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trifinita
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03/11/2013 à 17:08:03

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AIDEZ-LES!!!! sadnessbytyt2000.jpg

  

Je m'appelle Valmy, ou plutôt, je m'appelais Valmy. J'étais assez heureux dans mon box,je travaillais, et on me nourissait.Mais un jour, j'ai commencé a me fatiguer :un cavalier m'a trop poussé, et l'obstacle m'a fait tombé.Je ne pouvais plus sauter.Pendant quelques temps, je n'ai plus rien fait, je restais au box et mes rations ont commencé a diminuer : j'étais affaibli... puis un camion est arrivé.Quelqu'un est venu me chercher et m'a conduit devant.Ils l'ont ensuite ouvert pour que je puisse y monter. L'homme me tenais fermement.J'ai commencé à avancer puis j'ai vu d'autres chevaux, ils étaient trés énervés, peureux et bougeaient dans tout les sens.J'ai commencé a sentir ls de douleur...Le camion s'est mit en marche.Les chevaux qui étaient là avant moi étaient paniqués et moi je le devenais de plus en plus.Petit à petit, la soif m' envahissait et l'odeur du sang ne s'était toujours pas dissipée.Au bout de 10 heures de route nous sommes arriver en un autre endroit : il faisait sombre et il y avait des dizaine d'autres camions dont 2 très grands, où des chevaux avaient été entassés.Des hommes sont venus et nous ont tirés hors du véhicule puis conduits vers un de ces énormes engins. Il y avait baucoup d'autres chevaux. Ils hénissaient de détresse, se cabraient ...Des hommes les frappaient pour avancer.Aprés étre rentrés, le calvaire a vraiment commencé : Les chevaux et poneys étaient retenus par des cordes peu solides mais attachées et en un coup de frein une dizaine de chevaux tombèrent. Dans la pa***, certains se sont cabrés en en écrasant d'autres.Moi j'étais par terre et je ne pouvais plus me relever, ma blessure me soudait au sol.Quelques minutes plus tard le camion s'arréta encore brusquement et la même histoire se répéta.Là, j'ai commencé à voir le sang, il coulait le long du camion.Un de mes congénères qui était tombé se releva brusquement et marcha sur un de mes postérieurs.J'était paralysé.De plus en plus de chevaux tombèrent et ne se relevèrent pas... puis mes yeux se fermèrent... j'avait trop soif.Nous avons roulé comme cela pendant près de 3 jours entiers.Arrivés devant un batiment le camion s'est arrêté. Je ne pouvais plus me lever, la douleur était trop grande...Les chevaux etait criblés de blessures. Certains, comme moi ne pouvaient plus marcher.Ils sont venus et nous tiraient. Nous avions beau lutter ils était forts et nous trop fatigués.Des gens son venus vers moi et on essayé de me faire lever à coups de pied et de cravache .Mais je ne pouvais faires de gestes.Alors un autre et arrivé et ils m'ont tiré par les membres, je henissais de toutes mes forces mais elle m'abandonnaient, peu à peu...Plusieurs chevaux agonisaient, d'autres étaient deja morts...puis on m'a trainé jusque dans une salle ou des hommes m'on assomé, j'ai senti une, puis deux, puis trois... douleurs au niveau de l'encolure...Les hommes étaient en train de me saigner...Peu à peu, j'ai quitté la vie, où plutôt la vie m'a quitté... la douleur était trop forte, je voulais et devais en finir... puis il m'ont trainé et m'ont attachés les membres postérieurs à des chaînes, me voilà maintenant la tête en bas. Dans un dernier espoir d'aide, j'ai henni. Puis, plus rien, le pic a traversé ma gorge.

Ohh on se reveille la faut réagir tu comprends sa?? Sa veut dire tu prend ton ptit clavier et tu fit copier coller dans ton qui suis je!!



