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Je veux que tu termines la chro' car je...
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celliane
D'accord, je ne vais pas la lire tout de suite...
28/11/2012 à 16:36:22
titi14titi
kiff !!! c tro cool <3 ps moi aussi j'ecri...
15/11/2012 à 21:13:39
aleia
Salut, t'aimes bien lire? alors passe sur mon...
14/10/2012 à 13:44:08

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chronique-confusion2 a 1 points de bonté.

chronique-confusion2
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  {#fete}Bonjour a tous !{#fete}

didina974Elle c'est MA poulette! Je l'aime trop celui qui la touche je le bouffe! Compris?

(je rigole!!^^' Je voulais pas vous faire peur)

 valounElle est magnifique! Vraiment! Mettez lui des +2! Elle le merite!

 

mercedes9818Et elle!! C'est MA valentinoise que j'aime! Ma best friend que j'aime plus que tout! Je l'aime trop et personne pourra jamais la remplacer! Vraiment elle gère allez lui mettre +2! 


 

Je suis Eva, j'ai 13 ans et j'en aurais 14 le 17 Avril, gentil, accepte toute les demande d'amitier, amoureuse mais pas en couple malheuresement...{#pleur}

Voilà ma chro***! N'hésitez pas a me donner des conseil si nessesaire!! Thank you! Et bonne lecture!

Cette chro*** n'est pas réel!

Je commence et je voudrais avoir des avis différent. Dites ce que vous en penser et soyez honnête s'il vous plaît! Dites moi si vous voulez que je continut ou si vous pensez que sa n'en vaut pas la peine! 

Et s'il vous plaît, ne venez pas chercher la merde parce que je suis "peace and love" et que je ne cherche pas les embrouilles ! XD{#applau}

 

C'est une histoire qui fait un mélange d'amour, d'amitier, de tristesse et d'horreur!!!!

A oui, encors une chose: Je sais, ma dollz n'est pas encors très belle... Mais essayez de me comprendre... JE VIENT DE COMMENCER! Je m'améliorerais au file du temps! 

Merci a tous et a toute pour vos gentil commentaire et votre soutient! Sa me touche beaucoup! Cette histoire n'est pas inspirer de fait réel elle vient demon imagination! L'idée est partie d'une rédaction que l'on devais faire en Français.

 On devais in***r une histoire fantastique. Puis j'ai eu une très bonne note a cette rédaction alors j'ai décider de continuer et d'améliorer encors plus mon histoire.

 


 

Encore une in ation. Je met en amis tout ceux qui demande la suite pour pouvoire les prévenir!{#gai}  

Voila le résumer de l'histoire pour ce qui veulent en avoir un avent goût avent de ce lancer dans la suite de l'aventure palpitente de Confusion.

 

{#new}RESUME

Depuis la mort de sa mère Carla vie seul avec son père mais depuis son accident rien ne ce passe plus comme avent et des évenement bizard viennent vite perturber la vie de Carla. Elle va vite ce rendre compte que sa vie ne sera plus jamais pareil désormais.

 CONFUSION (tome 1)

 

Quand je me réveillais, ce que je vis en premier fut le plafond blanc de la chambre d’hôpital.

Je m’asseyais sur mon lit essayant de me remémorer ce qui avait bien pu se passer pour que je me retrouve là.

J’avais fait une chute dans les escaliers avant de passer à travers la baie vitrée du salon.

-          « Quelle gourde… »

 J’essayais de me lever mais une affreuse douleur à la jambe me fit tomber à terre.

Une infirmière accourra dans ma chambre et s’activa à me remettre sur mon lit :

- « Ho mon dieu mademoiselle Nadin, ce n’est pas sérieux, vous avez la jambe et les deux côtes cassées … »

Je gémissais. Je n’avais pas encore mesuré l’ampleur des dégâts.

- «Vous avez eu de la chance », reprit elle avec entrain puis elle quitta ma chambre, et comme je le craignais mon père débarqua.

Dès qu’il se retourna vers moi, je remarquais une petite cicatrice sur son front que je n’avais encore jamais vu et je m’empressais de le lui dire.

-« Ha…Heu… Mais heu…Si, si mais tu ne l’a jamais vu car… Heu … Elle était sans doute cachée par mes cheveux. »

Il replaça sa mèche avec hâte et eu  un petit rire nerveux.

-« Sinon… Toi ça va ? 

- Oui ça pourrait aller pire… Mais ne t’inquiète pas pour moi, tu sais très bien que moi et les accidents… 

-Bon je vais aux toilettes. » Et sans même me regarder il tourna les talons et partit précipitamment de la pièce. 

Surprise de cette réaction suspecte je restais quelques minutes à fixer la porte par laquelle  mon père s’était volatilisé. Je balayais ensuite ma chambre du regard.

Il y avait à côté moi une pièce qui était sûrement des toilettes ou une salle de bain.

Puis il y avait devant moi une vieille télévision  rouge sur laquelle trônait un pot à crayon noir tout simple et était posée sur la table de nuit à l’autre bout de la pièce sa télécommande.

Je me levais avec difficulté et me dirigeais vers la table de nuit.

Au bout de dix minutes je réussis enfin à l’atteindre et je mis la chaîne « Infos. »

Je réunissais mes dernières forces pour retourner à mon lit qui me paraissait très loin d’un coup quand j’entendis le prénom de ma mère à la télévision. Je me retournais avec effroi.

« Nous venons de retrouver une femme dont nous ne connaissons pas l’identité. » Le visage de ma mère était affiché à l’écran. Seulement elle était morte depuis déjà deux ans !

Je sentis mes jambes prêtes à me lâcher, puis tout mon corps se mit à trembler.

Je lâchais la télécommande, le cœur battant et la gorge nouée. De grosses larmes coulaient sur mes joues.

Mes pensées tournoyaient dans ma tête.

Je tombais sur le dos, je ne pouvais plus bouger, mais je pouvais encore entendre distinctement la voix horrifiée de mon père qui accourait dans ma chambre. En le regardant je vis que sa blessure avait disparue.  Puis la voix s’éloigna de plus en plus jusqu'à ce que je ne l’entende plus du tout.

Je me réveillais une nouvelle fois dans le même lit d’hôpital mais cette fois là mon père était là.

Il avait le regard vide et avait l’air consterné. Je ne comprenais pas… C’était impossible ; ma mère était morte depuis deux ans.

Je l’interrogeais du regard ne pouvant dire un mot. Non ce n’était pas possible…

 

2 ans plus tôt, le 12 juillet 2009

Aujourd’hui je partais avec ma mère à Paris, la ville de tous mes rêves mais que je n’avais jamais eu l’occasion de la visiter jusqu'à aujourd’hui.

Je mis ma plus belle robe ; une robe violette pas trop courte pour qu’elle convienne à ma mère, avec quelques fleurs roses.

J’attachais mes cheveux  brun frisés  en queue de cheval, enfilais mes ballerines roses puis je sorti de la salle de bain sans même me brosser les dents.

Elle était prête elle aussi et elle m’attendait impatiemment devant la porte.

-« Ha !! Enfin ; je croyais que tu n’allais jamais arriver ! » Elle rigola.

Elle aussi avait hâte et ça se voyait dans ses yeux bleus.

Elle s’était mise sur son 31 pour cette grande occasion et elle sautillait sur place comme une petite fille.

-« Allons y !!! » J’ouvrais la porte avec anxiété.

Il faisait un temps radieux. Le soleil brillait comme s’il avait attendu lui aussi ce jour toute sa vie.

- « Alors allons y !! » Et ma mère sortit dehors.

Je me retournais et vis qu’elle était déjà dans la voiture.

Elle me fit signe de monter alors, ravie je me précipitais sur le sentier.

Puis tous ce passa très vite :

Un camion  arriva en direction de notre voiture.

Je ne compris pas tout de suite qui allait se passer.

Mon père me héla depuis la fenêtre de sa chambre.

Je lui fit un signe de la main le sourire jusqu’aux oreilles, puis un crissement de pneus assourdissant ce fit entendre et un autre bruit encore plus effrayant.

Je vis le visage de mon père se décomposer…

Je me retournais tellement vite que je manquais de tomber.

Le camion que j’avais aperçu tout à l’heure, sans y accorder beaucoup d’importance, était encastré dans la voiture de ma mère.

Je poussais un petit cri étouffé.

Je voulu m’élancer, courir jusqu'à ma mère, sûrement à l’agonie, coincée dans la voiture, peut être en train de mourir, mais mes jambes étaient comme soudées au béton et je ne pu bouger.

J’étais comme paralysée, et je n’entendais plus que le choc de l’impact qui ce répétait en boucle dans ma tête. Puis mon père me saisissait par les épaules et me secouait violemment.

Il avait les yeux tout rouges, il pleurait. Combien de temps s’était il passé ?  Je ne le savais pas, c’était comme si plus rien n’avait existé autour de moi.  Des larmes pendaient de son menton et tombaient une par  une sur son pull.

Je me concentrais sur ces larmes encore choquées par la violence des faits.

Il me secoua une nouvelle fois. Je regardais enfin autour de moi :

Les pompiers étaient là, ainsi que la police qui se démenait autour de quelqu'un.

Ce n’était pas ma mère, j’en étais sûr…

J’essayais de toutes mes forces de me persuader que ce n’était pas elle.

Elle allait arriver dans quelques minutes et me serrer dans ses bras en m’assurant qu’elle allait bien.

Puis nous irons tous les trois, moi, mon père et elle boire un chocolat chaud au café le plus proche.

Puis je sorti de mes pensées et m’aperçu que j’avais froid.

-« Où est maman ? » Je grelottais.

Il ne me répondit pas, au lieu de ça, il me pris dans ses bras et me berça doucement contre sa poitrine.

Les battements irréguliers de son cœur et la chaleur de ses bras me réconfortèrent et je repris mes esprits.

-Papa… Réponds moi. Je le regardais dans les yeux mais il détournait son regard comme si il avait peur que je devine…

Mais deviner quoi ? Il essuya ses larmes :

-« Ma princesse… » Il ne m’avait pas appelé comme ça depuis la mort de mon grand père.

Il pris une grande inspiration et reprit :

-« Les pompier n’on pas réussi a faire repartir son cœur… » Il mis sa tête dans ses mains

- « Qui ? Papa, qui ? Où est maman ? » Je priais pour qu’il ne me réponde pas…

En fait, j’avais peur de la réponse.  Il se mit à genoux, me prit les mains et les serra tellement fort que je commençais à avoir des crampes.

-Ma puce… Maman est partie… A présent de grosses larmes coulaient le long de mes joues. Je faillis m’écrouler mais mon père me rattrapa avant que je ne me fracasse la tête sur le béton.

 

Retour 2 ans après.

Non. Je ne voulais pas le croire.

Mon père n’était plus là à mon réveil, j’avais du m’endormir. Je réfléchissais à m’en faire mal à la tête.   Alors il se produisit une chose tellement irréelle que je cru d’abord à une hallucination.

Dans le fauteuil à coté de la télévision se tenait ma mère, pâle, elle me regardait.

Son visage exprimait de la peur et en même temps une infinie tristesse. Elle avait des cernes qui bornaient ses yeux bleus. Elle portait une belle robe blanche et je me rappelais alors que c’était la même robe qui lui avait été mise pour son enterrement.… J’avais peur mais je me lançais. Après tout ce n’était qu’un rêve.

-Je m’appelle Carla. Carla Nadin.

-Je sais… Je suis ta mère… C’est moi qui est choisis ton prénom à ta naissance.

Carla… Je suis tellement désolée… Je t’avais promis de ne jamais t’abandonner et je n’ai pas tenu ma parole… Si tu savais comme je suis triste Carla…

-Tu …. Es triste ? Mais non je t’assure je ne t’en veux absolument pas maman…

-Si tu m’en veux…Mais ne t’inquiète pas celui qui te fait souffrir va payer maintenant…

Elle me faisait peur ce n’était pas ma mère.

Ma mère étais tendre, rougissante et n’avait jamais confiance en elle. Elle n’avait jamais de mauvaise pensée.

-Non !! Tu n’es pas ma mère !

Elle avait disparu.

Alors je me mise à pleurer toutes les larmes de mon corps. Je pleurais sans pouvoir m’arrêter.

C’était comme une délivrance.

Je ne savais pas exactement pourquoi je pleurais mais tous ce que je savais c’est que ça me faisais le plus grand bien. Je mis ma tête entre mes mains et me calmais un instant.

Je pris une grande inspiration.

J’avais la tête qui tournait à présent et des nausées me submergèrent.

Je sortis de mon lit et courais aux toilettes.

Mon père arriva.

Alors je lui posais la question :

-Ta blessure…Elle est partie ?

-Mais je n’ai jamais eu de blessure ma puce. Je fixais toujours son front, alors il repris d’une voix que je ne lui connaissais pas.

-Ma chérie, je vais bien je t’assure et je ne suis pas blessé.

-Papa, tu as vu… Maman, elle était à la télévision…

Il me fixa avec des yeux ronds.

-Tu as du faire un rêve, tu sais que tu as beaucoup dormi depuis ton accident. Je suis désolé de ne pas avoir pu être là plus tôt... Je suis là maintenant.

-Ce n’est pas possible, tu étais là… Tu étais là depuis le début ! Je le repoussais.

-Ecoute… C’était un rêve. Un simple rêve.

Mais moi, je savais que ce n’était pas un rêve.

Mais plus mon père me répétais que ce n’avais été que le fruit de mon imagination, plus je commençais a croire que c’étais vrais.

Je finit par sortir de l'hôpital et la vie reprit son court. Je retournais étudier comme une élève toute a fait normal. Puis les vacances son vite arriver.

Un jour où je lisais « Les âmes vagabonde » assise dans l’herbe au fond de mon jardin, mon père vin me voir. Il me regardait d’un air honteux.

-          Oui ? Je levais les yeux vers le ciel bleus et le soleil m’aveugla.

-          Ma fille, je voulais te dire que suite à tes rêves étranges et à tes hallucinations vis-à-vis de ta mère… Enfin je pensais que…Que tu avais besoin de voir quelqu'un pour en parler. Une personne qui t’aidera…

Je me remis à ma lecture.

-          Tu sais a la mort de ta mère tu n’a voulut voir aucun psychologue et n’en parler a personne. Mais …

 J’étais en colère.

-          Alors c’est ça que tu penses ? Que je suis bonne pour l’asile ? Je suis sur d’avoir vu maman, je pourrais même te la décrire et te dire mot pour mot ce qu’elle m’a dit ! Mais toi qui es sensé me soutenir  tu me dis d’aller me faire soigner ?!

-          Mais non voyons Carla ce n’est pas sa !! J’essaye seulement de t’aider…

Je pris mon livre et le serrais de toutes mes forces contre ma poitrine pour ne pas éclater en sanglot. Puis, dans un élan  de courage, je dit des mots que je n’aurais jamais osé dire a mon père en temps normal.

-Va te faire voir !!! Alors je sentis la colère s’apaiser et le regret me submerger.

Puis la première gifle partit. Mon père ce tenais devant moi les joues en feu. Et moi je me tenais la joue.

-J espère  que ceci t’aura remit les idées en place.

 Alors honteuse, je partis en courant. Bizarrement je n’avais pas envies de pleurer.

Je me sentais terriblement trahit. Désespérer je décidais d'aller rendre visite a ma meilleure amie, Rose. Voilà comment je me retrouvais devant chez elle avec l'intention de tout lui raconter. J'avais besoin de soutient et je pensais Rose favorable a sa C'étais ma meilleure amie Je la connaissais depuis l'école maternel et depuis notre première rencontre le jour de cette rentrer en maternel ou je ne connaissais personne et ou elle m'avais tendus la main alors que j'étais assise toute seul dans un coin de la cours, nous ne nous étions plus jamais quitter.

