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Hello Hello Hello tadtadam tad tad... hein ? Vous êtes encore là ???

Bon... eh ben je m'appelle (enfin d'àprès les gens qui me servent de géoliers - pardon, parents...

Ceux qui veulent me poser des questions sur ce qui n'est pas mentionné dans l'histoire vous pouvez écrire à :

 

lizzy.saucemaggie@gmail.com

 

Vous êtes au moins 6 à me l'avoir demander :)

 

Ah oui, on ne s'abonne pas :)

On lit et on apprends, je nettoie souvent les com'z mais ils me touchent croyez moi :)

 

 

Mon histoire (que je n’ai pas encore fini de vivre) est une histoire vraie. Je suis juste une ado qui fait de son mieux pour entrer dans l’âge adulte, avec une sa.lope à la place d’une mère, un enfant à la place d’un père, et une (presque) secte à la place d’une famille. De temps en temps, je vais sur ce jeu avec mon compte principal. C’est en voyant d’autres personnes écrire des fictions que j’ai décidé de mettre ma vie par écrit. Même si je ne suis pas complètement prête à m’assumer. Ce compte dérivé… et bien j’ai envie de raconter mon histoire. A des inconnus. Bien parce qu’ils le sont. En effet, j’adore écrire. Je hais ma vie. Ce n’est pas une fiction, mais je compte la partager.

Je voulais aussi remercier ceux et celles qui m’envoi des messages de soutien, d’encouragement. Merci à vous. La compassion… voilà un concept que même Ethan a appris à zappé. Qu’il m’a appris à zappé.

Fonctionnement de l’histoire :

# En normal, ben l’histoire quoi…

# En gras, les titres, pour séparer en chapitres, disons.

# En italique et bleu, l’introduction dans les Je me souviens, pour que vous ayez une visions de ce que faisant les personnes avant le moment raconté, pour mieux comprendre.

# En italique, les Je me souviens, soit les passages ou je revis un souvenir.

# Les pointillés : -----------, sont la séparation entre l’histoire normale et les Je me souviens.

# Les étoiles : ***, sont la séparation entre deux moments : par***mple je raconte que je vais au resto, je mets des étoiles, et on arrive tout de suite au moment de l’addition. Les étoiles me servent à sauter une étape, pour passer un passage inintéressant : c’est une ellipse narrative.

# En rouge, les pauses : ce sont les moments où j’arrête un souvenir pour faire un commentaire présent.

Bon… Je n’ai pas de titre pour ma vie, personne n’en a d’ailleurs. Alors j’utilise mon nom (c’est une autobio, donc…) :

 

Autobiographie de

Kaitlyn Marguerite Leslie Mitchell

 

--> Elle ne m’a jamais épousé. Certain l’appelle la Chance et moi, elle n’est jamais de mon coté

-      Mme la Chance_DRY, D. Beriz, JR Ochrom

Bon... eh ben je m'appelle (enfin d'après les gens qui me servent de geôliers - pardon, parents...) :

Kaitlyn Marguerite Leslie Mitchell

Bienvenue °_o

Ok. Je suppose que vous me prenez pour une folle ? Non non, juste bipolaire (très légèrement), et atrocement, désolément, tristement, tellement ANORMALE*.

*ANORMALE : Adjectif féminin désignant une personne différente de la majorité des êtres humains.

Ne vous moquez pas de mon nom ! (mes)

Oui, j’ai un second nom ridicule, et le premier est anglophone alors que je suis une french pur et dur, mais qu’est-ce que j’y peux ? C’est la faute de Kaitlyn (ma – soi-disante - mère) et Ann (mon – prétendu – père) Mitchell…

Bref !

Sinon, vous ne vous êtes jamais demandé si vous aviez été adopté ? Moi, je le suis… Par 2 américains émigrés en France, je vous jure ça tue.

Pourquoi le pseudo Laugh-Mag ?

Laugh car c’est rire en anglais. Un truc qui m’est limite inconnu.

Mag car diminutif de Margueritte.