J'espere que ces images ne vous choqueront pas mais c'est hélas la réalité... Parlez en, publiez ces images sur vos sites mais réagissez vite...
Chaque jour,850 chevaux sont victimes de l'hippophagie en France soit 310 250 par an (350 000 en Italie,150 000 en Belgique,80 000 en Hollande).Il faut agir!!!
Es-ce une façon de remercier le cheval qui à partager notre travail et notre folie guerrière durant des siécles?
L'HORRIBLE TRAJET QUE SUBIT LE CHEVAL DE CHEZ LUI A VOTRE ASSIETTE!!

Les chevaux viennent de parcourir quelques miliers de kilométre. Cela fait plus de 20 heures qu'ils roulent,entassés les uns sur les autres dans l'espace le plus réduit que l'on puisse imaginer.
Si réduit qu'il suffit d'un coup de frein un peu brusque pour que les bêtes se retrouvent plaquées contre les paroi du camoin,malgrès les grosses cordes qui les retiennent,leurs brûlant les flancs au moindre choc.La plupart des animaux sont blessés,souffrent d'infections,de déshydratation,de la faim et n'ont plus assez de force pour se tenir debout.Un poney allongé sur le sol est vite relevé par le convoyeur à coups de bâton,ne souhaitant pas arriver à destination avec un cadavre.Ce calvaire va encore durer quelques jours, jusqu'à ce que le véhicule rejoigne des abattoirs sordides,où les chevaux seront...abattus!!

La majeure partie des importations de viande de cheval provient des pays de l'Est; elle n'a pas forcément subi un contrôle veterinaire avant d'arriver dans les boucheries,et souvent de piètre qualitée.
on trouve dedans:
1)Des antibiotiques,qui sont normalement destinés à traiter les infection,mais souvent distribués à titre prèventifs dans les élevage.Ce phénomène a pour effet de rendre ces traitements inefficaces à terme,sur les animaux...et les humains.
2)Des insectisides,comme lindane produit cancerigène pour l'homme,qui sert à l'antiparasitage des chevaux.Ce produit très toxique se stocke dans l'appareil digestif du cheval et quand vous consommez du cheval,il s'accumule aussi dans vos organes,en particulier le foie.
3)Des parasites,comme le trichinella spiralis.La trichinillose est provoquée par l'ingestion de viande non traitée contenant ce parasite,après la consommation de cette viende infestée,les larves eclosent dans le tube digestif du consommateur et gagnent les muscles qui s'enkystent,ce qui provoque une fièvre èlevée.L trichinillose est mortelle dans 5 % des cas. On compte 5 déces depuis 1975 mais beaucoup de patients souffrent aujourd'hui de séquelles neurologiques et musculaires.

Avez vous encore envi de manger du cheval??

 

Des histoires qui sont vrais pour 850 chevaux par JOUR

Aujourd'hui, un nouveau cheval viens au centre ! je les entendait parler de moi, que je suis trop vieux, que mon box est grand et ils parlent d'un camion avec des chevaux comme moi. J'étais peureux. Le lendemain, ils viennent me chercher, je vois une enfant qui me montait pleurer beaucoup et hurler "non, pas lui !!". Je ne comprenais pas ce qu'il se passait. il m'entrainèrent dans un camion ou il y avait beaucoup de chevaux, déshydratés, j'avais soif et faim. Des hommes me donnaient des coups de fouet tellement horrible que je me disais que j'allais mourir. Arrivés à un endroit, j'eus le droit à une bonne eau et à de a nourriture. C'était comme un paradis. Tout d'un coup, un homme arriva vers moi avec un géant couteau épais. Il me toucha avec. j'avais très peur. il coupa alors mon encolure. dix ans pus tard, cheval arrivé qui m'avait pris ma place eu le même sort ...

Pour que cette barbarie cesse enfin,
JE DIS NON A L'HIPPOPHAGIE!


Je ne mange pas de viande de cheval !
Le cheval, la plus noble conquête de l'homme ne doit plus finir dans nos assiettes. Honte à l'Italie, la France et la Belgique, principaux consommateurs de viande de cheval en Europe !