Je sonnais a la porte. Le paillassons  que je lui avais offert étais toujours là devant sa porte. Je souriais.

Puis soudain la porte s'ouvrit en grand. Seulement il n'y avais personne. Je ne voyais ni Rose et ses ni aucun signe de vie a l'intérieurs de sa maison. Hésitante, je prononçais son nom tout bas.

-Rose... Le stress commençais a  apparaître malgré moi.

-Rose, si c'est une blague, ce n'est pas drôle du tout. Je fit un pas a l'intérieur, puis un deuxième.

Finalement je me dit qu'elle étais surement partit quelque part et qu'elle avais oublier de fermer sa porte. Je reculais, et claquais la porte.

-Je repasserais demain, elle serra surement là...

Je rentrais chez moi. Je m'excusais au près de mon père. Puis j'allais dans ma chambre la tête baisser. Je m'écroulais sur mon lit. Je voulais me détendre mais je n'avais pas la conscience tranquille. Peut-être que j'aurais dus aller voir finalement. Je me sentais terriblement seul et comme je ne savais pas quoi faire je pris mon portable et essayais d'appelé la mère de Rose. Rose n'avais malheureusement pas de portable et je ne pouvais m'in er de ce quelle faisais.

Peut-être étais-elle partie chez sa mère...

Dut... dut... dut...

-Allo! C'étais Giselle, la mère de Rose.

-Allo, Giselle?

-Oui, qui est ce?

- Giselle, c'est Carla.

-Carla!!! Ca faisais tellement longtemps! Tu va bien ? J'acquiesçais.

-Madame Stone, est ce que Rose est avec vous? Si c'est le cas j'aimerais lui parler. Je priais pour qu'elle me réponde "oui, bien sur je te la passe..." mais...

-Je suis désoler mais elle n'est pas avec nous Carla... Ha... Les enfants grandissent tellement vite. Sa voix tremblotais, comme si elle avais envi de pleurer.

-Ho, et savez vous ou elle est?

-Non je suis désoler mais je ne peut pas te le dire.

-Bien, alors, je m'excuse de vous avoir déranger madame Stone.

-C'est tout naturelle Carla.

-Au revoir.

Je raccrochais. Mais ou est elle passer. Je m'enroulais dans ma couverture sans même enfiler ma chemise de nuit et sombrais dans un profond sommeil.

Demain j'allais au lycée et je voulais être d'aplomb pour mon contrôle de mathématique.

Je verrais surement Rose demain matin. Cela me rassura et je pus enfin m'endormir l'esprit tranquille.  

Je me réveillais. Des gouttes de sueur perlais sur mon visage. J'avais encore une fois rêver de ma mère. c'étais toujours le même rêve. J'étais dans ma chambre de l'hôpital et ma mère me disais cette phrase qui m'avais fait peur: "  Si tu m’en veux…Mais ne t’inquiète pas celui qui te fait souffrir va payer maintenant…".

Il étais 5 heure 25 du matin et je n'avais pas l'intention de me rendormir.

Je me levais, encore essouffler de ce rêve éprouvant. Je marchais un peu, tout en réfléchissant.

Je finit par m'assoir sur le rebord de mon lit. Peut-être que finalement je devrais me rendormir un peu.

Je me mis sous ma couverture et vérifiais l'heure sur mon portable. 5 heure 50.

Hum... Je mis mon réveil a 6 heure 30 et  essayais de me reposer pendant les quelque minutes qu'il me restais a dormir. Mais mes yeux ne voulais pas ce fermées. Je n'arrêtais pas de me demander pourquoi ce rêve continuais de me hanté. Peut-être que finalement je devrais en parler a quelqu'un. Je me mordis la lèvre jusqu'au sang. Je m'en voulais d'avoir rejeter mon père alors qu'il essayais seulement de m'aider a aller mieux. Et il avais raison, je n'allais pas bien du tout. Ce que j'avais vus dans cette hôpital ne pouvais pas être seulement le fruit de mon imagination, sinon je n'en rêverais pas toute les nuits.

Je commençais a m'endormir mais mon réveil sonna. C'étais déjà l'heure? Effectivement peut de temps après j'entendais mon père me hurler de me lever.

-"Zut... "Je n'avais pas dormie autant que je ne l'aurais penser finalement. Pourtant il fallait bien ce résoudre a ce lever, ce matin, je partais pour mon lycée privé, Jean Louis Teruel.

Je lutais pour ne pas me rendormir et au bout de 5 minutes je me levais. Un grand frisson me parcourut tout le corps. Il faisais un froid de canard aujourd'hui. J'attrapais le premier pull qui me passais par la main et l'enfilais avec hâte, puis je me dirigeais vers mon placard et pris un jean délaver que je n'avais pus me résoudre a jeter et que je mettais pratiquement tout les jours. Une paire de chaussette mauve et de vielle chaussure qui avais appartenus a ma mère et qu'elle m'avais donné.

-"Elle ne me vont plus et elle me plaise beaucoup, j'adorerais que tu les porte toi aussi!!" m'avais t'elle dit en me tendent une paire de botte noir a talon.

Depuis je les portais sans cesse.

Je filais dans la cuisine, j'engloutie ma tartine beurrée et bue mon verre de jus d'orange.

Il étais déjà 7 heures 30!!! Mon père allais surement m'appeler d'une minute a l'autre.

Je me précipitais dans la salle de bain, me brossais les dents et coiffais mes cheveux. Ils étais tellement friser qu'ils augmentais de volume a chaque coup de brosse. Je détestais mes cheveux c'est pourquoi je les attachais toujours habituellement. J'entendit le moteur de la voiture a mon père tournée. Je pris mon cartable a la volée et partie m'assoir dans la voiture.

"-On peut y aller papa." Le trajet ce déroula dans le silence et je fut contente d'arriver au collège pour briser ce silence pesant.

"-A toute a l'heure papa!" Il ne me répondit pas , je ne relevais point. Cependant, je me sentais mal. Il devais surement être très en colère contre moi, il ne m'avais pas parler ce matin. Soudain je sentis une main ce poser sur mon épaule.

"-Rose, c'est to... " Ce n'étais pas Rose.

"-Bonjour, je m'appel Amandine et je fait des interview des nouveaux élève!" Elle avais les joue rose et les yeux d'un vert éclatent. Ses cheveux, eux étais rouge vif. Je souris.

"-Eh, bien, je ne suis pas une nouvelle élève...

-Vraiment? Pourtant, je ne t'avais jamais remarquer auparavant. Comment vous appelez vous ?

-Je m'appelle Carla."

Nous avons discuter pendent un moment, si bien que je commençais a en oublier Rose.

Puis, la sonnerie retentis, et nous nous séparâmes. Je commençais alors a chercher Rose dans la ranger mais je ne voyais pas sa tête blonde. Elle étais peut-être malade. Je m'efforçais de ne pas pensée y pensé.

Tiens, un nouvelle élève. Je ne pus m'empêcher de rire en repensant a cette fille et ses cheveux rouge.

"-Chers élève!" Madame Lyon, notre prof principal mais aussi notre professeur de mathématique frappas la table avec sa règle pour obtenir notre attention.

"- Nous accueillons dans notre classe un nouveau camarade. J'espère que vous allez bien vous entendre avec lui!! Cédric, tu va aller t'assoir... hum...

Je sentit le regard de ma prof ce poser sur moi. Oh, non... Pitié, pas sa... Je me mit a dessiner un cœur sur mon livre.

"- Carla! Je sentit le rouge me monter au joues.

-Oui madame?

Comme ta camarade, Rose, n'est pas là Cédric va s'assoir a cotés de toi pour l'instant.

-Ho non..." murmurais-je. J'avais envie de pleurer. Le fait que Rose ne soit pas là m'inquiétais un peu.

Peut-être que je devrais prévenir la police... Quelle idiote, elle est surement malade c'est tout.

Je me remit a mon ouvrage. J'avais barrer le cœur d'un trais a la règle et je faisais a présent une tête de mort. Je sentit quelqu'un s'assoir a côtés de moi. Il sentais l'eau de Cologne.

-Bonjour? Il hésitais a me parler et sa s'entendais dans sa voix. Tremblait-il?

J'essayais d'avoir la voix la plus amical possible.

-Bonjour. Je levais les yeux. Ses yeux étais noir, tellement noir que si on les regardais trop longtemps on pouvais ce perdre dedans. Il avais les cheveux aussi noirs que ses yeux. Il me regardais fixement et droit dans les yeux. Bizarrement, je n'arrivais pas a me détacher de son regard. Il étais très beau et avais une sorte de tristesse dans ses yeux que je n'arrivais pas a comprendre.

Je réussi enfin a lever les yeux vers le tableau noir de la salle de classe. Nous ne nous parlons pas de tout le cours. Quand je sortie enfin de la classe je poussais un grand soupir de soulagement. Grace a ce Cédric, nous n'avons pas eu de contrôle. Puis, je me dirigeais vers les toilette. Elles étais blinder

, comme d'habitude. J'attendais quelque minute quand je vis une bande de fille ce diriger vers les toilette homme. Curieuse, je les suivais en silence. Elle jetaient un coup d'œil derrière elles et stupéfaite je crus reconnaître Amandine qui passais la porte. Je décidais que ce n'étais pas la peine d'aller plus loin, nous n'avions pas le droit d'entrer dans les toilettes des garçon et je ne voulais pas avoir d'ennuis. Mais... Comme même j'avais vraiment envie d'y aller...

"-Oh, et puis tant pis... " Je me surpris moi même a entrer dans ces toilette. Moi, Carla, élève studieuse, n'a jamais répondu aux professeurs et qui n'a jamais pris une heure de colle désobéissais pour la première fois.

Quand je pénétrais dans ces toilette une horrible odeur de fumée emplis mon nez. Je n'avais jamais fumée mais je pourrais reconnaître cette odeur entre toute: C'étais une odeur de tabac!

Mon père avais fumé et je me souvenais parfaitement de cette odeur que je sentais sur sa veste a chaque fois que je le serrais dans mes bras.

Je n'aurais jamais pus imaginer que Amandine soit fumeuse!

Je me dirigeais vers le premier toilette, en douce. Je ne voulais pas que quelqu'un me voit. Je refermais doucement la porte derrière moi. Je n'avais plus tellement envie finalement.

Je m'apprêtais a ouvrir la porte quand une des fille toqua a la porte.

"-Tu peut sortir, on t'a vu!" Il y eu quelque gloussement et honteuse j'ouvrit la porte.

"-Cigarette?" Une fille me tendais un briquet, je refusais.

"-Qu'est ce que tu fout la toi?" Je rougissais de plus belle. Elles ce remirent a rigoler.

"- J'avais besoin d'aller au toilette, mais il y avais trop de monde...

- Ha... Ok... Amandine nous a parler de toi. Elle a dit que t'étais une fille sympas.

-Vraiment? Je commençais a me détendre un peu. Ces filles n'étais pas si méchantes qu'elles en avais l'air, elles étais même plutôt gentille. Finalement je m'appuyais contre le mur et nous discutâmes jusqu'a la sonnerie. Je leur faisais un signe de la main et repartie.

La journée ce passa bien, j'appris a connaître Cédric. Il me faisais souvent rire avec ces blagues stupides.

Je sortie de l'école en avance ce jour là. La professeure de Français étais absente. J'appelais mon père. Il me dit que je pouvais trainer un peu en ville avec Rose si je voulais.

Je n'osais pas lui dire que Rose étais absente et j'acquiesçais. Je décidais que j'allais aller me poser dans un coin tranquille ou personne ne me dérangerais. Quelqu'un m'effleura l'épaule. Je me retournais. Un homme qui devais surement avoir une trentaine d'année me regardais. Il étais d'une beauté a faire chavirer le cœur.

"-Bonjour, jolie demoiselle. " Il m'avais bien appeler, jolie demoiselle ? J'avais peur mais toujours polie je lui répondit.

"-Bonjour." Puis, je passais mon chemin.

Je fit quelque pas et me retournais une nouvelle fois. Il ne me suivais plus. Ouf... Quelle homme étrange... Je me retournais et ce que je vis devant moi me fit frissonné de tout mon corps.

Ma mère étais devant moi. Elle me parla mais perdus dans mes penser je n'écoutais plus rien.

Puis soudain je revint a la réalité.

"-Chéris, va t'en, court! Ils veulent te faire du mal.

 -Maman... Ils ne veulent pas me croire... Ils disent que c'étais un rêve...

- Je t'en pris, ne reste pas là... Par... Elle n'étais plus là. A la place un homme ce tenais devant moi. Etais-ce le même que toute a l'heure? Soudain je repensais a ce que m'avais dit ma mère. Pourquoi m'avait-elle dit ca?

"-Et bien... On dirais bien que tu devient folle ma petite chérie! " Pourquoi m'avais t'il appeler comme ca. Je réfléchissais. Peut-être étais-ce une connaissance. Mais je ne voyais pas. Mes pensées ce bousculais dans ma tête. Fallait il que je m'en aille? J'osais un petit:

"-Mais qui êtes vous? " Alors j'entendit d'abords un puis plusieurs rire. Surprise, je me retournais en sursaut. Deux autres hommes étais derrière moi et riaient eux aussi. Parmi les  trois hommes je crus reconnaître celui qui m'avais gentiment aborder tout a l'heure.

La pa*** commençais a surgir et je tentais de partir. Un des hommes me pris le bras et me tira contre son torse. Aille! Il étais très dur...

-Tu va voir, ca va être bien avec nous ma belle...

-Nonnn!!! Je ne veut pas...

Ils ce remirent a rire de plus belle.

Je pestais contre lui et essayais de me dégager de son emprise mais il étais très fort. Alors ne voyant plus d'autre solutions je brandit mon poing et l'écrasais sur sa mâchoire.

Il poussa un crie de douleur et me lâchas enfin le bras. Alors je me mise a courir. J'avais peur, peur qu'on me rattrape. Je me mise a hurler.

"-A l'aide!!!!!! Aidez moi!!!!" Puis tout ce passa très vite. Je trébuchais contre un caillou et m'écrasais sur les gravier.

Je vis des pieds d'homme s'approcher de ma tête. Alors dans un dernier espoir je hurlais de plus belle.

"-Nonnnnn!!!!!! Arrêtez, arrêtez !!!!!! A l'aide!!!!!!! Et sentant que personne ne m'entendais je brandit mes poing et mes pied comme une folle, jusqu'a ce que j'entende une voix que je connaissais bien. La voix de Cédric.

"-Carla! C'est moi, Cédric! Qu'est ce qui c'est passer! Il étais affoler.

 Alors, je fondais en larmes. Il me pris la tête entre les mains et me força a le regarder.

"-Carla... Regarde moi que c'est il passer. S'il te plaît. Regarde moi. Tu a mal quelque par ?

-Je...

Je sentais mes forces me quitter... Et a bout de force, je renonçais et sombrais dans un profond sommeil.

Quand je me réveillais j'étais dans mon lit. Ce pouvait-il que ce n'est été qu'un rêve?  

Ces hommes, ma mère... Elle avais essayer de m'avertir de ce qui allais ce passer.

J'entendit mon père parler a coté de la porte de ma chambre. J'avais du mal a entendre ce qu'il disais, il parlais tout bas comme si il avais peur de me réveiller.

Avec qui parlait-il? J'écoutais bien attentivement et même si je devais deviner le sens de quelque mots je finit par comprendre. Ce que j'avais vécus n'avais pas été mon imagination. Et mon père parlais avec... CEDRIC!!

Je me remit en boule sous ma couverture. Je roulais sur le cotés. Aille! J'avais sacrément mal au bras.

J'entendit la porte s'ouvrir doucement et mon père pénétra dans ma chambre, suivit de près de Cédric. Je fit mine de dormir ils ce remirent a parler.