 

--> Un mouton parmi les loups moi j’ai jamais pu être

-      J’aurais pu être_DRY

Je suis donc Leslie (ou Lizzy) car je hais le prénom de Kaitlyn que ma fausse mère m’a donné, et Marguerite… ça va, je ne suis pas une vache !

Portrait-robot de K-M-L-M :

J’ai 17 ans et toutes mes dents.

J’ai un tas in e roux et inégal (aux alentours d’un mètre) de paille qui me sert de cheveux.

J’ai des yeux verrons, un bleu et un jaune (comme les loups, haha… mais je suis végétarienne --> à la cantine du lycée seulement). Parfois, je porte une lentille bleue pour cacher le jaune. Pas par honte, mais plutôt par gêne.

J’ai une tache de naissance brune et ovale sur mon épaule gauche. Sur la droite, j’ai une colombe. Elle va avec l’hirondelle qui encadre ma hanche droite.

------------------------------------------------------------------------------------------

Je me souviens :

J’avais encore 16 ans. Kaitlyn (ou ma fausse mère) était rentrée des courses, et moi j’étais assise sur le canapé.

Je n’ai pas même le temps de siller qu’e Kaitlyn m’apostrophe : - Kaitlyn ma chérie, tu as nettoyé la cuisine comme je te l’avais demandé ?

-      Non, Kaitlyn. Et ne m’appelle pas chérie.

-      Ne m’appelle pas comme ça, Kaitlyn. Et moi, je t’appelle comme je veux.

-      Tu préfères Mme Mitchell ?

-      Je préfère Maman.

Je soupire. Elle se remet à jouer avec moi. Je lui lance un mauvais regard : - Ne fais pas ça.

-      Ne pas faire quoi ? Dois-je te rappeler que sans moi, tu serais une petite potiche dans un orphelinat, sans vrai lit, nourriture et vie sociale ?

-      Mais ta gueule ! j’explose.

-      Ne me parles pas comme ça ! Déjà que MOI je veux bien de toi, regarde, même tes parents ne te désirais pas !

Me.rde. Je pleure. Et elle, fière, elle sourit. C’est facile pour elle de faire la maline. Pour moi, c’est plus dur. Elle sait où ça fait mal.

-      Tu sais quoi ? Juste pour ça, tu me nettoieras en plus et les toilettes, et l’entrée. Ah, oui : va cueillir des carottes dans le jardin, MA fille.

Je n’ai d’autre choix que de tourner les talons pour exécuter les ordres de Kaitlyn. J’essuie mes yeux d’un revers de main, et je pense revanche…

***

Je pose les carottes sur la table. Bon débarras. Je ressors, et vais me promener en ville. Au moins, je suis sure de ne pas y rencontrer K la démoniaque !

J’entre dans le centre commercial. Je regarde les magasins, Hollister, Swarovski, Faller… Des magasins où je ne suis jamais même entrée ! Pourquoi faire…

Je m’arrête devant le studio à tatouages. Pourquoi faire… Je regarde les symboles sur la vitre : infinie, scarabée, voiture, écritures, célébrités, dragons… Mon regard se pose sur une colombe. Si pure… je ne réfléchis pas. J’entre.

***

-      A qui le tour ?

Je me lève timidement. Le jeune homme se passe la main dans les cheveux. Il me regarde gentiment.

-      Ne t’inquiètes pas, on ne sent rien.

J’avale ma salive. Je le suis dans une pièce plus sombre. Il me fait asseoir sur une causeuse. Ne réfléchis pas, ne réfléchis pas, ne réfléchis pas. L’homme va chercher un magazine. Je regarde sa nuque, d’où dépasse des tentacules, et son bras. Je n’arrive pas à voir ce qui est tatoué dessus.

-      Première fois ?

J’acquiesce.

-      Pas très bavarde, hein ?

Nouvel hochement de tête. Il soupire et me tend le magazine.

-      OK. Tu sais déjà ce que tu veux ?

-      Une colombe.

-      OK.

Il se tourne et va chercher son matériel. Quand il revient, il m’annonce :

-      Moi, j’ai gardé les yeux ouvert à chaque fois.

Je ne sais pas pourquoi, je ris.