"Ceux qui aiment les chevaux , les aiment vivants et libres dans les prés, pas dans leur assiette"

et pour celles et ceux qui aiment les chevaux BOUGER VOUS!! et ttendez pas les bras croisés car si vous croyer que l'on ne changera pas sa c'est faux car je suis sur a 100% que tous emsemble ont peu y ariver... qui m'aime me suis (non je ne suis pas folle contrairement a ce que pense cetain)!!

      Histoire d'hippophagie :

J'étais dans mon box, j'étais heureux. Mais "ils" sont venus. Moi, innocent, j'ai passé la tête par la porte de mon box et j'ai poussé un joyeux hennissement en voyant tant de monde venir me dire bonjour. Et là, je "les" ai vu. Derrière eux, il y a avait des cavaliers du club qui pleuraient. Puis j'ai entendu ces mots que n'ai pas compri : "On ne peut pas avoir autant de chevaux, il faut bien se débarasser de ceux qui ne nous sont pas indispensables. Or, Ange n'a pas eu de très bon résultats aux derniers concours..." Ange, c'est moi. "Ils" m'ont emmené dans un van que je ne connaissais pas. Dedans, il y avait aussi Canelle, une ponette qui s'était blessée à la jambe la semaine dernière. On a fait un voyage assez long, puis "ils" nous ont fait descendre dans une cour. Sa sentait bizzare. Le sang, la mort, le crottin .... Puis "ils" nous on fait monter dans un camion où il y avait déjà une dizaine de chevaux qui ont henni en nous voyant. Mais ce n'était pas un hennissement que je connaissait. C'était un hennissement de peur, de douleur, de détresse. Et là, j'ai commencé à ressentir la Peur, la vraie Peur. Cette Peur que l'on ressent quand on ignore qulque chose de capital. Dans le camion, l'odeur s'est emplifiée. C'était à la limite du supportable. Puis le camion a démaré. Brutalement. On a roulé longtemps. J'avais faim, j'avais soif. En voyage, j'ai fais la connaissance du cheval qui était à côté de moi. C'était Indy, un hongre. Il avait une blessure à la jambe qui s'infectait peu à peu. Puis "ils" ont fait monter d'autres chevaux. Pour qu'on se pousse, "ils" nous on fouetté. Indy a trébuché, il est tombé et un cheval lui a marché sur la jambe. Il ne pouvait plus se relever. Après quelques heures de souffrance horribles, il s'est éteint. Puis son corps a commencé à sentir. C'était horrible. Peu à peu, d'autres chevaux se sont éteints. De soif, de faim, de blessures, de désespoire. Enfin, le camion s'est arrêté."Ils" ont ouvert la porte. La lumière m'a aveuglée. Les autres chevaux voulaient sortir. Ils m'ont poussé. Je me suis tordu la jambe. J'ai eu mal. Mais j'était obligé d'avancer. Dans d'interminables couloir hanté par le sang, la peur, la Mort. J'ai entendu un cheval henir, j'ai reconnu Canelle. Ma petite Canelle si courageuse. Puis on est arrivé dans un grande salle avec un planché en fer. Puis, "ils" ont fermé la porte et nous on laissé là. Pas à boire, pas à manger. Un à un, beaucoup de chevaux sont morts. Ma Canelle aussi. Puis, un jour, "ils" sont venue me chercher. J'ai eu à boire. C'était bon. C'était la dernière chose que j'aurrais eu de bon de ma vie. Ensuite, je suis entré dans un salle oú l'odeur, l'ambiance, m'a fait pa***. Je me suis cabré, je me suis pris un coup de gourdin dans les jambes. Puis, "il" est entré. J'ai senti quelque chose entrer dans ma gorge. J'ai eu mal. Je me suis senti faible. Je me suis couché. Ou plutôt, je suis tombé. Et j'ai su. J'ai eu mal au coeur. J'ai fermé les yeux. Noir...... Ange est mort est aurai voulu rejoindre le paradis des animaux dans de meilleure conditions.

