il a vingt ans, il est parti dès dix-huit ans et il n’est jamais revenu, il nous a délaissé… tout comme Jaspe je pense… n’est-ce pas J.J.?

Fulminante :

-Ce n’est pas vrai, il ne nous a pas abandonné, il vient me voir de temps à autre!

Rire :

-Vraiment, pourquoi ne vient-il pas nous voir alors?

Voit rouge :

-Parce que vous pourrissez notre existence à Jacob et à moi, on peut à peine vous sentir!

Ma mère :

-Jaou, soit polie s’il te plaît, tu me dois ta maison, ta voiture et tout.

Énervée :

-D’accord maman… mais il reste que Maude…

-Oui, je sais, Maude arrête d’énerver ta sœur, je sais que Jacob ne nous a pas délaissé… il lui parle encore.

Maude :

-Mais, maman, elle veut partir de la famille, c’est comme si elle n’en faisait plus parti!

Ma mère à moi :

-Jaou, tu peux partir avec tes amies s’il te plaît et monsieur Payne, enchanté d’avoir fait votre connaissance…

Liam un peu intimidé :

-Oui… oui, moi aussi madame.

Rire :

-Tu peux m’appeler Marie.

On partir, je rembarquais dans l’auto toute contente, j’avais pue partir plus tôt! Par contre quelque chose me tracassait, que mes amis soient au courant de l’existence de Jacob. Jacob, mon grand frère, était un secret pour tous. Je me couchais tracassée, j’aurais tellement aimé que Jacob m’appelle, en ce moment.

Chapitre 38 :

À la recherche de Jacob

Je me réveillais ce matin avec la ferme intention de trouver Jacob, je savais que c’était quasi impossible, mais je tenterais le tout pour le tout. Après avoir pris mon petit déjeuner, je demandais au groupe si je pouvais aller me balader un peu seule. Ils acceptèrent tous sauf Niall, il disait lui aussi avoir besoin de se promener. Il était prêt pour partir lorsque je lui expliquais la véritable intention de mon excursion ce qui le rendis encore plus énervé, il voulait m’aider. Je ne refuserais jamais l’aide de mon meilleur ami. Je commençais par essayer de trouver son numéro de téléphone, mais, il fallait dire que c’était beaucoup moins facile que dans les films. Au bout de trois heures, je réussis à trouver son numéro de téléphone. J’appelais, on répondait :

-Hum… oui, allo?

En essayant de rester sérieuse :

-Allo…

Une voix :

-J?

Sourire :

-Jacob!?

Rire :

-Oui, comment t’as fait pour trouver mon téléphone Jaspe?

Soupir :

-J’ai retracé tes appels, mais c’est moins facile que dans les films!

Rire :

-Ah, Jaspe, toujours comme si elle vivait dans les films!

Rire :

-Oui, comment vas-tu?

Soupir :

-Bien, si on veut, toi?

-Super bien, je peux enfin de nouveau te parler!

Rire :

-Y paraît que ma petite sœur favorite est célèbre!

Soupir :

-C’est trois fois rien et je ne suis pas célèbre!

-Mais, pourquoi je te vois à la télévision alors!?

Stupéfaction :

-Vraiment, on me voit à la télévision?

Soupir :

-Mais, oui… avec ton nouveau petit ami…

-Qu’est-ce qu’il y a Jacob?

Soupir :

-Tu me manque plus que je ne l’aurais imaginé… ou es-tu?

Hésitation :

-À Montréal…

Soulagement :

-Super, alors tu pourras passer par chez moi!

Surprise :

-Quoi, tu vis encore ici!?

Rire :

-Ben oui, la voyageuse ici c’est toi, pas moi!

Rire :

-Oui, c’est vrai, tu as horreur de l’avion!

Sérieux :

-Tu pourras venir, oui ou non?

Hésitation :

-Ça dépend, tu es dans quel quartier?

Soupir :

-Notre ancien quartier…

-St-Michel?

-Oui…

Hésitation :

-On peut se rencontrer au métro d’Iberville ou St-Michel parce que je ne veux pas savoir où tu habites, sinon je vais venir tout les jours…

Hésitation :

-Donc, métro St-Michel à 13 heures?

