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Le blues me ramène ici, encore une fois
Il y a toutes ces choses entre tes lèvres, toutes les lèvres de ton corps. Ces choses me boufferont. Je le sais.
T'aimer c'est entrevoir cette part de moi que je me cache. Je me redécouvre en apprenant à t'apprivoiser.
Je suis une autre dans tes bras. Tu le sais.
Je veux dompter ton être pour me réconcilier avec le mien.
J'aimerais voir ces croyances dans vos yeux, cette foi mystique, contraire à toutes règles, qu'elles soient sociales ou physiques. Il n'est pas encore trop tard puisqu'on a encore le droit de rêver et même parfois celui d'aimer. Libérez vous de ces barrières. Acceptez la peur et la noiceur pour mieux les maîtriser. Acceptez le désir et l'euphorie pour mieux les libérer.
Et s'il vous plaît ne criez plus. Cette haine qui s'échappe de vos entrailles puise sa force dans ces frustrations que vous cachez au fond de vous. Ces appels aux secours sont remplis de violence que vous ne contrôlé plus. Regardez vous de tout en haut comme si vous étiez une si petite chose qu'on ne pourrait presque plus vous voir. Prenez cette hauteur pour vous comtempler. Regardez vous comme un être modeste sans grand pouvoirs mais avec de grands sentiments humains, ainsi acceptez votre nature.
Inspirez comme le fait l'animal, comtemplez comme le fait la lune, murmurez comme le fait le vent. Et murmurez encore, à l'oreille de votre semblable ou de votre opposé, ce que vous êtes, ce à quoi vous aspirez, ce dont vous rêvez. Commencez le voyage intérieur, comme si votre âme était un monde nouveau que vous êtres prêt à découvrir.
cet oeil immense, cette présence étouffante est votre conscience. Considérez là comme une entité à part entière. Regardez là en face, et promettez lui que, contrairement à l'ignorant, vous la considérez et l'écoutez. Votre conscience n'est pas propre à vous. Le loup solitaire a aussi cette conscience au-dessus de lui, comme la plus petite des foumis et le plus grand des arbres. Vous ne pouvez pas échappez à votre conscience alors acceptez cette entité abstraite comme un prolongement de votre être, de vous indivisiblement.
"La nuit n'est nuit que pour nous. Ce sont nos yeux qui sont obscurs."
R. Barjavel
Mon autre doll : louloukui
Les illustrations du QSJ : Kaethe Butcher
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28 ans | Femme | ça dépend | France |
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une nana canon | quand elle chante | quand elle s'improvise scénariste | je ne sais pas quoi choisir |
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celle de ses lèvres | goûteuse de coktails | toutes celles où ils parlent de plancher bois franc | manger |