                                  A toute age :

je n'avais que 6 mois et demi, lorsque l’éleveur vint me chercher au petit matin, ma mère dormait encore…Il me passa un licol, et m’emmena, je pensais qu’on allait se promener alors je me laissai faire…Il m’emmena vers un énorme camion dans lequel il avait d’autres chevaux, et ils hennissaient tous plus forts les uns que les autres…J’entendis tout un coup l’hennissement de ma mère, je voulus la rejoindre, mais l’homme m’en empêcha…il me tenait, et je tirai de toutes mes forces pour rejoindre « maman », mais quelque chose me fit mal, et j’arrêtai de tirer…on m’obligea a coup de fouet et de bâton à monter… -Maman, pourquoi tu ma laisser partir, pourquoi tu ma pas sauver, pourquoi, pourquoi ? Je restai silencieux durant tout le voyage… Il dura plus de 20 heures, on devait rester debout, je commençais à avoir soif et faim, je hennis espérant que l’on me donne eau et nourriture, mais je n’eu rien…On nous débarqua dans un immense hangar humide et sombre. Je fus le premier à sortir.On m’attacha plus loin, et je pus voir, avec des yeux de 6 mois, la mort…plusieurs cadavres de chevaux, de poulains étaient sortit, puis étendus devant moi, devant mes yeux…On me tira de force dans un couloir…je hennis plus fort, me volant mes dernières réserves de santé…On me forçat à avancer, et puis tout d’un coup, quelque chose me tomba dessus, je n’eu pas le temps de regarder, mais je pus sentir, un liquide chaud, qui coulait sur mes membres avant… et je compris l’incompréhensible...J’étais en train de mourir, et mes dernières pensées fut pour ma mère, elle qui aujourd’hui était si loin de moi, elle qui, dès demain revivra la même histoire, avec autre poulain, et son calvaire ne se finira que, lorsqu’elle n’aura plus la force de donner la vie, pour qu’on lui prenne aussi vite… A toi Maman, Toi que j’aime, Toi qui auras su me rendre heureux pendant un court instant de ma pauvre vie… dite vous ke ces cette pauvre chose que vous mangez

 

POEME TRISTE,

Pendant que je suis assise confortablement,
Il est seul dans le noir, désespérant.
Pendant que je regarde la télé,
Il voit ses amis, maltraités.
Pendant que mon coeur est emplie de joie,
Le sien l'est d'effroi.
Pendant que je pense à mon 1er amour,
Lui songe à la lumière du jour.
Pendant que je danse,
Il est en proie à la souffrance.
Pendant que je prend un délicieux repas,
Il ferme les yeux pour la dernière fois...