"-Merci beaucoup de me l'avoir ramener, je ne sais pas ce que je ferais sans elle... C'est toute ma vie depuis que ma femme nous a quitter il y a 2 ans. Et désoler de vous avoir cossé tant d'ennuis.

Il avais la voix qui tremblais légèrement comme si il avais pleurer.

-Mais il n'y a pas de quoi monsieur Nadin."

Comment mon père osait-il raconter l'accident de ma mère a cette inconnus. Je me recroquevillais sur moi même.

Je repensais a ce qui c'étais passer. Trois homme m'avais agresser dans un coin tranquille ou personne ne pourrais me voir et me venir en aide, alors que je cherchais un endroit calme pour me reposer. Dans un élan de courage, j'encastrais mon poing dans la mâchoire de mon agresseur. Je souriais rien qu'a ce souvenir. Puis je me lançais dans une course folle mais je trébuchais sur une pierre et tombais dans les gravier. Puis Cédric est arriver. Je me souvient qu'il m'avais pris la tête entre les main et qu'il m'avais bercer doucement jusqu'a ce que je me calme enfin et m'endorme comme un bébé. Ensuite c'étais le trous noir. Ne pensant plus a mon épaule je m'appuyais dessus de toute mes forces et quand je sentis la douleur engourdir mon bras, je ne pus retenir un petit cris strident. Ho non... pitié qu'il n'ai rien entendus...Il y eu un silence. Je me croyais ore de danger mais mon père m'appela.

"-Carla... Tu est réveillé? " Je ne répondais pas. Je fermais mes yeux très fort pour essayer de me rendormir et au bout de une minute m'endormis.

 

Je me réveillais le lendemain a six heure et demis. J'attendais quelque minute. Mon père ne devrais pas tarder a donner le signal pour me lever. Au bout de dix minutes, toujours rien. Je décidais donc de me lever toute seul et d'aller passer un savon a mon père.

"-Papa!! Réveil toi!! Tu doit m'emmener au lycée aujourd'hui!! Aucune réponse. Je commençais a le secouer un peu. Papa... S'il te plaît !" Toujours rien. Je commençais a m'inquiéter. Je le secouais de plus belle en criant de toute mes forces. Finalement je vis ses pieds bouger en dessous de sa couette, puis il grogna.

"-Hum... Quoi? Qu'est ce qu'il y a Carle? M'avait il appeler Carle?

-Papa, je m'appelle Carla et pas Carle...

-Oui et bien qui a t'il... Carla... J'espère que c'est important. J'avais envi de pleurer. Le faisait il exprès pour me pousser a bout?

- Mais papa voyons... Tu doit m'emmener au lycée aujourd'hui!! Aller! Je vais finir par être en retard.

Il finit enfin par ce lever.

"-Qu'est ce que le lycée chérie." Je n'en revenais pas... Mon père me demandais ce qu'étais le lycée?

"-Oh... je suis désoler ma puce mais je suis fatiguer je vais t'emmener au lycée."

Je me préparais a vitesse grand V et m'installais dans la voiture. Je ne repensais pas a ce qui c'étais passer avec mon père ce matin la. J'avais peur. Mon père ne ce comportais pas de la même façons que d'habitude. J'essayais d'oublier. Nous arrivâmes enfin a mon lycée. J'embrassais mon père sur le front et descendais de la voiture. Je ne vus pas Rose de la journée. Et les trois jours suivant, toujours pas de Rose. Je commençais a m'inquiété. Le jour suivant elle n'étais toujours pas revenus. Je décidais de faire un petit détour et de passer chez elle. Je pris mes clés et rentrais. Rose m'avais donner les clés de son appartement.

"-Rose!! C'est moi!!" Aucune réponse.

"-Rose!!" Je me dirigeais vers sa chambre. Elle n'y étais pas. Alors je me posais sur son lit pour réfléchir un instant. Elle ne m'avais rien dit avant les vacance qui pourrais me faire croire qu'il lui été arriver quelque chose. Je fixais un point invisible sur la moquette bleu de sa chambre. Puis mon regard ce posa sur une escarpin noir qui dépassais de sous son lit. Tiens... J'essayais de le prendre dans mes mains mais il étais accrocher. Alors je tirais un grand coup et je remarquais avec stupeur qu'il étais encore accrocher au pied de quelqu'un! Je lâchais ce pied qui retomba lourdement sur le sol. Je tombais a genoux. Etais ce le pied de Rose? Je pris alors mon courage a deux mains et tirais de toute mes force ce pied qui dépassait comme si quelqu'un avais essayer de le cacher et ce que je découvrit me liquéfia sur place.

C'étais bien Rose mais son visage exprimais une expression de peur Elle étais comme frigorifier.

"-Rose... " Je m'approchais de son visage. Puis voyant qu'elle ne répondais pas je la secouais. Je l'appelais, de plus en plus fort en espérant qu'elle finisse par reprendre ses esprits. Alors des larmes incontrôlé sortais de mes yeux.

"-Rose, Rose... Réveil toi! Je t'en pris, Rose!! Elle portais toujours la même expression. Je savais qu'elle n'étais plus en vie et que je pouvais crié tans que je voulais, elle ne me répondrais plus. Mais pourtant, je continuais de le secouer comme un prunier. Ses membre bougeais comme un pantin désarticuler. Non... J'avais déjà tellement perdus... Je ne voulais pas perdre Rose. Je pleurais et hurlais sans m'arrêter. Mes cries finirent par alerter des voisin qui appelaient immédiatement la police. Mon père arriva en premier et devant le corps meurtrie de Rose il finit lui aussi par léser libre court a ses larmes. Il me serra dans ses bras. Je me sentais tellement coupable. Peut-être que si j'avais été vérifier ce jour ou j'avais vu sa porte entrouverte, elle serais encore en vie... Je voulais retourner en arrière et venir la sauver mais c'étais impossible. Je laissais toutes mes larmes coulées jusqu'a ce que je n'en ai plus une goutte a verser. Les premier jour mon père avais décider de ne pas m'envoyer a l'école et avais appeler une assistante social ainsi que le meilleur psychologue de la ville mais très vite je voulut reprendre ma vie en main. Ma vie tellement normal c'étais effondrer au moment même ou ma mère avais cesser de respirer et je savais que cela allais être très dur de surmonter toutes ces chose que j'avais endurer et essayer d'oublier, mais je ne voulais pas perdre espoir et je voulais continuer a espérer qu'un jour je n'aurais plus aucune séquelle de mon enfance très mouvementer et que je pourrais enfin retrouver une vie tout a fait normal.

Mon père tenais comme même a ce que je vit ce psychologue qui me posais toujours les même questions stupides.

Puis enfin mon père daignai a me laisser sortir. Cela faisais longtemps que je n'avais pas vus Amandine et sa bande, Cédric et j'en passe. Ce matin j'avais décider que pour une fois j'allais me mettre en jupe et que j'allais quitter mes vieille chaussure pour mettre mes ballerines blanche. Cette nouvelle tenus marquais la venus d'un nouveau départ. Arriver au lycée mes chaussure me faisais affreusement mal au pieds et je sentais déjà les ampoules ce er sous mes pieds. Je fouillais dans mon sac a la recherche de pansement, mais je dut vite me rendre a l'évidence, je n'en avais pas... Pourtant, j'avais sacrément mal au pied. Tans pis j'allais devoir le supporter pour la journée. Soudain je repensais a Rose qui avais souvent des pansement dans son porte feuille Hello- Kitty. Les larmes me montais aux yeux.

Soudain quelqu'un me fit une grande tape amical dans le dos. Je me retournais, m'attendent a voir un surveillant qui faisais sa ronde du matin et qui s'ennuyais tellement qu'il réprimandaient n'importe lesquelles des élève même si ils étais tout a fait innocent Mais, non, c'étais Amandine! Je ne voulais pas la voir. Je rentrais en classe. La professeurs commença son cours. Personne n'avais l'air au courant de l'affreuse nouvelle concernant la disparition de Rose. Oui, car peut de temps après que je soit rentrer chez moi, le jour du drame, accompagner de mon père qui essayais temps bien que mal de me remonter le moral un coup de file du commissariat de police nous interrompis dans notre discutions sur ce que je voulais manger ce soir. Mon père décrocha.

"-Allo?

-Allo Monsieur Nadin? Est ce que c'est vous? De temps en temps mon père me lançais des petit sourires forcés pour me rassurer.

-Oui c'est moi? Je finit par monter dans ma chambre. Une longue discutions s'en suivit. Je réussissais a comprendre quelque mot que mon père prononçais avec horreur, puis, plus rien. Il avais raccrocher. Je savais ce qui ce passais, je n'étais plus une enfant et je savais ce que signifiais les mot: "meurtre" ou " viole"... Ma meilleur amie avais été assassiner dans son appartement.

Je mis ma tête entre mes main. J'avais envies de vomir. Je demandais a la prof d'aller au toilette. En voyant la couleur pâle de mon teins elle voulut bien me laisser y aller. Je traversais les couloir et zigzaguais entre les ranger de casier, évitant quiconque aurais put me frôler. Après le répits des couloirs vide je fut crucifier par les regards dégoulinants de compassion des surveillant qui traversais les couloir et qui avais surement appris ce qui c'étais passer. J'arrivais enfin au toilette femme J'entrais et une odeur de fumer m'enveloppa. Il y avais Amandine et toutes les autres filles.

"-Salut! Je lançais comme si tout allais au mieux mais elles devais êtres au courant car Amandine s'approcha lentement de moi et me pris dans ses bras. Son Sweat-shirt sentais le tabac mais je m'en fichais complètement. Alors, je me mise a pleurer. Des torrents de larmes qui trempais le tee-shirt de mon amie. Quelque minutes se sont écoulées et je finit par m'arrêter, épuiser. J'en avais assez de cette vie de fous. Je voulais que cela s'arrête, j'étais fatiguer de me retenir pour ne pas paraître une véritable "chochotte". Je discutais un peu. Amandine avais le dont de me faire rire, et ca même dans les moment les plus difficile. Elle s'appelais Amandine Sardine. De nombreuses personnes ce moquais de son nom quand elle étais plus jeune et elle ce laissais souvent marcher sur les pied par peur de représailles mais ses plus fidèles amies, l'avais toujours soutenus et lui avais appris a prendre confiance en elle. Et voilà que maintenant elle ce moquais elle même de son nom. Elle avais vraiment changer pensais-je. Il y avais aussi Marine, une des filles des toilettes. Elle avais un ans de plus que chacun d'entre nous  mais faisais la même taille qu'une enfant de 6eme. Elle avais les cheveux de la même couleur rouge que Amandine et avais de grand yeux bleus. Je me demandais quelle étais sa véritable couleur de cheveux. Elle étais très bien habiller. Elle portais une minis jupe rouge et un tee-shirt tous simple blanc casser qui faisais ressortir sa poitrine assez imposante. Elle me regardais. Je lui adressais un sourire comme pour la rassurer et que j'allais bien. Amandine, ma raconta plus tard qu'elle avais fait une tentative de suicide pour des raison obscures. Puis il y avais une autre. Elle ressemblais comme deux gouttes d'eaux a Amandine a par ses cheveux qui étais d'un noir intense et j'appris plus tard que c'étais parce qu'elles étaient sœurs.

Je finit par rentrer en classe. Madame Sylvert, ma professeure me demandais si tout allais bien et je lui répondais d'un hochement de tête. Je ne savais pas combien de temps j'étais rester avec la bande mais elles m'avais remonter un peu le moral et je me sentais mieux. Cédric s'assit a coté de moi le cours suivant. Oh non... Il me regarda. Je lui jetais un regard froid et c'est seulement après qu'il s'assis.

"-Bonjour, Carla." J'avais une folle envi de tout lui raconter, de lui dire a quelle point j'étais affecter par la disparition de Rose et que c'étais pour cette raison que je ne pouvais pas lui faire de grand sourire. Je voulais lui dire que ce n'étais pas a cause de lui... Mais je n'arrivais pas a parler, une grosse boule dans la gorge m'en empêchais.

"-Carla... Est ce que tout va bien? " Il étais tellement gentil et attentionner. Je m'efforçais tout de même a lui répondre un petit oui étouffer. Le cours ce passa sans que Cédric ne daigne a nouveau a me parler et j'en étais bien heureuse. A la pause déjeuner, je rentrais chez moi. Je n'avais plus cour cette après midi et tous ce que je voulais faire c'étais me regarder un bon film étaler sur le canapé. Peut être pou fuir ce monde de barbare. Comme je ne trouvais aucun film, je m'emparais de la télécommande et commençais a zapper.

Alors, un bruit assourdissant ce fit entendre. Il étais tellement fort qu'il faisais vibrer la maison toute entière. Je me bouchais les oreille, mais impossible d'apaiser la douleur de mes oreille. C'étais comme si une tempête se produisais dans ma tête. Je hurlais de douleur. J'avais l'impression que ma tête allais exploser comme un vulgaire ballons de baudruche. Et soudain, plus rien. J'entendais une petite voix.

"-Carla. Carla..." Je ne compris pas tout de suite qui c'étais puis la voix s'intensifia. C'étais comme si on passais sous un tunnel en voiture. Les oreilles se bouche puis en sortent elles ce débouche comme par magie. J'entendais a présent parfaitement une voix de petite fille. J'ouvrais délicatement les yeux. J'étais dans la cours de récréation, mais pas celle du lycée. Cette cours de récréation, c'étais celle de mon école primaire.

"-Carla. Carla... " C'étais exactement la même voix qui m'avais appeler tout a l'heure. Je connaissais cette petite voix douce et feutrer. C'étais celle de Rose. Mais Rose quand elle avais huit ans tout au plus. Je me retournais, je voulais voir Rose mais il n'y avais personne derrière moi. Alors je partie a sa recherche. J'ouvrais une porte qui ce présentais a moi. J'étais a présent dans une chambre. Il y avais un lit. Je m'assis dessus et remarquais qu'il étais très moelleux. Je fit quelque bon dessus et soudain quelqu'un d'autre ouvrit la porte. Je ne le connaissais pas, ce monsieur.

"-Bonjour, Rose." Pourquoi m'appelait il Rose? Et avent que je n'ai le temps de lever les yeux pour voir qui étais-ce, cette individu ce jeta sur moi, pris un coussin et me le maintient sur mon visage jusqu'a ce que je ne puisse plus respirer. J'essayais de crier, de repousser cette chose qui m'empêchais de respirer, mais il étais trop fort et je perdis conscience. Je me réveillais sur mon canapé. Que c'était il passer. J'étais accroupie sur le rebord du canapé. Je levais la tête et je vis que quelque chose étais poser sur la table. Je me levais. C'étais un petit morceaux de feuille surement déchirer dans un cahier. C'étais surement une antis sèche ou un petit mot de Amandine... Je le regardais. Ce n'étais pas une antis sèche mais ce n'étais pas non plus un mot de Amandine. C'étais un mot, mais c'étais le mot que m'avais envoyer Rose, avent les vacance et son meurtre. Je sentit mon cœur ce serrer en relisent ce mot:

"Coucou ma belle! Tu sais aujourd'hui j'ai rencontrer l'âme sœur... Il est tellement craquant et il m'a inviter a une soirée ce soir! Je suis très heureuse mais a vrais dire j'ai un peu peur d'y aller toute seul et je pensais que tu pourrais m'accompagner! Alors? Tu veut bien? <3"

Je lui est alors répondus : Bien sur Poulette mais avent de t'engager avec cette homme qui d'après toi est "l'âme sœur" je VEUT des renseignement!!! XD Je ne veut pas que ma meilleure amie sorte avec n'importe qui! Mais en tout cas, pour la soirée c'est sur que je viens!!! :)

Seulement je n'avais pas penser a mon père... Il a définitivement dit que j'étais priver de sortie a cause de mes notes désastreuse en cours et de ma moyen qui ne faisais que baisser. J'ai essayer de joindre la mère de Rose pour qu'elle la prévienne car malheureusement, elle n'avais pas de téléphone portable...