-      Quoi ?

-      Tu croyais que j’allais fermer les yeux ?

Il s’avance :

-      On verra.

***

-      Aï ! T’avais dit qu’on sentait rien !

-      Au bout de la dixième fois, ben oui.

-      Pu.tain !

Il est pété de rire.

-      Quoi ?

-      Rien, t’es drôle c’est tout.

Je m’apprête à me passer ma main sur la colombe, mais il m’arrête :

-      Attends.

Il se tourne vers une étagère, et y prends des bandages :

-      Il faut que ça cicatrise.

-      OK.

Pendant qu’il bande mon épaule :

-      Tu payes en chèque où en cash ?

-      Cash.

-      D’acc. Je peux avoir ta pièce d’identité ?

Je le regarde. Il est sérieux. Me.rde.

-      Tu ne l’as pas ?

-      Non.

-      Il la faut pour payer, tu sais pour le compte client.

-      Compte client ?

-      Pour tous les majeurs qui se font tatouer chez nous.

-     

-      Quoi ?

-     

Ses yeux s’arrondissent.

-      Tu n’es pas majeur, hein ?

-      Non.

-      Mer.de.

-      C’est mon mot préféré.

-      Tu ne te rends pas compte : sans l’accord d’un tuteur, je ne peux pas tatouer un mineur, mer.de ! Pourquoi tu ne me l’as pas dit ?

-      Je ne savais pas !

Il se prend la tête à deux mains :

-      Pu.tain ! Tu sais que je peux perdre mon job à cause de ça ?

-      Pas si personne ne le sait.

Il désigne mon tatouage :

-      Tu vas me dire que personne ne va le voir ?

-      Si. Mais ils en n’ont rien à battre, crois-moi.

Il me regarde dans les yeux :

-      OK. Je te crois. Mais tu promets…

-      De ne pas dire que c’est toi qui ma tatoué, oui. Il n’y a pas de caméras ?

-      On n’est pas au NCIS.

-      Tu regardes ?

Il balaye ma question de la main :

-      Allez casses-toi maintenant.

-      Et le paiement ?

-      Je ne t’ai pas tatoué, tu te rappelles ?

-      OK. Merci…

-      Ethan.

-      Merci Ethan.

Je me dirige vers la sortie. A la dernière minute…

-      Attends !

-      Quoi ?

-      Je… Il reste de l’encre.

-      Hein ?

Il se tord les mains :

-      Oui… j’ai utilisé une cartouche, numérotée, pour te tatouer. Et il reste de l’encre. Or, si je la laisse… on sera que j’ai fait un tatouage non enregistré.

-      Jette-la ?

C’est plus une question qu’une réponse.

-      Impossible. Tu ne te rends pas compte de la valeur de l’encre…

-      Alors tatoues-toi une nouvelle fois.

-      On me demandera quand je l’ai fait et l’enregistrement. Ce n’est pas parce que j’y travaille que c‘est gratuit…

-      Alors tatoue-moi-moi.

Il hésite.

-      Je n’ai plus rien à perdre.

Il soupire : - OK. Je vais faire un truc… spécial, pour utiliser tout l’encre. C’est partit ?

-      Go.

***

L’aiguille quitte ma peau, sensibilisée.

-      Fini ?, je demande.

-      Yep.

Avant que je ne puisse voir le résultat, il me bande la hanche droite.

-      Je n’ai pas le droit de voir ?

-      Non.

Je ris, par nervosité.

-      OK.

-      Tu ne touches à rien, et tu reviens demain matin, OK ?

-      Si je veux me laver ?

-      Avec.

Je soupire : - OK. Merci, Ethan.

-      Hum, de rien… ?

-      Leslie.

-      De rien Lizzy. A demain.

***

Je suis à peine rentrée, que je m’enferme dans ma chambre et arrache le bandage. Une hirondelle.

------------------------------------------------------------------------------------------

Je fais 1m77, et je vis quelque part en France.

Je n’ai pas d’animaux (genre Kaitlyn me laisserait en avoir) et je suis en dernière année de lycée.