Une histoire triste:
Je m'appelais Meigo, j'avais des maîtres très gentils. Ils prenaient soin de moi, et la petite fille me donnait toujours des carottes et des pommes. L'été j'étais dans un pré magnifique, pleins de fleurs qui sentaient bon, et l'hiver, on me mettait dans un box toujours propre.
Un jour que j'étais attelé pour aider mes maîtres à emmener leurs légumes au marché, nous arrivâmes sur un chemin caillouteux, glissant, pleins de bosses et de trous. Mes maîtres me demandèrent de galoper. Je n'étais pas sûr, c'était dangereux. Ils me redemandent, je pars au galop. Je leur faisais confiance, jamais ils ne m'emmèneraient dans un endroit dangereux. Jamais ils ne me feront de mal...
Mais je mis le pied dans un trou très profond et je suis tombé, la charrette se retournant sur moi. Mes maîtres criaient. Après un instant noir, je sentis la charrette se soulever, puis quelqu'un me tirer par la bride. Je me suis levé, mais je suis retombé. Mon antérieur gauche me faisait souffrir horriblement. La petite fille criait, je ne comprenais pas ce qu'elle disait. Mes maîtres insistèrent, je me suis relevé.
Avec beaucoup de mal, je revins à la maison. Je savais qu'après ces terribles souffrances je découvrirais les bons soins de ma famille. Un homme arriva, celui qui venait chaque fois que quelque chose n'allait pas. Il parla à mes maîtres... La femme s'enfouit dans les bras de l'homme et la petite fille se mit à pleurer comme jamais.
Tard dans la nuit, la petite fille me rejoint. Mon pied me faisait souffrir, mais elle y faisait attention. Elle s'allongea contre moi, les yeux ruisselant de larmes et s'endormit.
Jamais je n'oublierais l'odeur de ses cheveux, ni la chaleur de son petit corps tout serré contre moi.
Le lendemain matin, le bruit de la porte de l'écurie me réveilla en sursaut. Je savais que c'était mes maîtres qui venaient pour me prodiguer des soins. J'en étais sûr. Je me suis levé avec difficulté, la petite se réveilla. Des humains que je ne connaissais pas me prirent par le licol et m'emmenèrent dehors. Mes maîtres y étaient, je hennis pour les accueillir. La femme s'enfuit le visage dans les mains, et la petite fille se mit à hurler. Elle se laissa tomber par terre, criant « Non ! Non ! ». Je voulais lui dire de ne pas s'inquiéter, je faisais confiance à ma famille. Ils allaient m'emmener dans un endroit où je serais soigné. Je voulais lui dire que je reviendrais bientôt...
Les hommes me firent entrer dans un camion. Je ne discutais pas, je faisais confiance à mes maîtres.
Il n'y avait ni eau ni nourriture, mais je me disais que c'était normal, jamais on ne me ferait de mal...
Après de longues heures interminables de souffrance, la porte du camion s'ouvrit. On me fit descendre, mais ils voulaient que j'aille plus vite. Un homme sortis un fouet et... AIE ! Il me frappa jusqu'à ce que je me retrouve devant un autre camion, cette fois pleins de chevaux. Je hennis, personne ne me répondit. L'homme me fouetta à nouveau, je suis entré. Pourquoi me fouettait-on ? Je ne faisais rien de mal... mais je faisais toujours confiance en ma famille. Je me disais que ce cauchemar allait bientôt finir, j'allais être soigné.
Dans le camion régnait une odeur de sang et de pourriture. Nous n'avions ni eau ni nourriture. Ma plaie causée par les coups de fouets me faisait mal, elle s'infectait.
Durant tout le voyage, près de la moitié des chevaux moururent. Soudain je vis un petit poulain. Il était seul, il hennissait, appelant du secours, personne n'y prêtait attention. Il devait avoir 5 ou 6 mois. Je le pris à mes côté, le rassurant. Je lui disais de ne pas s'inquiéter, les humains sont gentils, ils ne nous feront jamais de mal.
Après une durée interminable, on nous fit enfin sortir de cet horrible camion. Je respirais enfin l'air frais et sain de l'extérieur. On m'obligeait à avancer, malgré mon pied que je ne pouvais à présent plus poser. Le poulain me suivait, je le rassurais.
Nous entrâmes dans une toute petite pièce où nous durent nous entasser. Il n'y avait pas de place. J'avais faim, très soif et surtout très mal. Je me suis allongé, le poulain se coucha près de moi. Il me rappelait la petite fille.
Des hommes vinrent nous chercher l'un après l'autre. Mais aucun cheval ne revenait.
Puis ce fut le tour du poulain. Il hennissait si fort que tous le regardaient. Il ne voulait pas me quitter. Les hommes le forçaient, mais il tirait de toutes ses forces malgré l'épuisement. Je lui disais de faire confiance aux hommes, de me faire confiance. Jamais ils ne nous feront de mal. Ma famille m'a emmené ici pour me soigner. Je lui disais que je le retrouverais après. Je lui promis de ne jamais l'abandonner. Il s'en alla avec les hommes, continuant de m'appeler.
Ce fut mon tour. Je les suivis, tout heureux de savoir que j'allais enfin être soigné. Ils me tiraient, me fouettaient, mais je ne pouvais pas avancer plus vite...
