Bonjour, je suis Deux. 

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J'aime voir tes yeux sourires.

Je souhaite que tu sentes mon désir bouillonnant à l'unisson de nos silences.

"La solitude amène indubitablement à s'engueuler avec le silence, et c'est encore plus pénible car ce silence n'a pas d'image, c'est ça qui fait couler les âmes."
de Samuel.

 

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Un premier feu,

éclaire ton visage malheureux,

J'essaie de trouver ce

Qui t'aidera à aller mieux.

Au second feu,

Tu as toujours les larmes aux yeux,

Me dis ne pas savoir être heureux,

Aimer, et qu't'es juste creux.

Au troisième feu, 

Tu m'as rendu curieux,

Avec ton petit cœur boiteux.

Je décide alors de rendre ton demain délicieux.

Au quatrième feu, 

Quand tout est moins douloureux,

Tu m'annonces que tu es amoureux,

Alors arrive ce fiasco fabuleux.

Au cinquième et dernier feu,

Tu révèles que tout n'était ça que jeux,

Tu me balances avec tes mots harmonieux,

 Me laisse dans un monde de douleurs, lumineux.

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J'pensais mon cœur creux,

Puis surtout très malheureux,

Donc pour cette raison j'ai voulu

Me mettre à courir après c'que j'ai perdu,

Même si j'saute pas assez vite pour tout rattraper,

Au moins, j'me s'rais évadée.

M'en fous d'tout maintenant, 

Que tout l'monde soit mourant,

J'reste seule à suivre les oiseaux,

En essayant d'aller aussi haut.

J'sais bien qu'c'est impossible,

Mais j'rêve d'atteindre ma cible,

J'rêve, j'rêve, j'rêve, mais pas comme toi,

Comme vous, J'rêve du haut d'un toit,

De ces moments où tout bascule,

A la vue du soleil au crépuscule.

Du haut d'un wagon, j'regarde le lagon,

Puis j'tourne, j'tourne en rond.

J'me relève, j'me redresse,

Et debout, mes tourments cessent

Pendant que le vent me caresse le visage,

J'cris, mes sentiments passent au lavage.