Voilà pour la présentation physique. Comme ça, vous pourrez visualiser la catastrophe que je suis. Maintenant, mon histoire.

 

--> Comme un homme

-       Comme un homme_Bakar

Avant de vous présenter ma mif, la vraie, je vais pour raconter les circonstances de notre rencontre.

------------------------------------------------------------------------------------------

Je me souviens :

Le lendemain, je suis allée à la boutique d’Ethan. Comme je le pensais, Kaitlyn se fichait du tatouage. La seule chose qu’elle avait dit, c’était : si ça t’amuse de gaspiller ton argent de la sorte… Ann ne l’avait même pas remarqué.  C’est donc confiante que je suis entrée dans la salle d’attente.

La salle est vide. Pas un client. J’hésite à entrer dans la pièce où Ethan ma tatouer, mais si jamais il est avec quelqu’un… Pourtant, je ne vais pas poiroter là éternellement. Je m’avance et cogne contre la porte. Comme rien ne se passe, je pousse la porte.  Ethan est assis sur un tabouret, le dos tourné. Il est en train de triller des feuilles. Je toussote : - Hum hum ?

Ethan sursaute et se retourne : - Tu aurais pu prévenir avant d’entrer.

-      J’ai toqué, je lui signale.

Il hausse les sourcils, se passe la langue sur les lèvres puis  se remet à parler : - Alors, il te plait ?

-      Comment tu sais que je l’ai regardé ?

-      C’est que tout le monde fait.

Soudain, son front se plisse et il s’approche : - Tu as un truc dans l’œil droit.

Je porte la main à mon œil. Du bout des doigts, je touche ma lentille.

-      Ça ne te fait pas mal ?, me demande Ethan.

-      Non. C’est une lentille.

Je me mords la langue. Je ne sais pas pourquoi je le lui ai dit ; je déteste mes yeux, et encore plus la réaction des gens quand ils les voient au naturel.

-      Tu as un problème de vue ?

Si je lui dis oui, alors il ne sera pas. Pourtant, je le contredits :

-      Pas exactement.

Ethan attend une réponse. Je finis par lui expliquer : - J’ai des yeux verrons, alors je porte une lentille pour que les deux aient la même couleur.

-      Sérieux ? Je peux les voir ?

Bon. Au point où l’on en est… J’ôte la lentille de mon œil droit. La bouche d’Ethan s’arrondit ; je devine sa stupéfaction devant l’œil jaune qui vient d‘apparaitre.

-      Ah, ouais. Je comprends, dit-il. Mais en même temps… Je les trouve quand même supers, tes yeux. Si je les avais… j’en serais fier.

-      Si tu les avais, tu les haïrais.

Je n’ai pas voulu être agressive en disant cela, mais Ethan s’énerve :

-      Oh là là, miss à des yeux verrons, alors sa vie est gâcher. Papa s’il te plait, tu peux m’acheter des yeux plus beaux ? Je dois être parfaite, je suis ta fille.

-      Ce n’est pas du tout ça !, je rétorque.

-      Tu vas me dire que tu n’es pas une gosse de riche pourrie gâtée ?

-      Non. Je en suis pas gâtée, crois-moi.

J’ai envie de continuer, de lui raconter ce que c’est que de vivre avec Kaitlyn et son époux impassible, mais je me tais. Ça ne le concerne en rien.

-      Pourtant, ça n’a pas l’air de gêné maman poule que tu te sois fait tatouer. C’est quoi, relation fusionnelle ?

-      Tu veux vraiment savoir ?

Il hausse les sourcils : - Je t’écoute.

-      Mère poule est en fait une co.nnasse, et papa chéri est un autiste. Ceux sont deux américains incompatibles qui voulaient à tout pris un gosse, et sont venu s’installer en France. Alors, ils sont tombés sur moi dans un orphelinat de me.rde, et ils se sont dit, pour la femme : « Une fille avec des yeux verrons, ça fera une chouette boniche » et pour l’homme : « Si ça peut faire plaisirs à ma femme… ». Voilà, c’est ça, la vraie histoire.

Et je fonds en larme.

-      Vas-y, pleures pas.