Je suis entré dans une pièce où un homme m'attendait. Ca sentait fort le sang. Autour se trouvait pleins de corps de chevaux, inertes... je rejoignis l'homme. Il tenait un objet dans sa main. Il empoigna ma crinière, je me laissais faire, bien que je me demandais pourquoi il faisait ça. Drôles de soins tout de même. Il approcha l'objet de ma gorge...
Soudain je sentis une violente douleur ! Je voulus hennir mais aucun son ne sortit. Je suis tombé, sentant mon antérieur craquer une nouvelle fois sous moi. Je n'arrivais plus à respirer. Du sang coulait en abondance de ma gorge en feu. Je me sentais partir.
Soudain je vis le corps du poulain, inerte. Il avait une entaille à la gorge, de même que tous les chevaux présents dans cette pièce. Je compris alors ce qui m'arrivait...
Je mourrais...
Pourquoi les humains nous faisaient-ils cela ? Pourquoi ?
Moi qui les avais servi toute ma vie !
Ma douleur s'amplifiait. Je repensais aux cris déchirants de la petite fille, à la dernière nuit passée avec elle, allongés dans mon box. A l'odeur de ses cheveux, à la chaleur de son corps.
Je repensais au petit poulain abandonné, MON petit poulain, auquel j'avais promis protection. Je lui avais dit que je ne l'abandonnerais jamais... Et pourtant je l'ai envoyé à la mort...
Oui je le retrouverais... Mais pas dans l'endroit que je pensais... malgré tout nous seront plus heureux là où j'étais en train d'aller... J'avais offert ma confiance aux hommes... Et ils me faisaient tellement souffrir... Jamais je ne leur aurais fait ça...
Je voulais demander pardon à la petite fille, car je lui ai fait une promesse que je n'ai pu tenir... Je ne suis jamais revenu...
Je voulais m'excuser auprès de tous ceux à qui j'ai dit de suivre aveuglément les hommes... On ne peut pas toujours les suivre, car ils changent...Ils deviennent méchants... Egoïstes... Nous ne sommes pas des objets.
Je revis une dernière fois l'image du corps sans vie du petit poulain... puis je partis.... Quittant pour toujours cette terre sur laquelle j'avais si bien vécu, mais si mal finit...
J'ai fermé les yeux pour la dernière fois dans une pièce à l'odeur du sang, au milieu de mes amis tués par ceux à qui j'avais donné toute ma confiance...
Histoire très très souvent vraie!
Je m'apellat Artémisia j'avais 3ans
j'étais une jument de course je gagnée toutes les courses jusqu'au jours ou en me poussant trop fort mon propriaitère ma bléssée au niveau du paturon situer sur les menbres.
Quand il vu ma blaissure il me remit debout et me refie galopper il n'y avat que l'argent qui l'interréssé! Vu que je souffraient il me fouetta pour me fare avancer. Le jours de la grandes courses arriva ma jambes dont une plaie remplie de pue dégouliner de mes menbres le propratère riches avait payer les orgaisateurs de la course pour ne pas me discalifier pour étre bléssée. Alors les portes s'ouvre je galoppes quelque fouler je tombe par le poit du cavalier;j'éssaie de relever je ne peut plus.mon propriétère  apella quelqu'un et un énormes camion débarqua ici un peu près un quart d'heure après le coup de fil.L'hyppodrôme desert le propriétère me leva violament je ne pouver pas tenr car ma chute aver bien abimée mes menbres postérieur
il me font entrer de force dans le camion je m'allonge ils ferment les portes violamment cet humain ne m'apporté pas confiance
j'entand le camon demarrer et rouler après 15heures de souffrance et sans arrèt pour moi, que pour cet humain, après plusieurs minutes j'ai entendu des hénissement contente j'ai hénnie a mon tour a la réfléxion je ne laiter plus(joyeuse) ils arrvèrent très vite m'écrasent,me piétinnent
le camion reprit la soif et la nourriture me manquer de povres cchevaux y sont resté la totalité état contamné du sang qu s'état infecté dans leur blessure la plus part ne revarront jamas la luimère d'autre encore fort mas plus pour lomgtemps.Puis on c'est arrétaient.Ils nous on fais tous décendreson ma tellement fouetter que les marques de foués avés saignée je suis entré dans une sale tellement sombre une odeur très très fortes qui sentait je pense Le sang et la pourriture j'entre dans une nouvelle sale encore pire je vois mais compagnons décédé dans le camion et les vivant qui ne le sont lus sauf un seul il lavence dans une machine pour nous mmobilisé.Ils me mintiennent ces humainsalors que  je vos un homme approcher une sorte d'nstrument très fins qui découpas la gorge de mon ami le sang couller partère...
Ces a mon tour de partir vers la lumère qui-a-t-il de l'autre coté comment vage fare pour revenir sur terre?
N'aillant plus de force je me laisse faire jje sent comme un courandère j'aissaie d'énre aucun son d ma vox sort l'air putrride et frait embollie mais yeux peut a peut je me sang étre vdé mais yeux se ferme, tout doucement quand mon coeur ne bas plus je suis partie a jamais!
BEAUCOUP TROP DE CHEVAUX DE COURS MEURT DES L4AGE DE 3ANS NOUS DEVONS DRIRENT STOP A CETTE BARBARIE!!
REAGISSEZ!!
 