Je n'ai finalement pas réussie a la contacter. Puis les vacance son arriver et j'ai oublier cette soirée a quelle elle m'avais supplier de l'accompagner... Je continuais a lire le mot.

" Super! Alors, j'espère que tu portera ta plus belle robe ce soir! Il s'appel Frédéric mais on l'appel tous Fred! "

Puis la professeur nous avais interrompus pour nous prendre notre mot. Je poussais un petit crie aigus. Comment ce pouvait il que ce mot soit ici! Je fouillais dans mémoire. Peut être me l'avait elle finalement rendus après avoir pris soin de s'assurer qu'il ne comportais rien de compromettant sur elle ou sur un de ses collèges de travaille, ou bien Rose l'avais repris discrètement dans le tiroir de Mme Dubouchon quand elle avais le dos tourner et qu'elle me l'avais remis en main propre ensuite... Il faillais bien admettre que je ne m'en souvenais plus... C'étais il y a déjà un petit moment. C'étais le dernier jour de cours et tout le monde étais exciter a l'idée de partir en vacance. Et c'étais aussi pour cela que je ne comprenais pas pourquoi mon père ne voudrais pas me laisser allez a cette fête et que j'avais dit oui sans même que l'idée m'effleure l'esprit que peut être mon père m'interdirais d'y allez. Ce soir là je ne l'avais donc pas vus et le reste des vacance ce déroula sans que j'eu de nouvelle de sa part. Comme elle n'avais toujours pas de téléphone portable je n'avais pas essayer de la contacter que ce soit directement ou par l'intermédiaire de ses parents. Ce cours fut les dernier moments que j'avais passer avec elle... Les dernière minutes, les dernière second... Une vague impression de nausée me submergea soudain. Je ravalais ma salive avec difficulté. J'avais les larmes aux yeux a présent... Je sentais que je pouvais éclater a tout moments... Puis comme je le craignais, mes larmes coulais sur mon visage. Je les sentais, chaudes et salée... Je ne pouvais plus les retenir. Je ne pouvais plus m'arrêter. Je mis ma tête sur mon genoux pour tenter de me calmer mais je n'y parvint pas. Je sentit une main caresser mes cheveux puis cette voix. Elle me disais de me calmer, que tout allais bien ce passer. Elle ne pouvais pas comprendre... Alors, ma colère pris le dessus et je me mise a hurler de toute mes forces. "Non, non, ca va pas ! Non! Ca va pas du tout!!! Arrête de dire sa!! C'est pas vrais!! Ca va pas!"

Alors la voit ce tut cependant elle continua a me caresser les cheveux... Je levais mon visage rouge de colère vers celui qui essayais de me consoler depuis le moment ou j'avais commencer a pleurer, a bout de force. Il n'y avais personne. Plus personne. Mes sanglots repartirent alors e plus belle. Pendant une heure je restais coller a la fenêtre en essayant de ce réchauffer avec les rares rayons de soleil qui filtrais a travers les rideaux de la salle a manger. Je réfléchissais. Je ne comprenais pas vraiment ce qui étais en train de ce passer en ce moment... D'abors l'aparition de me mère a plusieurs reprise, puis cette voix assourdissante dans ma tête... Qui m'avais parler... Rose? Mais cette voix était celle d'une enfant... C'étais complètement ridicule... Je me levais et décidais d'appeler Cédric. Je ne lui avais pas beaucoup montrer a quelle point j'étais reconnaissante de ce qu'il avais fait pour moi! Il m'avais sans doute sauver la vie lors de cette entrevus avec ces garçons...

"-Allo? " C'étais lui... A vrais dire j'avais esperer qu'il n'eu pas répondus...

"-Allo? Allo, allo, il y a quelqu'un?

-Oui, Cédric... C'est moi, Carla...

-Carla? Qu'y a t'il? Ca ne va pas?

-Pourrais tu passer a la maison cette après midis? C'est vrais que je me sens un peu seul dans cette grande maison.

Il ne parlais plus.

-Oui, bien entendus!" Je souriais et lui dit au revoir.

 Je me dirigeais vers la cuisine pour enfourné un paquet de chips au vinaigre au passage quand je découvrit avec stupeur que mon mascara avais coulé!

Tant pis pour les chips, je me précipitais dans la salle de bain, attrapais un cotton déjà utiliser et me frottais les yeux de toute mes force avec. Puis, je me rendit compt que mon tee-shirt étais un peu trop décolleter a mon goût. Je me dirigeais a grand pas vers ma chambre et foulliais dans mon armoir  a la recherche d'un tee-shirt corect. Je dénichais enfin un tee-shirt gris, qui ressemblais étrangement a un vieux chiffon. Je le regardais... La sonneris retentis soudain, et dans un élans de pa***, mis cette vielle chose qui devais sans doute être un tee-shirt. Puis, je désendit les escalier en vitesse et arrivais enfin devant la porte.

J'ouvrais la porte en grand et l'invitais a entrer.

"-Bonjour" me dit il perp***. Il me fixais comme pour essayer de déchifrer l'expression de mon visage. Mais je ne voulais rien laisser paraître de ce qui c'étais passer et serrais les dents.

"-Bonjour... Assis toi je t'en pris... Tu veut quelque chose a boire?" Il ne me répondais pas. Mon estomact ce tordit en deux quand il me demanda:

"-Carla, tu m'a appeller en pa***... Est ce que tout va bien? Je m'empressais de changer de sujet.

-Ecoute Cédric... Je n'ai pas très envis d'en parler pour le moment... Alors? Thé, caffé...?  Il me dévisaga pendent trentes longues second puis enfin ce décidais:

-Caffé! 

-Ok, je revient dans deux minutes! Seulement, avent que je n'ai le temps de fair un pas vers la cuisine il m'attrapais le bras et me tirais contre son torse. Je sentit le rouge me monter aux joues et mon coeur s'accélérer et taper tellement fort dans ma poitrine que j'avais peur qu'il puisse l'entendre. Il attrapa ma tête entre ses mains. Je ne pouvais plus bouger. J'étais comme paralyser par son regard magnétique. J'avais peur. Il approcha son visage du mien tout en continuant de me regarder fixement. Puis ses lèvres se posère doucement sur les miennes. Je fermais les yeux. J'étais heureuse. Pour la premiere fois depuis l'apparition de ma mère dans cette hopital, j'étais vraiment heureuse. Je savourais ce moment, il me lacha le visage et nos lèvres chaudes et humides s'écartèrrent pour qu'il puisse y pénétrer sa langue. Il décsendis ses mains vers mes hanches. Je me décrochais de lui pour lui retirer son tee-shirt...

Quand je me reveillais j'étais dans mon lit. Je me retournais m'attendant a y trouver Cédric mais il n'y avais personne a part un petit mot écris a la va vite sur un bout de feuille qui avais sans doute été archacher. Je m'en emparais avec aviditer pour lire ce qui y étais inscrit. Comme je m'y attendais c'étais Cédric qui avais écrit.

 

                                   Carla

Je suis partit tôt ce matin pour arriver a temps chez moi. Tu dormais si bien que je n'ai pas voulus te reveiller. Je t'ai préparer un caffé et deux tartines de beurre. Ils sont poser sur la table de la salle a manger. Ne t'inquiete pas pour ton père. Il est partit tôt ce matin et il ne m'a pas vus. Je t'aime et on ce voit Lundi mon amour.

                            Je t'aime, Cédric.

 

Je serrais le petit mot gentil contre ma poitrine et appuia sa tête contre le mur. Elle ce demandais si ce qui c'étais passer hier avais réelement signifier quelque chose pour lui ou si ca c'étais passer sur un coup de tête. En tout cas, ce mot disais tout le contraire. Je souriais.

 Je me levais et me dirigeais en courant vers la cuisine. Un plateau étais poser soigneusement sur la table. Dessus étais poser deux tartines de beurre et un caffé un peu froid maintenant... Je pris la tasse entre mes main. Elle étais gelée. Je la passais au micros onde pour le réchauffer. Soudain, sans que je sache pour quoi, ma tasse s'éclatta dans le micros-ondes. Je l'ouvris avec précipitation et aperçus les morceaux de tasse éparpiller un peu partout dans la machine. Qu'avait il bien pus ce passer... Je réfléchissais quand un hurlement me parvint de la salle de bains.

Je montais les marches quatres a quatres et arrivais dans la salle de bain. Il n'y avais personne. Je m'assis sur le bord de le baignoire. Et comme hier un bruit assourdissant dans ma tête. Je m'alongeais par terre, recroqueviller sur moi même jusqu'a ce que sa s'arrête. Puis d'un coup; plus rien. Seulement le silence pesant de l'athmosphere. Je voulais lever la tête pour voir ce qui ce passais mais j'étais pétrifier. J'avais peur de voir quelque chose que je n'aurais pas dus voir... Je restais la tête dans mes genoux a fixer un point invisible du carrelage blanc de la salle de bain. Puis j'entendis la porte s'ouvrire puis ce refermer violament.

Je ressairais mes bras sur mes genoux a l'affut d'un bruit. J'entendit quelqu'un m'appeler.

"-Carla!" C'étais mon père... Rassurer je me dépliais comme ce déplierais une feuille de papier et me levais. Je me précipitais alors dans les escalier et sautais dans les bras chaud et réconfortant de mon père.

Surpris par tant de joie, mon père me pris par les épaules et me détacha a lui. Je le regardais. Je n'allais plus être seul et cette simple idée me remplissais de joie.

"-Bonjour, ma puce... Mais... Est ce que tout va bien? Il me regardais, inquiet. Puis son regard ce porta sur ma tenus. J'étais toujour habiller, comme hier.

"-Oui ca va très bien ne t'inquiete pas je suis juste contente de te voir!" Puis, satisfaite, je reposais mes pieds a terre et allais dans la cuisine ou je m'apercus avec stupeur que je n'avais pas nettoyer le caffée que j'avais renverser par terre ce matin... Je pris l'éponge qui étais sur le rebords de l'évier de la cuisine et qui devais être le depuis que mon pere et moi avion emménager ici. .Je passais un coup rapide sur le sol puis pris un balais qui étais là, a mon plus grand bonheure et ramassais les bout de tasse qu'il restais. Puis je jetais un rapide coup d'oeil aux alentoures pour vérifier que tout étais en ordre.

Mon père arriva. Je pris les tartines que Cédric m'avais soigneseument préparer et partie dans ma chambre.

Il fallais que je réfléchisse. Maintenant que mon père étais là je me sentais en sécuriter et je pouvais réfléchire tranquillement pendant qu'il lisais son journal du Dimanche matin. 

 Ca faisais maintenant deux fois que j'entendais ce bruit assourdissant. Je ne savais pas dutout si il n'y avais que moi qui l'entendais ou si les autres l'entendais aussi puisse que a chaque fois que ca c'étais produit j'étais seul. Je ne savais pas ce que ce bruit signifiais non plus... Cela avait il un rapport quelquonque avec les apparitions de ma mère?

La premiere fois ce bruit c'étais trans er en un rêve étrange... Ou je me faisais tuer par un inconnus. Mais j'avais aussi entendus Rose. Je repensais a ce rêve quand soudain une idée me vint a l'espris. Je savais ce qui c'étais passer... Ce rêve étais un rêve ou non pas moi mais Rose ce faisais tuer... J'avais revecus ce que Rose avais vécus le jour ou elle avais été tuer... Cela expliquais pourquoi cette homme inconnus qui m'avais tuer m'avais appeler Rose... J'avais vus son visage mais je ne savais pas qui c'étais. Alors je me souvint de ce mot qui avais attéris comme par asare sur la table basse a mon reveil de ce terrible cauchemard...

Mon coeur s"accéléra... Je m'emparais du papier que j'avais fourré dans ma poche et le relut plusieur fois avent de me rendre a l'évidence. C'étais Frédéric, qui l'avais tuer.

Le rouge me monta aux joues. Je ne savais pas pourquoi mais j'étais sur que c'étais lui qui l'avais étoufer sous un coussin... Mais pourquoi? Tout ce que je savais de cette homme c'étais qu'il avais les cheveux noir, les yeux verre et qu'il avais l'aire d'être beaucoup plus âgé que ne l'avais été Rose avant sa mort.

Rose avais du aller a cette soirer, il l'avais emmener dans cette chambre, l'avais éttoufer, elle avais perdus conscience. Elle repensa alors a la cours de récréation. C'étais dans cette cours que elle et Rose jouaient si souvent au chat et a la sourie. Mais en quoi cela avais avoir avec sa disparition...

"-Carla " C'étais mon père. Il avais l'aire furieux. Avait l découvert ce qui c'étais passer avec Cédric?

Je décsendit les marche et me postais devant lui prête a recevoir sa colère. Bizzarement il ne me gronda pas. Au lieu de sa il me demanda de venir s'asoir sur ses genoux. Surprise, je m***cutais.

"-Carla... Je veut que tu m'explique ce qui ce passe." Mon soulagement fut telle que je poussais un soupir de satisfaction. Il n'avais pas découvert que Cédric avais dormis a mes cotés cette nuit.

"- Papa... Je vais parfaitement bien, crois moi... C'est seulement que... Je suis amoureuse..." C'étais la premiere fois que je parlais de ma vie sentimental a mon père. Je le vis virer au blanc puis reprendre peut a peut des couleurs. Puis il devint rouge pivoine.

"-Heu... Tu peut y aller..." Je savais qu'il n'allais pas tenir plus de deux minutes. Je lui fit un léger bisou sur le frond et repartie en trotinant dans ma chambre, satisfaite de ma ruse.

Je me préparais. Je décidais que j'allais rendre une petite visite a Frédéric. Je ne savais pas ou il habitais mais je voulais justement le découvrire. 

Je décidais tout d'abord de de me rendre la ou été prévus la soirer le soir du meurtre de Rose. 

Elle m'avais donner le point de rendez vous depuis son téléphone fixe et je me souvenais l'avoir noter sur un papier et l'avoir concensieusement ranger dans un des tirroir de mon bureau.

J'ouvrais le premier tirroir et fouillais son contenus sans y trouver la moindre trace du papier. Je fouillais dans le deuxieme puis le troisieme tirroir, mais toujour rien. Je m'assis sur la moquette de ma chambre et je réfléchissais. Ce n'étais pas il y a si longtemps que sa. Il devais bien être quelque par... Il étais déjà 22 heure et je n'avais toujour pa trouver ce précieux indice qui pourrais servir a trouver Frédéric. Je décidais de reporter cela a demain et que je méritais bien une bonne nuit de sommeil alors je me couchais. Je passais ma main sous mon oreiller. Je ne trouvais pas ma peluche... Je tirais lentement mon lit pour ne pas faire de bruit. Je regardais si je l'apercevais et mon oeuil fut attirer pas quelque chose qui étais coincer entre le pied de mon lit et le mur. Je le pris dans mes mains et m'aperçus avec joie qu'il s'agissais de ce que je cherchais! Demain c'étais Lundi et je retournais au lycée. Je décidais de passer une fois mes cours terminer. Je posais le petit mot bien a l'abris sur ma commode et m'endormis l'esprit tranquille.

Le lendemain je me réveillais en sueur... Cela fesais deux fois a présent que j'avais fait ce rêve ou Rose ce faisais tuée. Je me levais et m'emparais du mot, toujour sur ma commode. 

Il étais marquer: 25 HollzStreet. 

Je m'habillais et me préparais en vitesse et décidais même de me metre une petite touche de maquillage avant de partir. Sur le chemin, je croisais Cédric, en voiture. 

"-Hey! Carla! Monte! 

-Je ne savais pas que tu savais conduire!" J'ouvris la portière et m'installais dans ce vieux tas de ferraille qui sentais le rouiller. 

"-Alors, ca va?" Il me fit un bisou sur le frond.