-D’accord, je peux emporter…

-Un ami de confiance, oui.

Je raccrochais et me tournais vers Niall :

-Es-tu un ami de confiance?

Rire :

-Qu’est-ce que tu pense!

-Oui, viens on part.

On s’en alla vers le métro et on allait en direction du métro St-Michel qui était au bout de la ligne bleu. Une fois rendu là-bas, nous attendions un signe de Jacob. Vers treize heures et une, un garçon se pointa. Je pouvais le reconnaître, il n’avait pas changé, c’était Jacob. Il se précipita à ma rencontre :

-Oh, Jaspe ça fait si longtemps!

Je lui faisais un câlin :

-Oui Jacob, ça faisait trop longtemps…

Soupir :

-Tu m’as manqué J.

Rire :

-À moi aussi J.

Si vous n’aviez pas compris, notre surnom était J donc on nous appelait les JJ. Niall toussote, comme essayant d’attirer mon attention :

-J, je te présente Niall, mon meilleur ami…

Jacob lui serra la main :

-Enchanté, heu… Niall, moi c’est Jacob, le grand frère de Jaspe.

Niall un peu gêné :

-Je le savais, sa petite sœur ne s’est pas gênée de le dire, hier…

Jacob me regardant :

-Parce qu’il y avait un souper de famille hier!?

Un peu gênée :

-Heu… oui, maman voulait rencontrer Liam, je pense…

En faisant semblant d’être fâché :

-Et tu ne me l’as pas présenté!

Rire :

-Non, je n’étais pas sure que tu voulais le connaître…

Rire :

-Mais, bien sur que je voudrais le connaître. Pour assumer mes fonctions de grand frère…

Soupir :

-Ah non, tu ne vas pas recommencer!

Rire :

-Si!

Je ne pensais pas avoir à l’expliquer à Niall, mais bon, Jacob avait l’habitude que quand un gars me brisait le cœur, d’aller lui dire sa façon de penser, surtout quand il m’avait (le gars) trompé. J’aimais Jacob, il m’avait énormément manqué, maintenant, je ne voudrais plus le laissé partir. Je lui proposais de rencontrer le groupe, il accepta et on s’en allait en direction de chez moi. Une fois rendu, je sonnais à la porte, j’entendis des pas de course et Cora me répondit :

-Jaspe…mais… qui est ce mec!

Rire :

-Je vais l’expliquer à tout le monde en même temps.

J’entrais, suivie de Jacob et Niall. Nous allions nous assoir dans le salon. Tous ce demandaient la même chose : qui était ce mec! Je commençais par présenter Jacob :

-Heu… en fait c’est simple, je vous présente Jacob, mon grand frère.

Cora stupéfaite :

-Wow, quel grand frère!

Liam un peu gêné :

-Ah… c’est lui le fameux Jacob…

Après cela, je présentais chaqu’un à Jacob :

-Hum… Cora, ma meilleure amie, Anne, ma moitié, Amandine, ma deuxième meilleure amie, Isabelle, ma confidente, Niall, mon meilleur ami, Harry, l’amoureux d’Anne, Louis, l’amoureux de Cora, Zayn, l’amoureux d’Amandine et Liam, mon petit ami…

Jacob, comme à son habitude était très gentil avec tout le monde et resta même souper. Il reparti vers dix-neuf heures, nous, nous allions nous coucher. Je ne reçus que des bons commentaires sur Jacob, sauf Liam était un peu distant, peut-être car il avait vu que Jacob ferait tout pour moi et qu’il avait peur de ce qui pouvait lui arriver…

Chapitre 39 :

La ronde

Le lendemain matin, je fus réveillée par Cora qui me hurlait de répondre au téléphone. Je descendais et répondais :

-Oui, allo?

Une voix pressée :

-Salut, Jaspe, c’est que demain soir, tu vois on organise un party, ancien de JFP, à JFP. Tu peux emporter ton petit ami, si tu veux…

Fatiguée :

-Quelle heure?

Bruit de feuille :

-vingt et une heures, tu viendras.

-Oui, oui

-Merci et à demain!