Pétition contre l'hippophagie:
Venez signer...et aidez moi a lutter (en fezan passer des msg a tous le monde aidé moi on les aide pour leur bien!!)
pour voir si vs me croyé pa se ki leur fon d  chose horrible allé google é tapé:hippophagie
é vs iré sur un blog le 1er voila se qu leur fon pour lé plus sensible je déconseille (chevo mort,moitié de chevo,téte é sang ki coule )bref je déconseil lé plu jeune!! avé vs tjrs enve de lé mangé é sa avc nimporte kel animal stopp!! il son horriblement mal trété pour kon lé mange il ns on rien f !!je di nn défandon lé é pa ke l chevo! d'otre animo é encore =( se kil leur fon sont horrible!! c'est histoire sont tiré de la homydollz hipophagie!!lé pétition c elle ki fo allé voir:

 

 c elle!!mais photos ou réplique ou histoire ne son pa a prendre cela é interdi g mi tro de tem a en fabriké ou en cherché sur internet allé vs lé cherché vs méme sous peinne de signalement!!merci!! 


J'espere que ces images ne vous choqueront pas mais c'est hélas la réalité... Parlez en, publiez ces images sur vos sites mais réagissez vite...
Chaque jour,850 chevaux sont victimes de l'hippophagie en France soit 310 250 par an (350 000 en Italie,150 000 en Belgique,80 000 en Hollande).Il faut agir!!!
Es-ce une façon de remercier le cheval qui à partager notre travail et notre folie guerrière durant des siécles?
L'HORRIBLE TRAJET QUE SUBIT LE CHEVAL DE CHEZ LUI A VOTRE ASSIETTE!!

Les chevaux viennent de parcourir quelques miliers de kilométre. Cela fait plus de 20 heures qu'ils roulent,entassés les uns sur les autres dans l'espace le plus réduit que l'on puisse imaginer.
Si réduit qu'il suffit d'un coup de frein un peu brusque pour que les bêtes se retrouvent plaquées contre les paroi du camoin,malgrès les grosses cordes qui les retiennent,leurs brûlant les flancs au moindre choc.La plupart des animaux sont blessés,souffrent d'infections,de déshydratation,de la faim et n'ont plus assez de force pour se tenir debout.Un poney allongé sur le sol est vite relevé par le convoyeur à coups de bâton,ne souhaitant pas arriver à destination avec un cadavre.Ce calvaire va encore durer quelques jours, jusqu'à ce que le véhicule rejoigne des abattoirs sordides,où les chevaux seront...abattus!!