Je n'en revenais pas c'étais comme si rien ne s'étais passer... Alors, je décidais de prendre les chose en mains. Je lui pris la tête et lui déposais un *** sur les levres. Alors, comme pour riposter, il me pris sur ses genoux et me fit un langoureux *** avant de me re déposer sur mon siege et de démarrer la voiture.

Nous arrivons un peut plus tard au collège. La journée ce passa comme prévut et je finit a quatre heure.

Je pris le papier dans ma poche et me mise en route. Je savais ou ce trouvais HollzStreet mon père ya avais travailler quand j'étais petite. Je ne tardais pas a trouver la boite de nuit imposante de cette rue.

"A nous deux Frédéric" me dis-je juste avant d'entrer dans la boite de nuit. Il n'y avais personne étant donner que nous étions en plein milieu de l'après midi. Le bar man lui étais toujour là et nettoyais des verre, sans doute pour ce soir. Mais plus je me rapprochais plus je sentais ma peur s'intensifier. Puis le barman me vis.

"-Hey! Tu fait quoi là! C'est pas ouvert avant ce soir et comment t'est passer?

-Et bien... Par le porte... Je suis désoler si je vous dérange mais je recherche quelqu'un qui est surement entrer dans ce bar il y a une ou deux semaines... Il s'appel Frédérique..." Il me regardais mais il ne disais rien, alors, je repris la parole.

 "-Je vous en pris c'est très important monsieur?"

-Je suis Frédéric... Que me voulez vous?" Mon coeur fit un bond dans ma poitrine. Je le regardais. Cela ne collais pas... Celui que j'avais vu ne lui ressemblais pas dutout. En même temps, je ne savais pas si c'étais le bon Frédéric... Il fallais que j'en ai le coeur nette. 

"-Connaissez vous... Rose... " Il ce figea. Il porta sa main a son frond.

"-Oui... Bien sur que je la connaissais..." Il eu un petit rire puis il ce remis a nettoyer son verre dans le plus grand silence. Je sentais mes larmes couler sur mes joues. Je les essuyais, génée et repris mes esprits.

"-Je... J'aurais besoin de savoir si elle étais avec vous le soir ou... 

-Ou elle a été tuer? Elle étais avec moi au début mais elle buvais beaucoup... Beaucoup trop... J'ai reffuser de lui en offrir une autre et elle est aller rejoindre un autre homme qui lui en proposais une. Après sa je ne l'ai plus revus... " Il ce sentais coupable... Il avais les larmes aux yeux mais il ne voulais pas craquer. J'avais envis de le prendre dans mes bras et de le réconforter. 

-Pourriez vous me dire avec qui elle est partie c'est important pour moi de savoir. Je vous en pris... Frédéric... C'étais mon amie... 

-Avec un  certain Marc Dasim, je crois... Un habituer... Il vient souvent prendre une biere ici. 

Je lui souriais. 

-Merci beaucoup... Frédéric."

Je tournais les talons et partie... Il étais a peine 16 heure 30 quand je sortie de la boite. J'avais prévenus mon père que je rentrerais a 17 heure. Il me restais donc 30 minutes a errer dans les rues de HollzStreet... Je décidais donc de partir a la recherche de ce Marc Dasim. Un inconnus.C'étais comme trouver une aiguille dans une botte de foin. Je m'arrêtais a l'épicerie a deux mètre plus loin. Il fallais que je trouve ce Marc... J'avencais lentement mais surement vers la caissiere et propriétaire de la boutique. Je mis mes deux mains sur la petite tablette en bois qui servais a y posé la caisse et autre petite chose inutile.

"-Bonjour" Me lanca elle. Elle me regardais avec des yeux de "merlan fri" ce qui ne m'étonna pas vu la maniere dont je m'étais présenter a elle.

"-Bonjour! Je cherche Marc Dasim s'il vous plaît. Est ce que vous le connaissez? 

 -Bien sur! Tout le monde connais ce brave homme! Il ha*** juste au dessus!" Ce brave homme? Je ne comprenais pas.

Le femme me conduisie dans les escalier un sourir au coins des levres.

"-Ecoutez, vous montez, la première porte est la porte de Marc. Je vous en pris!" Je montais les escalier ravis d'avoir toquée a la bonne porte. J'arrivais bientôt a la hauteur de la petite porte. Je regardais ma montre. Il étais 16 heure 40. Je n'avais plus de temps a perdre.

Je vis qu'il y avais une sonnete. Tant mieux cela m'éviterais de me fracasser le poing. Ding dong! Je sentit le sol trembler violement sous les pas de Marc. Puis les pas s'arrêtere. Ils résonnaient dans ma tête. Je regardais encors une fois ma montre et m'apeçus avec stupeur que je tremblais. Puis la porte s'ouvrit. Et je découvris enfin l'homme qui avais assaciner mon amie sans aucun scrupule. Il fallais que je me ressaisice. Mes jambes tremblais comme les cordes d'une guitard. 

C'étais lui. L'homme de mon cauchemard, sans doute un meurtrier ce tenais devant moi et me souriais chaleureusement comme si tout étais normal et qu'il ne s'étais rien passer. Soudain une envis de courrir me traversa l'esprit. Mon corps avais envis de fuir cette être malveillent. Je voulais, prendre mes jambes a mon cou, courrir dans les escaliers et me jeter dehors comme une hystérique en appelant "a l'aide!". Je voulais prendre mon portable et composer le numéro qui me sauverais sans doute la vie. Le 15, le 18... N'importe le quelle. Une petite voix dans ma tête me hurlais de décamper d'ici au plus vite! 

"-Entrez, ne restez pas là!" J'étais moins sur de moi maintenant. Entrer dans la maison d'un tueur.

"-Bonjour" E j'entrais. Je ne pouvais pas abendonnermaintenant que j'avais fait plus de la moitier du chemin.

"-Je suis Marc Dasim! Ravis de vous rencontrer! Q'est ce qui vous ammène ici?" Je réfléchissais. Il ne fallais pas dire n'importe quoi.

 "-Je suis Carla Nadin. Je... Je venais pour vous demandez si... Vous connaissiez... Rose.

"-Oui, je la connais, elle est partie avec moi un soir." 

 Je n'en pouvais plus... Je voulais lui dire ce que je pensais de lui...

"-Je... Je pense que vous..." Je n'eu pas le temps de finir ma phrase, une fenêtre éclata et des éclat de verre volère partout dans la pièce. Je cachais mon visage avec mes mains. Puis, sans que je n'ai rien demander ce même bruit me parvint aux oreilles. J'enfouie mon visage dans le canaper sur lequelle j'étais assise. Je levais les yeux vers Marc. Ses lèvres bougeais mais je n'entendais pas ce qu'il me disais. Puis il s'avenca vers moi, me pris par les épaule et me secoua violement. Je fermais les yeux et sentit mon corps lourd s'éffondrer sans que je n'essaye de le ratraper.

Je me retrouvais toujours dans cette cours. Je regardais mes mains. Et d'un coup je m'apercus que moi aussi j'avais huit ans. Je vit Rose ce diriger vers la sortie de l'école. Je me souvient... Comme me mère travaillais tard c'étais mon père qui venais me chercher mais je devais rester plus longtemps que les autres élèves...

Rose, me fit un geste de la main. Sans pouvoir controler mon corps ma main droite ce souleva et fit de même. Je voulais crier mais je n'y arrivais pas. Je regardais a travers la grille ou allais Rose. C'est là que je le vit... Il devais avoir entre 18 et 20 ans et il acceuillais Rose a bras ouvert. C'étais lui... C'étais Marc. Mais que faisait il là et avec Rose? Rose lui sauta dans les bras. Elle avais l'air si heureuse. Soudain Mon corps ce dirigea encors une fois vers cette porte et je me retrouvais encors une fois dans cette chambre. Seulement Marc étais déjà là et Rose étais étendus sur le lit, sans vie. Je le fixais. Qu'allait il me faire.

"-A ton tour maintenant" Il s'approchais dangereusement de moi. C'est a ce moment la que je me reveillais. J'étais dans l'ambulance. Il fesais nuit car je voyais les réverbere ce refleter sur la vitre de l'ambulance. A coté de moi il y avais Cédric et mon père.  Ils discutaient mais je n'entendais pas de quoi. J'appelais.

"-Cédric!!" Mais aucun son ne sortais. Alors pa*** je me mise a hurler.

"-Cédric!!!!!! Papa!!!! Papa!!!!!! Papa!!!!!!! " Ils étaient autour de moi maintenant. Visiblement eux m'entendais très bien. Je fut soulager mais eux n'arrêtaient pas de tourner autour de moi comme des lion s'appretant a me dévorer. Je n'entendais plus ma voix... Pourquoi? Comment c'étais possible! Je fermais les yeux. J'e sentit une main sur mon frond. J'ouvrais les yeux. J'étais dans la cour de récréation mais cette fois Rose était a cotée de moi et elle me regardais. Je voyais ce refléter l'inquietude dans son visage d'enfant. Alors elle me parla:

"-Carla... C'est très bête ce que tu a fait..." Je ne comprenais pas de quoi elle voulais parler.

"-De quoi tu me parle?" Ma voix ressemblais a celle de ma petite cousine de 6 ans et demis.

"-Carla... Il ne fallais pas y retourner... Il est méchant... C'est un vilain garçon..."

-Pourquoi est ce que nous somme des enfant?

-Je ne le sais pas... C'est surement parce que en mourant je voulais garder l'image que j'avais de lui a cette âge... Il était tellement gentil..."

Je comprenais maintenant pourquoi dans mon rêve j'attérissais dans cette cours de récréation... C'étais en faite l'un de mes plus lointain souvenir. C'étais celui ou Rose partais avec Marc... Le souvenir que Rose voulais préserver de Marc. Cette époque ou elle le voyais comme son ami.

"- Rose, que c'est il passer?" Elle me regarda avec des yeux sangilonant. 

 "-Sa a commencer il y a bien longtemps en fait..." Je voulais qu'elle m'en dise plus.

"-Comment sa?

-Marc étais un des plus grand ami a mon père... Il venais souvent me chercher a la fin de l'école... Il étais très gentil avec moi." Son visage s'assombris.

"-Puis... Il a commencer a faire des chose très bizzard..." Je compris tout de suite... Marc la violais alors qu'elle n'étais qu'un enfant et qu'elle étais innocente. 

"-Et je l'ai dit a mon père. Il s'est mis très en colère... Et il a dit a Marc qu'il ne voulais plus jamais le revoir et que si il touchais encors une fois a un de mes cheveux, il le dénomcais a la police. Je ne l'avais plus revut depuis le jour ou il m'a tuée..." Des larmes coulais le long de ses joues.

"-Il m'a dit qu'il voulais bien m'offrir un verre et ensuite il m'a emmener dans son appartement et je ne me souvient plus de ce qui s'est passer ensuite..." Des torrents de larmes jaissais de ses yeux, elle n'arrivais plus a s'arrêter. Je m'approchais et la serrais dans mes bras en me disant que ce serais peut-être la derniere fois... Ses larmes trempais mon tee-shirt. Puis, soudain je sentit quelque chose m'aspirer. Non, je ne voulais pas encors partir... Je voulais parler avec Rose. Lui avouer que j'étais amoureuse que elle me manquais... J'avais tellement de chose a lui raconter. Je m'accrochais de toute mes force a Rose.

"-Rose!! Je t'aime!!!" J'eu tout juste le temps de lui dire ces deux mots que je fut emporter. 

Je me reveillais en susaut. J'étais encors dans l'ambulance. 

Cédric me tenais la main sous les yeux de mon père. La pa*** s'empara de moi et je regardais Cédric avec des yeux interrogateur. Il pleurais. Je fit glisser mon regard vers mon père qui pleurais aussi. 

"-Cédric... Que s'est il passer?" Il cligna des yeux et me pris dans ses bras. Je ne comprenais pas... Je le repoussais violement et le regardais droit dans les yeux. 

"-Cédric!" Mon père pris alors la parole.

"-Ma puce... Il a bien faillis te tué... Il... T'a... Violé... Cédric est arriver juste a temps." Je ne pouvais pas le croire.. Il ne m'avais pas violé ce n'étais pas possible... J'avais envis de hurler mais mon cri restais figer dans ma gorge... Je me contentais d'ouvrir et de refermer la bouche. Mon père s'étais assis et avais mis sa tête entre ses mains... 

Cédric lui ne disais rien, il continuais de me serrer dans ses bras. 

"-Cédric... Il a tué Rose..." Et je fondit en larmes. Je hurlais de toute mes force. Jusqu'a l'épuisement. 

Après cette incident Marc fut arrêter pour viol et tentative de meurtre et avoua avoir tué Rose. Il fit mis en prison.

Je ne me remis pas complètement de mon viol. Mes amis vinrent me voir fréquement dans l'hôpital psyciatrique ou j'avais été transférée après ma crise d'hystérie. Cédric restais avec moi jour et nuits et veillais sur moi sur un mari veillerais sur sa femme. Puis un beau jour après une semaine dans cette hôpital entourer de psycologue qui n'arrêtais pas de me poser des questions stupides, je pus enfin sortir. Les premier jour mon père décidais de ne pas m'envoyer au lycée. Pour "ne pas te faire un choque" m'expliqua il plus tard. Depuis que l'on avais arrêter Marc, je ne fit plus aucun rêve de Rose. C'étais comme si... Maintenant elle reposais en paix... Je n'eu plus non plus de visites imprévus de ma mère. Ce bruit assourdissant dans ma tête disparut ainsi que tout les evenement bizzard qui allaient avec.

1 mois plus tard 

 

Amandine et moi allions au cinéma. Les autre n'avais pas pus nous accompagner... J'avais parler de ce qui m'étais arriver a Amandine et depuis c'étais comme si un lien c'étais tisser entre nous et nous étions désormais inseparable... Nous allions voir un film d'épouvante, "La dame en noir". C'étais une premiere pour moi. Sur le chemins un monsieur me demanda gentilement:

"-Quelle jour somme nous mademoiselle s'il vous plaît?" Je levais le regard vers Amandine. 

"-Amandine, tu pourrais me dire quelle jour somme nous aujourd'hui?

-Bien sur mais pourquoi?" Je montrais du doit le monsieur qui ce tenais devant nous. Elle regarda au alentour mais ne vis pas le monsieur alors je lui tournais la tête en direction de l'homme. Elle fixait un point qui n'existais pas. 

"-Heu... Carla... Il n'y a personne ici..." Bien sur qu'il y avais quelqu'un... Je le regardais en ce moment même... Il avais les cheveux roux et des taches de rousseur sur toute la surface de son visage angélique. En y réfléchissent bien, il devais avoir a peu près le même âge que nous...

Je me tournais pour lancer un regard inquiet a Amandine qui ne comprenais pas bien ce qui m'arrivais. "-Carla,je ne comprend rien a ton truc, explique moi ce qui ce passe!" Malheuresement je ne comprenais pas plus qu'elle...

 C'est la fin du tome 1 de Confusion

A suivre, le tome 2!!

 

                          Confusion (tome 2)

 

Je décidais d'annuler la séance de cinéma pour aller parler fantôme avec Amandine. Au bout d'un moment elle ne m'écoutais plus. Ses yeux regardais dans le vide et son visage était dénuer de toute expresion.

"-Tu a ... Vu un fantôme? Mais..." Je lui avais déjà parler des evenement bizzard qui avaient fait de ma vie un cauchemard mais je ne lui avais jamais parler de la certitude que j'avais de pouvoir voir ou entrer en contact avec des gens venus de l'haut de là.. Mon dons assez particulier. Elle ne voulais plus rien entendre. Je comencais de regretter de lui avoir avouer si vite. Peut-être qu'elle allais me prendre pour une folle et partir en courant chez elle, avertir ses parents qu'il fallais que je retourne dans mon asile... Je sentit les larmes me monter aux yeux.