-À demain, Mathilde…

Je raccrochais et allait me recoucher quand je fus interrompue par Liam :

-Jaspe, on peut aller à la ronde, aujourd’hui et aller au jardin bota***, demain?

J’allais m’habiller avant de lui répondre et je levais tout le monde en les sonnant de s’habiller, on descendu et je dis :

-Oui, en plus, il fait super beau!

-Yeah!

On mangea puis on alla dans la voiture, on était seulement cinq à vouloir aller à la ronde, Cora, Louis, Liam, Isabelle et moi. Les autres, allaient au cinéma. On arriva là environ à dix heures, les portes n’ouvraient qu’à et demi. On avait nos billets, prêt à nous lancer dans l’enfer de l’ouverture. Dès que les portes furent ouvertes, on pu passer, étonnamment, personne n’essaya de nous doubler. Sûrement car il y avait Liam et Louis. La question était commencé par quel manège (car la ronde est un parc d’attraction.), Liam et Louis voulait commencer par le Goliath, avec la plus grande pente de la ronde, mais nous trois, voulions commencer par le splash. Bref, nous nous dirigions vers le splash. Une fois installé dans le wagon, je n’avais qu’une enfin, m’en aller, la montée était impressionnante et je n’avais aucune envie de le faire. On montait, je m’agrippais au barres et vérifiais ma ceinture, Liam, me regarde, ne comprenant pas ma soudaine anxiété, je lui dis :

-Tu comprendras quand tu verras la pente…

On passait dans le petit couloir en hauteur, le tournant, toujours aussi brusque. On arriva face à la pente, c’est comme si le chemin s’arrêtait, comme si on allait tomber dans le vide. Je m’agrippais tant bien que mal, j’avais peur. On descendu et avais-je oublié de spécifier que le splash ce nommait le splash car il y avait dans l’eau dans le manège, bref une fois rendu en bas, nous nous faisions asperger d’eau à cause de l’entré du wagon dans l’eau. On riait toujours un bon coup, mais une fois rendu au quai d’embarquement, nous nous précipitions vers le petit pont pour recevoir l’eau du prochain wagon. Nous étions trempés, mais celons Cora, tout sécherait dans le Goliath, seulement que j’avais une peur bleue des montagnes russes. On arriva dans la longue file d’attente, je voulais partir et ne jamais faire ce manège, mais Cora me retenu, celons elle, il fallait que j’essaye. Je lui criais à la tête :

-C’est ça, tu veux ma mort sur la conscience!

Elle rit, mais elle me garda dans la file et une fois rendu dans les chaises, sous pression du manège, assis, elle me lâcha enfin. On montait la côte, le même bruit inquiétant, je pleurais, je ne voulais pas. Une fois rendu en haut, je regardais la pente et j’eu un haut le cœur, j’allais mourir, c’était sur! On descendit la pente, je pleurais encore, le manège allait tellement vite! Une fois de retour au départ, je soupirais, j’avais survécu! Cora me demanda comment j’avais trouvé, mais dès qu’elle me vu me lever, elle comprit qu’elle avait encore beaucoup de travail à faire pour que je fasse des montagnes russes, mes jambes tremblaient. Elle se précipita vers le Cobra, la seule montagne russe où qu’il avait une taille maximale parce que nous étions debout car si nous étions assis, nous pouvions avoir des problèmes de dos. J’avais peur de ce manège, on faisait un 360, soit un tour complet. Cora me retient encore une fois, mais cette fois, elle demanda à Liam de se charger de moi, peut-être penserait-elle que ça m’aiderait. Une fois dans les sièges, j’avais le goût d’hurler pour qu’on me débarque, mais je savais qu’il était trop tard. Cette journée là, nous fîmes : le Manitou, le Monstre, le Vampire, le Vol Ultime, la Pitoune, le Super Manège, le Ednor et le Dragon, tous des manèges effrayants! Je rentrais à la maison, épuisée.

 

«C’est comme si le chemin s’arrêtait.» «La plus grande pente à la ronde.»

«On faisait un 360.» «Le Manitou.»

«Le monstre.» «Le vampire.»

«L’Ednor.»

Note de l'auteur, vu les bug que rencontre mon qsj à cause de la quantité d'in ation dedans, les chapitres 40- 50 seront ici:

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