Je rassemble toute la dignité qui me reste pour relever la tête. Ses yeux plongent dans les miens, mouillés de larmes.

-      S’ils sont aussi c.ons que tu viens de me les décrire, alors ils ne valent pas la peine que tu pleures à cause d’eux. Redresses-toi, Lizzy.

Je m’exécute, et il sort un mouchoir de sa poche : - Tiens.

Je me mouche et tamponne les bas de mes yeux avec le mouchoir. Je réenlève ma lentille pour l’essuyer.

-      Pourquoi tu restes chez eux ? Pourquoi tu ne pars pas ? Je veux dire, il y a des foyers, des familles d’accueil…

-      Ce n’est pas aussi simple : Kaitlyn – enfin ma fausse mère quoi – a en sa possession des in ations sur mes parents biologiques. Et elle n’est obligée de me les donner que lorsque je serais majeur…

-      Alors tu restes jusqu’à tes dix-huit ans.

-      Ouais.

-      Combien de temps à tenir encore ?

-      Un peu plus d’un an.

Ethan se tait. Je crois qu’il réfléchit. Je reste debout. C’est la première fois que je parle de ma situation de famille à quelqu’un. Et aussi… les seules personnes à avoir vu mes yeux sans lentille sont Kaitlyn, Ann… et quelques personnes qui étaient avec moi en maternelle, mais c’est tout. Et maintenant, il y a Ethan. Ce gars qui a débarqué il y a deux jours dans ma vie. D’ailleurs, il interrompt mes pensées :

-      Hey Lizzy y’a quelqu’un ou je repasse plus tard ?

-      Quoi ?

-      Tu fais quoi ce soir.

Samedi soir : je passe l’aspirateur dans le salon, et je range ma chambre. C’est l’un des rares soirs ou je ne fais pas grands chose,  parce Kaitlyn à souvent des invités. Je réponds :

-      Rien de spécial.

Ethan semble hésiter, mais finalement il se lance :

-      Je vais à une fête étudiante rejoindre des potes. Tu veux venir ?

Et là je me demande : j’ai bien entendu ? Mais Ethan a l’air sérieux. Je réfléchis ; je ne suis jamais allée à une fête avant, mais je sais que Kaitlyn ne me l’interdirait pas. Elle n’aurait même pas à le savoir. Et puis passer l’aspi… J’ai bien envie d’accepter. En fait, qu’est-ce que j’ai à y perdre ?

-      Ok.

-      Super, dit Ethan en souriant. Je fins à dix-huit heures. Tu n’as qu’à venir à la boutique vers cinq, comme ça je serais prêt.

-      Nickel, je réponds.

Pause : Là, je peux vous dire que je ne m’attendais pas à la tournure qu’allait prendre ma vie grâce à Ethan ce soir-là…

Retour au souvenir :

Je sors du salon de tatouage, et me maudit moi-même. Je suis vraiment une idiote ! Aller à une fête, parce qu’un mec que je connais depuis seulement deux jours me le propose… Et je ne sais même pas quoi mettre.  C’est bizarre, mais c’est ce qui me préoccupe le plus ; je n’ai pas envie d’arriver en mode bledard à cette fête, si déjà…

 

A suivre…

 

 

Je suis en partenariat avec Organistatrice :) dollz concours, faites un tour chez elle :)

Ne votez pas ici ! J’adore mes 2 petits zeros…

 

Partie de Organistatrice :)

 


Voilà la dernière étape ;)

Vous devez trouver :


Le légume le plus lourd :  

Le fruit préféré des sportifs :  

Légume qui manque toujours son coup :

Le fruit préféré des sorcières :
Le légume tout désigné pour les détectives :

Le fruit qui défend le mieux sa cause :
Le légume qui désigne un mauvais film :

Le fruit qui a le même nom qu'un oiseau :

Ne pas confondre avec une contravention :

 


 

 

 

 

Il y en a 9 : il vous en faux au moins la moitié, soit 5/9 :)

 

Bonne chance :) ^^ 0_o oui c'est mon délire :) o_0 ^^ kiss kiss kiss

 

 

 

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