"-Tu ne me crois pas?" Je n'avais avouer mon secret qu'a elle et a personne d'autre depuis que j'avais découvert ce don mistèrieux.

"-Si, bien sur que je te crois chérie mais... Pourquoi ne m'en a tu pas parler avant?" Je ravalais mes larmes et déglutissais péniblement. Je voulais lui répondre mais je ne pouvais plus parler... J'avais peur de sa réaction. J'aurais tant aimer retourner dans le passer et recommencer les choses autrement... Mais c'étais trop tard a présent... On ne pouvais plus revenir en arrière.... Je me levais et me dirigeais vers le frigo. J'y pris deux canettes de coca et les posais sur la table en face de nous. J'en pris une gorger:

"-Je ne sais pas... Tu sais, j'avais envis d'oublier... De vivre une vie normal pour une fois...

-Ok... Et... Tu l'a dit a quelqu'un d'autre que moi ou...

-Non. Tu est la seul... Je n'en ai même pas parler a Cédric...

-Et... Alors... C'étais qui ce mec toute a l'heure dans la rue? Celui qui te demandais l'heure? Ses yeux étais exor***r d'exitation et de curiositer. 

"-Et ben, a vrais dire je n'en ai pas la moindre idée!" Je repris une gorger de coca et repris

"-Tous ce que je sais c'est que il étais grand, roux, son visage étais parsemer de tache de rousseur... Il avais les yeux vert et il avais une drôle de tenus... 

-Une drôle de tenus? Charmant...

- Amandine, tu est sans doutes en train de parler d'un fantôme là!!" Elle soupira.

"-Ho... C'est bon..." J'éclatais de rire. D'avoir révéler mon secret a quelqu'un qui voulais bien me croire me faisais un poid en moins sur la concsience...

Quelqu'un toqua a la porte.

Amandine me lança un regard interrogateur. Puis elle ce remis a rire. 

Je me levais avec difficulter. J'avais des fourmis dans les jambes... Je marchais en direction de la porte.

J'ouvrit en grand. Je regardais a l'exterieur et mon souffle s'accéléra. Je refermais la porte et verrouillais toute les fenêtres. Amandine finit par m'atrapper par le poignet.

"-Carla! Qu'est ce qu'il y a? Répond Carla!" Je ne pouvais plus parler. Je la fixais droit dans les yeux malgré moi ne pouvant ni faire un geste, ni parler... Je restais devant elle dans mon état de béatitude. Elle me donna une petite tape sur la joue pour me faire reprendre vie,puis voyant que s'a n'avais pas marcher elle s'élanca vers la porte et l'ouvrie. 

"-Carla.. Il n'y a personne..." Puis, la pa*** pris place. 

"-Ferme cette porte!!!! Amandine!!!!!!!!" Elle referma la porte sans comprendre. Je m'emparais du téléphone et composais le numéro de la police. Amandine me pris le bras en essayant de me raisonner. 

"-Allo?

-Allo? Je... Ou... Est..." Mes sanglots couvrais ma voix sans que je ne puisse les arrêter.

-Mademoiselle?

-Je... Marc...Dasim... Je vous en pris... Ou est il?" Pas de réponse. J'attendit. Cinq longue minutes s'écoulère, puis

"-Mademoiselle? Etes vous toujours là? Marc Dasim, est mort ce matin en cellule... Je suis vraiment désoler..."

Je racrochais... Non, ce n'étais pas possible... Je courrais jusqu'a la porte d'entrer. 

"-Il... étais là... Je l'ai vu..." Amandine me pris dans ses bras doux et me berça doucement.  Puis elle me raconpagna jusqu'au canapé du salon. Je commecais a me calmer.

"-Est... Carla... Tu te rend compt que tu a appeller la police? Qu'est ce qui c'est passer, je comprend plus rien... Sa a un rapport avec le fantôme de tout a l'heure? C'est lui ce Marc Dasim dont tu a parler? Et alors qu'est ce que t'a vu devant la porte tout a l'heure pour que sa te mette dans un état pareil? " Ses question fusais dans ma tête.

"-Je... Je vais tout t'expliquer...

-J'espere bien!" Elle croisa ses bras sur sa poitrine et attendit.

"-Ok... Il y a a peu près 1 mois, j'ai perdu ma meilleure amie. Elle s'appellais Rose... Elle étais dans le même établissement scolaire que nous, tu l'a peut être déjà rencontrer?

-Jamais... Tu l'a perdu dit tu?

-Oui... Elle a été assaciner par Marc Dasim. Marc Dasim étais un grand ami de son père et quand elle étais petite elle le considérais comme son meilleur ami. Il la racompagnais souvent chez elle mais un jour il l'a violé et son père l'a menacer de le dénomcer a la police si osais approcher encors une fois Rose." Amandine avais l'air bouleverser. Elle ce repris

"-Je ne vois pas quelle est le rapport avec toi!

-Et bien un soir ou elle allais a une soirer elle le croisa... Et il l'emmena dans sa chambre la viola puis l'étouffa sous un oreiller. Je fit plusieur rêve étranges sur la mort de Rose, que je ne compris pas tout de suite, mais au fur et a mesure du temps je finit par comprendre que c'étais Rose qui voulais que je retrouve son assasin et qui me  faisais parvenir ses désir par des rêve... J'ai chercher son assasin en m'aidant des rêves et finit par le retrouver..."Mes larmes avais recommencer a couler sur mon visage.

"-Il m'a violé puis a essayer de me tuer moi aussi... Mais Cédric est arriver a temps pour l'en empêcher... Et il a avouer avoir tué Rose... Il a été mis en prison peu de temps après sa déclaration... Il étais devant la porte...Je l'ai vu... Son fantôme...Il est mort ce matin en prison!"

Le peu de mascara que j'avais mis étais étalé sur mes joues. Amandine me regardais apeurer. 

"-Tu... A été violer par ce mec? Mais pourquoi tu m'en a jamais parler? On avais dit plus de secret entre nous et... Mais bon... Tu a encors quelque chose a me révéler de ta vie mouvementée ou..." Elle me lancais un sourir réconfortant.

"-Non... C'est tout... Je te promet de tout te dire maintenant..."

Elle me serra dans ses bras encore une fois. Nous avons parler toute la journée. Amandine essayais de me faire oublier ce qui c'étais passer ce matin. Elle me parlais de garçons "trop mignon" me disait elle mais moi je n'avais pas la tête a ca... Elle finit par partir. Dès qu'elle passais le seuil de la porte je me précipitais sur mon téléphone.

"-Allo? Cédric? J'ai... Besoin de te parler... C'est important..." Il arriva. Je l'embrassais. Un *** long et langoureux... Puis je le fit assoir sur le canaper. Je lui expliquais tout dans les moindre détails. Tous ce qu'il ne savais pas déjà sur moi. 

"-Voilà... Tu sais tout..." Il ce leva travesa la piece et partis. Cette nuit là je me disais que il m'avais surement prise pour une folle et qu'il ne m'adresserais peut-être plus la parole. J'en eu un haut le coeur. Rien que de penser a l'idée que j'étais différente me donnais des frissons. J'avais envis de pleurer. J'avais envis de me réfugier dans un troue de souris et ne plus jamais en sortir J'avais honte, honte de ce don qui me pourissais la vie. Je m'endormais, triste. Le week end était terminer et j'allais devoir affronter le jugement sévere de Cédric. Je m'étais préparer moralement a ce qu'il me quitte en vosiférant "sorcière"! Je m'habillais comme d'habitude, mais cette fois ci je décidais de faire un effort au cas ou cela influencerais les critiques de Cédric. Mon moral était au plus bas.Les larmes perlère puis coulère recouvrant mes joues et ce qui me restais d'espoir...

Je fit le chemins avec mon père qui me demanda a minte reprise pourquoi est ce que je pleurais. 

Je ne voulais pas lui répondre. J'avais déjà fait assez de dégat et je ne voulais pas que mon père me prenne pour une sorcière lui aussi... Je l'embrassais sur la joue  et partit vers la grille du lycée. Mon stress augmentais au fure et a mesure que je m'approchais de Cédric. Il arriva vers moi. Je retenus mon souffle jusqu'a ce qu'il me prenne dans ses bras. Le rouge me monta au joues. Je ne m'attendais pas a tant d'entousiamsme de sa part. Il m'embrassa l'air de rien. Je le repoussais

"-Cédric... Je... Hier..." Il posa un doit sur mes levres gercer. 

"-Chut mon ange..." Puis il m'embrassa de nouveau. Je ne comprenais pas sa réaction mais étais soulager. Peut-être avait il simplement oublié. 

La journée ce passa. Le soir je sortie. J'avais besoin de réfléchir. Cédric n'avait pas une seul fois fait illusion a ce qui c'étais passer hier et il n'avait pas l'air de me trouver repoussante. Je souriais en reppenssant au *** de ce matin. Je sentit une main ce poser sur mon épaule. Je me retournais avec sureter. 

"-Bonjour !" C'étais le même garçon roux que le jour du cinéma. Il n'avais pas l'air de me vouloir du mal alors je lui répondais comme si de rien n'étais.

"-Bonjour!

-Vous ne m'avez toujours pas donner le jour que l'on étais!" Je le regardais attentivement, ne sachant pas quoi répondre. Puis une idée me vint a l'esprit. 

"-Allez la demandez a quelqu'un d'autre! Je n'en vraiment aucune idée... Désoler. Mais regardez" Je pointais du doit une femme coquette qui marchais librement dans la rue, sans ce préoccuper des dizaines de voitures qui passais a coté d'elle. 

"-Allez lui demander! Je suis certaine qu'elle vous répondra." Il regarda la femme et décidais enfin d'aller ce présenter a elle. Il lui parlais mais la femme l'ignorais conplètement et continuais a avencer en faisant balencer ses bras d'avant en arrière. Elle***cuta une petite pirouète puis ce remis a marcher normalement. Le garçon revint me voir, tout penaud. 

"-J'ai jamais été très fort au près des femme..." Je souriais mais une penser me tourmentais. Avait il consciense qu'il étais mort? Moi j'en avais maintenant la certitude. 

"-Je... He... Comment dire... Vous ne pouvez pas leurs parler..." Il me dévisaga, fronca les sourcils. Je sentais sa colère vibrer a l'interieur de lui même. J'aurai parier qu'il aurais tout détruit autour de lui si il en avais eu la possibiliter. Au lieu de ça, il disparus. Je ne lui avais même pas demander son prénom. Alors, déçus, je repris mes esprits et continuais ma route en regardant le sol bétonné et recouvert d'une multitude de vieux déchets... Je repensais a toute cette colère qui avais émaner de lui lorsque je lui avais dit que personne ne pouvais le voir. J'arrivais devant la porte de ma maison, les larmes aux yeux. Je décidais de passer un coup de fil a Amandine pour lui expliquer ce qui c'étais passer. Je composais le numéros silencieusement, en ne pensant a rien d'autre que sa petite voix fluète. Mais je ne pus parler qu'a son répondeur. J'hésitais a lui laisser un message et finallement, je racrochais.

"-Et flûte alors..." Je ne pouvais parler qu'a elle de cette aventure avec ce fantôme... Je repensais alors a Cédric. Je pris le téléphone entre mes mains moites, puis me ravisa. Non... Je ne voulais pas risquer de le perdre encors une fois. Je doutais de sa fiabiliter. Alors je montais dans ma chambre, m'assise sur mon lit. Je fouillais dans mon tirroir a la recherche de mon téléphone portable et je tombais pas hasard sur un petit carnet doré. Je m'en emparait et le feuilletais a la recherche d'une note quelquonque. Il n'y avais rien marquer. Sur la couverture étais inscrit "ton journal". Alors pour la premiere fois je me mis a écrire. Tous ce qui me passais pas la tête. Ce matin avec Cédric; cette entretien étrange avec un fantôme... Finallement, quand je n'eu plus rien a y noter, je posais soigneusement le petit carnet dans le tirroir ou je l'y avais trouver et me mis sous ma couverture en attendant que le sommeil ne m'emporte. Je me reveillais le lendemain. Il étais a peine 4 heure 30... Quelle jour étion nous? Je n'en avais pas la moindre idée et la simple idée que de me lever pour aller chercher mon portable et finalement voir que j'avais lycée aujourd'hui me répugnais... Mais je du bien m'y résigner. J'ouvrit un de mes tirroir et découvrit le journal dans le quelle j'avais écris toutes mes penser les plus intime hier. Je le reposais avec sureter et fouillais a la recherche de mon portable. Je le trouvais enfin. Il étais maintenant 5 heure. Nous étions Mercredi. Conclusion: Je devais allez au lycée aujourd'hui. Il me restais néanmoin 1 heure avant de me lever pour me faire belle. Je pensais a Cédric puis m'endormais paisiblement. Je me reveillais dans un endrois qui m'étais familier. J'essayais de me rapeler. J'avais déjà été dans cette piece il n'y a pas si longtemps. Ce n'est seulement quand Marc Dasim arriva que je me rendis conte que j'étais dans son apartement. Il tenais un oreiller dans ses mains et s'approchais dangeureusement de moi. Je me levais et courais alors a travers la piece en hurlant de toute mes forces. Puis soudain je fut arrêter. Je ne pouvais plus crier! Je sentais mes forces me quitter. Je n'avais plus d'air! De l'air! Il me fallais de l'air!! Et vite!! Je tombais part terre. Ce n'étais pas possible. J'étouffais... Ma sueur gouttais par terre. Je sentais que bientôt je ne pourrais plus faire de geste. Je serais étendus sur le sol, sans vie... Cédric, papa, Amandine... Qu'est ce qui leur arriverais après ma mort. J'entendais mon coeur battre dans mes mes oreilles. J'essayais d'atteindre mon portable dans la poche droite de mon jean mais mes membre étais paralyser. Alors, a bout de force, j'abendonnais...

J'ouvris les yeux. Je me levais et vérifiais que je pouvais bien me servir de mes poumons. Je prennais le temps de les gonfler d'air. Je retombais sur mon lit, soulager mais apeurer par ce qui venais de ce passer.    La sueur perlais sur mon frond. Je me levais d'un bont. Je marchais sur quelque chose de pointus. Je hurlais de douleur, soulevais mon pied en prenant soin de ne pas l'écraser de nouveau. Je pris la petite chose dans mes main. Tien, une poupée russe... Qu'est ce que cette objet faisais là? Je le reposais sur mon étagère et pris conscience que... J'avais mal! Je courus jusqu'a dans la salle de bain ou je fit rapidement couler de l'eau froide dans la baignoir et je m'empressais d'y mettre mon pied. Je restais comme ça a fixé mon reflet dans l'eau de mon bain et a m'amuser avec ce qui me servais de collier. Je retirais enfin les pieds, les sechais en prenant soin de ne pas approcher la serviette de ma petite égratinure. Je mis un pansement puis le retirais en me disant que j'étais bien ridicule de mettre un pansement pour cette coupure. Je me dirigeais vers l'armoir de ma chambre a cloche pied. Je pris les premier vêtement qui me passais par la main. J'optais donc pour un jean et un pull a col rouler noir. Je n'avais jamais été très doué quand il s'agissais de mode. J'enfilais mes chaussures d'une traite et ne pus retenir un petit cris persant au contact entre la semelle de ma chaussure et ma blessure. Je pris mon sac et partie a pieds. J'avais besoin de réfléchir et le trajet en voiture en compagnie de mon père n'étais pas la meilleure solution pour faire travailler mon esprit. Ma coupure me faisais affreusement mal mais je souffrais en silence et continuais d'avancer en me mordillant le bout du doit. Soudain quelqu'un me tapa l'épaule. Je le savais. Je savais qu'il allais apparaître! Comme a chaque fois que je faisais mon trajet a pieds cette homme m'interpellais. Je me retournais:

"-Est ce que je peut savoir ce que tu..." C'étais Cédric! Il ce tenais devant moi bras croiser sur le torse et affichais une mine de demeurer. 

"-J'étais... En train de répèter une... pièce! Pour le théàtre! Oui, je fais du théàtre depuis peu et... J'ai décrocher le rôle principal!" Il me fit un petit sourir.

"-Tu est trop nul... Tu ne sais pas mentir!" Il rigola et je gémissais.

"-Quoi? Qu'est ce qu'il y a Carla? Sa ne va pas?

-Si, ce matin je me suis fait mal en dessous du pied et... Enfin...

-Tu a mal c'est ca?" Je hochais la tête. Alors sans que je ne vis rien venir il me pris par les hanches et m'installa sur ses épaules. Je hurlais pendant quelque minute avant de m'apercevoir que j'étais assise sur ses épaules. Je rougit. Il était vraiment très fort! Il m'avais soulever comme j'aurais pus soulever une plume! Je m'accrochais de toutes mes forces a ses cheveux pour ne pas basculer en arrière comme un pantin désarticuler.

"-Repose moi immédiatement Cédric!

-Mais, mon amour, tu a mal au pied et je n'aime pas te voir soufrir." Je ne répondit rien et me contentais de rester concentrer sur mon principal objectif, ne pas tomber! Nous arrivâmes enfin au lycée et Cédric fut obliger de me reposer sur la terre ferme.

Je soupirais... Ouf... J'embrassais Cédric. Un *** chaud et tendre qui m'envoyais au 7e ciel et que je lui rendis, ravie.  

"-On ce retrouve a midi alors? 

-C'est d'acore mon amour! A toute a l'heure!" Puis il tourna les talons et parti en courant vers le rang de sa classe. Je le retrouvais a midi. Des expliquation s'imposais et j'étais bien décider a lui parler. Pourquoi faisait il semblant d'ignorer ce que je lui avais expliquer il y a maintenant 2 jour de celà? 

"-Hey! Carla! Vien!" Je le rejoignais en vitesse et me postais devant lui, droite comme un piquet. 

"-Mon amour, ca ne te dérange pas si on manges avec des amis a moi?" Je le regardais. J'avais envis de lui dire que effectivement je voulais lui parler en priver mais je m'étais comme dirais ma mère "dégonfler".

"-C'est d'acore! Tu me présente?

-Très bien! Alors Carla voilà Natan!" Ilme montra du doit un grand blond aux yeux bleu. Il avais l'air gentil! J'avais entendus par Amandine qu'il avais beaucoup de succès avec la plus part des filles de cette établissement. Il me fit un signe de la main que je lui rendit avec un sourir forcer.

 "-Et lui c'est Agostino!" Un garçon brun s'approcha de moi pour me faire la bize. Il avais les yeux verts et les cheveux boucler qui partais dans tout les sens. Son prénom m'avais laissez penser que s'étais surement un Italien.

"-Et enfin, Mario, son frère!" C'étais la copie con e de Agostino avec les cheveux d'un noir intence. Il s'approcha lui aussi et me fit la bize. Je rougit. Je n'avais jamais eu beaucoup de succès avec les garçons et me voilà entourer de 4 hommes.

Nous mangâmes ensemble en parlent surtout de moi. Il me demandais mon âge, quand est ce que j'étais née et tout le toutim...

Dès que j'eu terminer je les laissais entre garçons et me dirigeais droit vers les casier récupéré mon sac quand on me pris le poignet. C'étais Mario.

"-Carla... Je pourrais avoir ton numéro de portable s'il te plâît?" Je le lui donnais, géner puis rejoint Amandine.

"-Hey! Carla! C'est qui ce beau mec qui te cours après?" Je lui tapais l'épaule.

"-N'importe quoi! Il ne me cours pas après il voulais seulement mon numéro!

 -Tu est rouge comme une tomate Carla!"

Je finit mes cours et sortie du collège avec hate. Mario était derrière moi et tout mes sens étaient en éveil. Que me voulait il? Je me retournais et me forcais a sourir comme si de rien n'étais. Mes mains commencais a trembler alors je les fourrais dans les poches de mon jean. 

"-Carla! Tient, quelle surprise de te voir! Et bien, on dirais bien qu'on emprunte le même chemin bébé!" Ce mot était de trop. "Bébé".

"-Je ne suis pas ton bébé Mario!" lui dit-je avec un tremblement dans la voix.

"-Ho... C'était une plaisenterie! Oui, je sais que tu appartient a Cédric!" Il c'était trop approcher de moi et ses lèvres n'étais plus qu'a un centimètre des miennes.Je voulais reculer mais le mur qui me suivais depuis mon entrer dans la rue m'en empêchais. Il posa sa main moite sur ma hanche et pressa ses lèvres gercer contre les miennes. Non! Je ne voulais pas! Jele repousais violement si bien qu'il faillis tomber a terre. Je me mise alors a courir mais il m'avais ratraper avant que je n'ai pus m'échaper.

"-Hey! Doucement bébé! Pourquoi tu t'enfuis comme ca? Ca va pas?" Il me fit un croche pâte et en deux minutes j'étais allonger sur le sol froid et humide de cette rue déserte. Puis il m'embrassa de nouveau. Son poid m'écrasais sous lui et je ne pouvais faire aucun mouvement. Alors il sorti un objet brillant. C'étais un rasoir! Prise de pa*** je hurais de toute mes forces! Mais ma voix s'enraillais et bientôt plus aucun son ne sortir de ma gorge. Il me mis sa main sur ma bouche.

"-Si tu tente quoi que ce soit, tu voie ce rasoir, et bien je serais obliger de m'en servir..." Je le regardais, les yeux exor***r de peur et d'inpussance face a cette situation. Il souleva mon tee-shirt, me grifant avec ses ongles tout en continuant de me menacer avec son arme. Soudain, quelque chose le souleva de terre et le progetais contre le mur. Je ne pouvais pas apercevoir son visage. Je ne pouvais distinguer que son ombre. Tout ce que je voyais étais ses cheveux... Roux? 

Quoi? Je ne comprenais pas. Je ne voulais pas penser a l'option qui ce présentais a moi et la possibiliter que ce soit un fantôme qui m'avais sortie de ce pétrin! Puis, d'un coup, plus rien. Juste le bruit du vent qui s'engoufrais dans le tunnel et le tintement des gouttes qui tombais sur le sol. Je me relevais et remis mon tee-shirt en place. 

"-Mario?" Je savais pertinement que c'étais inconscient de ma par d'appeler celui qui avais bien faillis me violer mais c'étais plus fort que moi et je braillais dans la rue comme une singler jusqu'a ce que je vois quelqu'un ce relever a 2 metre de moi alors je décidais qu'il étais tent que je prenne mes jambes a mon coup. Je courais.J'arrivais chez moi, le nez boucher et le coeur qui battais la chamade. Je verrouillais la porte et montais en courant dans ma chambre. Je pris mon portable les mains tremblante et tombais a genoux. J'avais besoin d'aide. De quelqu'un qui me rassure. Je tapais un numéro, n'importe le quelle et je tombais sur une inconnus.

"-Je me... Suis faite agresser!!" Elle ne répondit rien puis finalement elle parla.

"-Restez calme, tout va bien ce passer. Comment vous appelez vous?" Sa voix m'avais réconforter et je racrochais. Puis j'appelais Cédric. Il fallais que je le prévienne que son ami était dangeureux. Qu'il avait voulut me faire du mal. 

"-Allo? Cédric?

-Oui mon ange?" Alors je laissais libre cour a mes larmes.

"-Carla? Que ce passe t'il? Explique moi?" Je resentais la pa*** dans sa voix.

"-Mario... A voulut... me... violé..." Je n'arrivais plus a parler et chaque mot que je prononcais me faisais l'effet d'une bombe.

"-Je... Carla. Est ce qu'il t'a fait mal? Si il t'a fait mal je ne sais pas ce que je ferais mais..." Un petit bruit sourd s'échappa de sa gorge. Est ce qu'il avais grogner? 

"-Non... Enfin... Il m'a seulement fait peur...

-Carla? Tu est toujour là? J'arrive mon amour, je viens tout de suite! D'acore?

-Non! Je voudrais rester un peu seul... Désoler..." Ma voix s'enrailla et j'eu un raté. Je racrochais. Ce pouvais il que ce sois ce fantôme qui m'est finallement sauver la vie?

"-Et oui c'est moi!" Je fut pris d'un violent frisson et me retournais avec colère. Je me trouvais a quelque centimètre a peine de ce garçon roux dont je ne savais toujours pas le prénom. Je voulut reculer pour éloigner ma bouche de la sienne et je tombais du canaper. Je me retrouvais donc par terre sur les fesses et un horrible mal de dos en prime. Je me relevais en prenant pleinement apuis sur mes jambe flagolante. Un rire ce fit entendre de ma chambre.

 "-Quoi? Tu arrive a lire dans les penser des gens maintenant?

-Oui! C'est tout nouveau pour moi! Je trouve cela très amusant pas vous?" Ces mots relevais de l'insolence et je ne deignais pas répondre.

"-Comment vous vous appelez?

-Moi? Et bien en fait cela fait bien longtemps que j'ai oublier mon prénom! Mais je me souvient encors que tout le monde m'appelais "luciole" mais je ne sais pas pourquoi non plus!

-Depuis combien de temps est tu...

-Mort? Vous pouvez le dire vous savez? Excusez moi pour la derniere fois, je me suis emporter! Mais bon, revenons nous a nos oignon, même si il n'y a aucun oignon dans cette pièce bien entendus, mais bon revenons nous a ce que vous disiez il y a deux minutes c'est ce que sa veut dire! Ma mère me disais tout le temps...

-S'il vous plaît!

-En 1802! Je suis mort en 1802 mais ne me demandez pas le jour précis de ma mort car je ne pourrais pas vous répondre, vous savez sa fait un bon bout de temps maintenant et je commence vraiment a perdre la notion du temps! Quand on est un...

 -Et comment êtes vous mort?" Il me fixa pendant une trentaine de second et finit par me répondre.

"-Dans un incendis. Mes parents l'on provoquer et m'on tuer." Je ne comprenais pas. Ses parents l'avait il tué? Non...

"-Si, mes parents m'on tué...

-Vous n'en avez pas marre de lire dans mes penser?!"Il me lança un regard plein de haine qui me provoqua un frisson dans le dos.

"-Ils ont déclancher l'incendit alors que j'étais a l'interieur et on prétendus a un accident. Ils voulaient ce débarasser de moi depuis longtemps...

-C'est horrible!

-Je le sais." Son visage était tourner vers le carrelage du salon puis il ce redressais et il me sembla voir une lueur de moquerie dans son visage.

"-Vous y avez vraiment crus?" Je mis un peu de temps avant de comprendre qu'il m'avais fait une de ses blague stupides.

"-Comment êtes vous mort? Vraiment?" Il avais disparus. "Luciole" avais disparus. Je clignais des yeux et me levais. J'avais des fourmies dans les jambes alors je me mise a courir sur place comme une idiote. Mon père arriva un peu en avence ce jour là ce qui me permit de lui raconter ce qui c'étais passer. Il voulut appeler mon établissement pour les avertir de cette agression et exiger des sanctions sévere mais je le retenais et lui promis que si il réesayais a nouveau il pourrais en parler. J'ajoutais aussi qu'il ne m'avais finallement rien fait sans préciser pourquoi ou comment. Je montais dans ma chambre après le dinner et me laissais tomber sur mon lit.

"-Carla..." Je me retournais le coeur battant a 100 a l'heure. Personne. Je soulevais ma couverture et enfouie ma tête a l'interieur.

"-Carla" J'enlevais la couverture de sur ma tête et balayais ma chambre du regard avec le sentiment que j'étais observer. Puis je posais mon regard sur mon tapis en pilou et remarquais avec stupeur la petite poupée Russe sur la quelle j'avais marcher ce matin et que j'avais de toute évidence placée sur ma commode ce matin. Je me levais,pris le petit object diabolique entre mes doit maladroit et le reposais sur mon bureau parmit les livres et cahier qui trainais un peu partout. Depuis que me mère n'étais plus là plus personne ne rangais ma chambre. C'est peu être ridicule mais je ne savais toujour pas ranger ma chambre seul... Je me retournais vers mon lit et je poussais un hurlement telle que toute la ville avais du m'entendre... Mon père arriva en pa*** dans ma chambre et je me jetais sur lui. 

"-Il était là! Je... L'ai vu encore!!!

-Qui sa ma puce? Qui a tu vu?

-Marc!!!!! Marc Dasim était là!!!

-Ma puce... Tu n'a plus rien a craindre maintenant, Marc Dasim est mort." Il me reposa délicatement sur le sol.

"-Aie!!!" Je soulevais mon pied et découvris la petite poupée Russe sous mon pied. J'avais marcher dessus encore une fois.

"-Qu'est ce que c'est que sa?" Mon père tendit la main pour s'emparer de l'objet. 

"-Une petite poupée Russe? Elle est très belle!" Puis il la reposais dans ma main. Il m'embrassa la joue.

"-Chérie, je m'en vais! Je vais a Paris, pour ma ation et j'y passe la nuit!" Mon coeur eu un raté et ce mis a bondir dans ma poitrine. La sueur commença a perler sur mon frond. Non... Je ne voulais pas qu'il me laisse seul.

"-Papa! Je ne veut pas rester toute seul... Je...

-Tu peut inviter un de tes ami si tu le désire! Appelle Amandine!" Je le regardais s'en allez puis m'emparais du téléphone et tapotais sur les touche le numéro de téléphone de Amandine. Je n'eu a faire qu'a sa messagerie. Je retentais plusieur fois avant de me rendre a l'évidence. Elle ne répondrais pas. Alors je pris mon portable cette fois et je composais le numéro de Cédric en croisant les doit pour qu'il réponde. 

"-Allo?" Sa voix cristaline me soulageais et je poussais un soupir peut discret.

"-Qu'est ce qu'il y a ca ne va pas Carla?

-Si, si sa va! Je voulais te demander si tu était disponible ce soir? 

-Et bien oui!

-Vien chez moi!" Je ne lui laissais pas le temps de me répondre, je racrochais et courais a la fenêtre pour l'attendre. Il finit par arriver, un sac de sport sur l'épaule. "Youpi!!!" Je fit un bon de 2 metre avant d'ouvrir la porte et de lui sauter dans les bras.

Celui ci ne réagis pas et ce contenta de refermer la porte. Il s'appuia sur la porte.

"-Carla... Il faut que je te parle de quelque chose. 

-De quoi donc?" Je le relachais et allais m'assoir sur le canaper en face. J'avais peur. Je ne voyais pas de quoi  il voulais ma parler et cela me faisais peur. Je tapais frénétiquement la table avec mes ongles vernis en rouge. Pour une fois j'avais ajouter une petite touche de féminitée. 

"-Je... Ne suis pas tout a fait... Humain..." Je fermais les yeux et écoutais ses mots. Je les repassais encore et encore dans ma tête jusqu'a ce que mon cervaux ce remit a fonctionner. Assez tout de même pour me rendre compt que ce qu'il avais dit étais incencer. 

"-Comment ça, "pas tout a fait humain"? 

-A ma naissance... J'étais tout a fait normal jusqu'a l'âge de mes 10 ans... J'ai découvert une autre face cacher de moi même. Une partie de moi même qui pouvais prendre le contrôl de mon corp sans que je ne m'en apercoive. Seulement cette partie de moi même n'est pas pareil que nous... elle est... incontrôlable et je ne pouvais pas l'empêcher de prendre le contrôl jusqu'a ce que je te rencontre.

-Mais... Que fait il... 

-Il... A tué des gens innocent... Il n'est pas comme nous Carla... Il est dangeureux... 

-Comment ce fait il que je puisse l'arrêter? 

-Je ne sais pas Carla mais... Depuis que je suis avec toi... Il ne s'est manifester que pour te sauver la vie..." Ce pouvait il que ce fantôme ne soit en fait le double de Cédric?Non... Ca ne pouvais pas être le cas... Cédric avais les yeux noir et "luciole" avais lui les yeux vert... Cédric avais les cheveux noir et lui avais les cheveux roux... Pourtant, "luciole" m'avais déjà sauver la vie une fois.

"-Cédric... Je peut te poser une question?

-Bien sur." Il avais la voix rauque et ses mains étais crisper a un point que ses veine resortais. Je pris ses mains et les caressais.

 -Cédric... Est ce que l'on t'a déjà appeler "luciole" quand tu étais plus petit?

-Oui... Mais comment l'a tu su?" Je lachais ses mains. Non... Pas possible...Je ne...

"-Je veut que tu t'en aille!

-Mais Carla...

-Maintenant!! Je t'en pris, vas t'en..." Il partis en claquant violement la porte derrière lui comme il l'avais fait quand je lui avais annoncer que je pouvais voir les fantôme. Je courut vers la porte et la rouvrit. Un courant d'air froid me traversa le corp et je croisais mes bras sur ma poitrine.

"-Attend! Cédric je..." Il ce retourna, surpris.

 "-Cédric... Je suis désoler. Je voudrais te dire quelque chose. C'est important.

-Je t'écoute.

-Et bien... J'ai vu ton autre toi... Il m'a sauver la vie une fois quand Mario m'a attaquer mais c'est aussi lui qui m'a sauver des mains de Marc Dasim n'est ce pas?"Son teint d'apparence si pâle pris une couleur verdatre puis rouge pivoine. Il me plaqua violement contre le mur faisant soufrir mon pauvre dos. Puis il ce mis a me secouer comme un prunier. Mes membres ce secouais comme ceux d'un pantin désarticuler.

"-Cédric! Tu me fait mal! Arrête!!!!!!!!

-Carla! Ecoute moi attentivement. Même si il t'a sauver la vie plus d'une fois, je t'en pris, tu ne dois plus l'approcher!! Plus jamais tu m'entend!! Tu n'a pas l'aire de comprendre qu'il est très dangeureux et qu'il a détruit tout ce qu'il a toucher jusqu'a maintenant! 

-Cédric!! Tu me fait peur!! Ressaisis toi!! Je te promet de ne plus l'approcher! Je ne ke verrais plus je te le jure mais lache moi je t'en pris!!!!" Il relacha la pression et le poid de mon corp m'entraina par terre. 

"-Carla!!! Je suis désoler... Je ne contrôl pas ma force...

-Sa ne fait rien... Je vais bien ne t'en fait pas pour moi.

-Carla... Je suis impardonnable... J'ai laisser l'autre partie de moi prendre le dessus...

-Je n'ai rien je t'assure..." Il me pris dans ses bras comme si j'étais une poupée de porcelaine et qu'il avais peur de me briser en 1000 morceaux. J'essayais veinement de le repousser mais mon dos me faisais affreusement mal... Il monta dans les escalier et me déposa dans mon lit une fois arriver dans ma chambre. 

Je me relevais aussitôt que son emprunte ce dessera, je me levais et l'embrassais avec tellement de passion que mes lèvre écraser contre les sienne me faisais mal mais je m'en fichais. Je voulais le serrer dans mes bras, le réconforter. Je voulais réconforter les deux partie de lui même. Qu'ils comprenent que je les aimes. Il me serra plus encors. Je l'embrassais. 

"-Je t'aime..." Il me rendit mon *** avec chaleur puis m'allongeais sur le lit, doucement et ses main glissère sous mon pull. Puis ses doits minitieux défirent le bouton de mon jean. Cette nuit fut merveilleuse. Je me réveillais le lendemain. Cédric me regardais d'un regard émerveiller, un léger sourire sur les lèvres.

"-Bonjour mon ange!

-Bonjour... Quelle heure est il?

-Il est exactement... 10 heure moin le quard" Mon cervaux marcha au quard de tour.

"-Vite je vais être en retard!!" Je m'appretais a me lever quand Cédric me rattrapa par le bras et m'entraina contre son corp muscler. Je perdis le contrôl et me mis a rougir.

"-Reste là... Je t'en pris... C'est pas grave. 

-Mais...Bon... D'acors... 

-Merci ma puce. Je t'aime...

-Moi aussi." Je me rendormais dans ses bras. Quand je me reveillais je m'aperçus avec stupeur qu'il avais encore une fois disparut. Je me levais en soupirant et en grognant. J'arrivais en bas. J'entendit un bruit qui venais de la cuisine. On aurais dit que quelqu'un cherchais quelque chose. Je m'y précipitais et je vis Cédric, agenouiller par terre les de mains dans le réfrégirateur vide de la maison familiale. 

"-Cédric...

-Moi c'est "luciole"!" Ce n'étais pas Cédric... Enfin si ca l'étais mais c'étais le Cédric roux... 

"-Ha... Heu... Bonjour, mais... Je voulais vous dire que ce réfrégirateur étais tomber en panne et que nous avons dut le remplacer, seulement nous n'avons pas encors eu le temps de l'emmener a la décheterie... Il est donc vide... Mais si vous voulez un petit quelque chose a grignoter il y a un frigo dans la salle a manger aussi...

-Vraiment? Très bien... Je me disais bien que ce frigo avais l'air déséspérément vide... Mais temps pis pour le lait... 

-Que... Voulez vous..." Je ne pouvais m'empêcher de repenser a ce que m'avais dit Cédric au sujet de son double..."Carla! Ecoute moi attentivement. Même si il t'a sauver la vie plus d'une fois, je t'en pris, tu ne dois plus l'approcher!! Plus jamais tu m'entend!! Tu n'a pas l'aire de comprendre qu'il est très dangeureux et qu'il a détruit tout ce qu'il a toucher jusqu'a maintenant!" 

"-Que faite vous dans ma maison!" Il me regarda d'un aire malicieux et provoquateur

"-Ho... Rien... Je ne fait que passer... Mais j'avou que j'ai bien fait de venir... Je sais très bien que vous avez compris que j'étais envay par un autre... Et j'ai aussi compris par ce biais que vous l'aimiez. C'est très interessant... Je doit avouez que Cédric n'avais encors eu de sentiment pour personne comme il a de sentiment pour toi... Mais... Je suis lui et par concséquant..." Il s'approchais de plus en plus de moi en me regadant droit dans les yeux. Je baissais le regard mais il pris mon menton entre ses mains et le souleva... Je résistais mais m'aperçusde sa force lorsqu'il m'écrasa le menton entre ses doit d'une simple petite pression. Il me forçais a le regarder puis en une fraction de second ses lèvres douce et glacer ce posère sur les miennes. En une fraction de second ma main ce leva et vennais s'écraser sur la joue de celui ci. Il décolla sa bouche de la mienne. Sa joue étais rouge et enfler. J'y avais peu-être été un peu fort... 

"-Carla... C'est pas très bien de coller une gifle a son petite ami...

-Tu n'est pas mon petit ami... C'est Cédric mon petit ami... Je suis désoler...

-Mais je suis Cédric..." Il me pris la gorge et m'empêchais de respirer. Non... Je ne sentais plus le sol. Il m'avais soulever et me tenais. Je me débatais mais cela ne servais a rien et je perdais mes force a chaque mouvement pour essayer de me libérer des patte du chasseur. 

"-Carla... Je suis Cédric et tu m'aime... Et moi aussi je t'aime.

-Cédric... Repose moi part terre..." Il me reposa et me lacha la gorge. Il recula et ce mis a pleurer... Le vent ce leva. Dans une maison?? Il pleurais de plus belle. Une véritable tempête surgissais maintenant de je ne sais ou. Des éclaire foudroyais la maison. Je ne savais plus quoi faire... Je courais dans tout les sens pour échaper a la foudre. 

"-Non!!!! Cédric!!! Arrête!!!" Je me jetais sur lui et le fit tomber a terre. 

"-Cédric, je t'en supplit!!" Il pleurais et hurlais comme un démon. 

"-Cédric... Je t'aime tellement... Je ne veut pas que tu pleur... Je t'en pris arrête de pleurer." Une horrible douleur a la jambe me fit hurler de douleur. Un meuble avais voler a travers la piece pour s'écrser violement sur ma jambe droite. Je hurlais de douleur sous le poid de ce meuble qui m'écrsais la jambe. 

"-Cédric!!! Haaaa!!!! J'ai maaalllll!!! Cédric!!!!!!!" Ses pleur étais incontrôlable et je n'arrivais pas a le calmer. Alors dans un tout dernier espoir je posais ma bouche sur la sienne et entrouvris ses lèvre. J'y fit pénétrer ma langue. Je m'accrochais a ses cheveux roux avec mes mains. Le temps s'arrêta autour de nous. Puis les éclair céssaire et le vent ce calma... Je l'émbrassais. Puis je m'arrêtais et doucement je retirais ma bouche. Il avais arrêter de pleurer... Il ce leva et retira le meuble qui retenais ma jambe. 

"-Je suis désoler" Je n'eu le temps d'entendre que ses douce parole avant de sombrer dans un profond sommeil. Je me reveillais a l'hopîtal, la jambe dans le platre Ma tête reposais sur un énorme oreiller blanc. Je vis tout d'abore apparaître le visage de Cédric. Le véritable Cédric. Il affichais un air inquiet et me regardais avec des yeux sangilonant.

"-Cédric... 

-Carla... Je... Tu est tomber dans les esclier et tu t'est fait très mal a la jambe... Comment ca va? 

-Quoi? Mais non.. Je ne suis pas tomber dans les escalier!! J'ai... J'ai croiser... C'étais toi!

-Comment ca?

-Est bien... C'étais toi!" Il me regarda au supplice. Je remarquais alors sur la droite mon père qui me tenais la main mais que je n'avais pas remarquer jusqu'a présent.

"-Je voulais dire que tu était avec moi quand ca c'est passé n'est ce pas?" Cédric me fit un clin d'oeuil. 

"-Oui effectivement j'étais là et heureusement car c'est moi qui est appeler l'ambulance. 

-Oui..." Je lui fit un léger sourir comme pour lui assurer que tout allais bien mais il n'avais pas l'air convaincus. Mon père n'avais rien dit depuis que je m'étais reveiller. Je le regardais sans rien pouvoir dire moi non plus. Sa bouche s'ouvrit puis ce referma laissant échapper un son qui me provoqua des frisson dans le dos. Puis il sorti toujour sans rien dire. Pourquoi était il comme ca? Je regardais Cédric avec un regard interrogateur mais il le détourna. 

"-Cédric? 

-Ecoute Carla... Je suis concsient que tu connais une grande partie de mon secret a présent... Il faut que tu n'en parle a personne.

-Je n'avais pas l'intention d'en parler a qui que ce soit!

-Carla... Je... Ne t'aime plus... Je veut que nous prenions nos distance tu m'entend? Je préfererais ne plus te voir pendant un moment...

-Mais... Non! Tu ne peut pas faire ca! Tu ne peut pas partir comme ca!! Je... Je t'aime moi! Moi aussi j'ai un secret a garder! On est pareil tout les deux!!

-Tu n'a pas compris! Je ne t'aime plus! J'aime quelqu'un d'autre a présent! 

-Cédric! Je ne peut pas te croire! Tu... Tu n'a pas... Je t'aime, tu ne peut pas..." J'avais l'inpression de répéter toujours les même mot.

"-Je t'en suplit Cédric!! Non!" Mes larmes ne voulais plus s'arrêter, elle jaissais de mes yeux rouge et gonfler de colère et de tristesse. J'éssayais de me lever en vain. Ce platre ne me facilitais pas la tache. Fichus platre! Je pris mon chaussons et le lançais en pleins dans la tête a Cédric. Elle rebondit et fut progeter a quelque centimètre de mon lit. Il ne ce retourna pas. Il continua d'avencer. Quand il ferma la porte je poussais un rugissement de colère qui dépassais l'imaginable. Je pris tout ce qui me passais par la main et le lançais avec rage sur la porte que Cédric venais de refermer. Je pleurais... Je n'en pouvais plus... Pourquoi? Pour qui m'avait il quitter si précipitament? Je ne comprenais pas... Je mis mes mains sur mon platre et tirais de toute mes forces dans l'espoir de l'arracher de ma jambe. Je souffrais mais je n'en laissais rien paraître. Je voulais retirer ce platre et partir en courant retrouver Cédric... Lui faire un dernier ***... Je voulais l'embrasser pour la derniere fois. Me retrouver encore une fois dans ce tourbillon de joie appeler l'extase au contacte de ses lèvre... Je pleurais de plus belle. Mes mains étais griffer jusqu'au sang. Je mis ma tête entre mes mains et continuais a pleurer toute les larmes de mon corps. Si Cédric était partis c'étais entièrement de ma faute. Je regardais mes mains en piteuse état. Peut être allait il revenire. Je le reverais Lundi de toute façon. Même avec cette idée  en tête mes larmes ne cesais pas. Je rentrais chez moi la jambe dans le platre. J'allais devoir me trimballer avec ce platre pendant deux mois. Je passais la plus part de mon temps libre sur l'ordinateur ou devant la télévision. J'avais du mal a me déplacer avec mes béquilles et mon père devais s'occuper de moi comme une enfant de 2 ans.

"-Papa! J'aimerais allez me coucher est ce que tu pourrais venir m'aider" J'avais bien conscience que ces mots venais de la bouche d'une jeune fille de 16 ans et j'en avais honte mais je ce platre était tellement lourd que j'arrivais a peine a soulever ma jambe. Mon père m'aida a me relever avec difficulter. Je ne faisais pas le même poid que quand j'avais 5 ans et qu'il me faisais tourner dans les aire comme une poupée de tissus.

Je finit par atteindre mon lit et même ma jambe alourdit par le plâtre n'avais pas pus m'en empêcher. Je m'installais et remontais ma couverture sur ma figure pour cacher mes larmes.

"-Hello mademoiselle!" Cette voix! Mais c'étais... Je retirais la couverture me sentent revivre et couverte d'espoir. C'étais Cédric! Cédric "luciole" ! J'aurais voulut me jeter dans ses bras mais ma jambe ne bougea pas d'un centimetre. Je me laissais finalement retomber sur le matela épais de mon lit.

"-Désolé... Je ne peut pas bouger...

-Hum... Cédric t'a quitter... Mais... Je suis dangereux pour toi... 

-Je vais bien! J'ai juste une jambe cassée et elle va ce réparer!

-Si je ne t'ai pas tuée avant... 

-Mais... Tu ne veux pas me tuée n'est ce pas?

-Non... Bien sur que non... Je... Suis possédé par Cédric et il t'aime alors je t'aime aussi..." Cédric ce disais posédé par "luciole" mais celuis ci ce disais posédé par l'âme de Cédric. 

"-Alors je te fait confience... Tu ne me tuera pas..." Il s'approcha doucement de moi. Je pensais que c'étais pour me donné un *** mais il me pris la gorge et me plaqua contre le mur. 

"-Ecoute... Une simple pression de mes doigts sur ta gorge blanche et tu peut mourir donc ne te réjouit pas si vite... Tu ne comprend pas... Que j'aurais pus te tué. Tu croit... Que je suis gentil... Mais tu te trompe... J'ai tué des enfants, des nourissons innocent... Nous ne somme pas dans un compt de fée Carla." Puis il me lacha la gorge et avant que je n'ai le droit de protester, il c'étais volatiliser comme.. .Un fantôme... Moi je n'avais pas peur de lui même après ce qu'il m'avais fait car au fond de moi je savais que ce cachais lâme de Cédric.

Je m'acroupie par terre pour réfléchir a ce qui venais de ca passer malgrer moi. Je posais ma main sur le plancher de ma chambre. Si seulement je n'avais pas été retenus ici par ca plâtre...  


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