La majeure partie des importations de viande de cheval provient des pays de l'Est; elle n'a pas forcément subi un contrôle veterinaire avant d'arriver dans les boucheries,et souvent de piètre qualitée.
on trouve dedans:
1)Des antibiotiques,qui sont normalement destinés à traiter les infection,mais souvent distribués à titre prèventifs dans les élevage.Ce phénomène a pour effet de rendre ces traitements inefficaces à terme,sur les animaux...et les humains.
2)Des insectisides,comme lindane produit cancerigène pour l'homme,qui sert à l'antiparasitage des chevaux.Ce produit très toxique se stocke dans l'appareil digestif du cheval et quand vous consommez du cheval,il s'accumule aussi dans vos organes,en particulier le foie.
3)Des parasites,comme le trichinella spiralis.La trichinillose est provoquée par l'ingestion de viande non traitée contenant ce parasite,après la consommation de cette viende infestée,les larves eclosent dans le tube digestif du consommateur et gagnent les muscles qui s'enkystent,ce qui provoque une fièvre èlevée.L trichinillose est mortelle dans 5 % des cas. On compte 5 déces depuis 1975 mais beaucoup de patients souffrent aujourd'hui de séquelles neurologiques et musculaires.

Avez vous encore envi de manger du cheval??

 

Des histoires qui sont vrais pour 850 chevaux par JOUR

Aujourd'hui, un nouveau cheval viens au centre ! je les entendait parler de moi, que je suis trop vieux, que mon box est grand et ils parlent d'un camion avec des chevaux comme moi. J'étais peureux. Le lendemain, ils viennent me chercher, je vois une enfant qui me montait pleurer beaucoup et hurler "non, pas lui !!". Je ne comprenais pas ce qu'il se passait. il m'entrainèrent dans un camion ou il y avait beaucoup de chevaux, déshydratés, j'avais soif et faim. Des hommes me donnaient des coups de fouet tellement horrible que je me disais que j'allais mourir. Arrivés à un endroit, j'eus le droit à une bonne eau et à de a nourriture. C'était comme un paradis. Tout d'un coup, un homme arriva vers moi avec un géant couteau épais. Il me toucha avec. j'avais très peur. il coupa alors mon encolure. dix ans pus tard, cheval arrivé qui m'avait pris ma place eu le même sort ...

Pour que cette barbarie cesse enfin,
JE DIS NON A L'HIPPOPHAGIE!


Je ne mange pas de viande de cheval !
Le cheval, la plus noble conquête de l'homme ne doit plus finir dans nos assiettes. Honte à l'Italie, la France et la Belgique, principaux consommateurs de viande de cheval en Europe !

"Ceux qui aiment les chevaux , les aiment vivants et libres dans les prés, pas dans leur assiette"

et pour celles et ceux qui aiment les chevaux BOUGER VOUS!! et ttendez pas les bras croisés car si vous croyer que l'on ne changera pas sa c'est faux car je suis sur a 100% que tous emsemble ont peu y ariver... qui m'aime me suis (non je ne suis pas folle contrairement a ce que pense cetain)!!

      Histoire d'hippophagie :

J'étais dans mon box, j'étais heureux. Mais "ils" sont venus. Moi, innocent, j'ai passé la tête par la porte de mon box et j'ai poussé un joyeux hennissement en voyant tant de monde venir me dire bonjour. Et là, je "les" ai vu. Derrière eux, il y a avait des cavaliers du club qui pleuraient. Puis j'ai entendu ces mots que n'ai pas compri : "On ne peut pas avoir autant de chevaux, il faut bien se débarasser de ceux qui ne nous sont pas indispensables. Or, Ange n'a pas eu de très bon résultats aux derniers concours..." Ange, c'est moi. "Ils" m'ont emmené dans un van que je ne connaissais pas. Dedans, il y avait aussi Canelle, une ponette qui s'était blessée à la jambe la semaine dernière. On a fait un voyage assez long, puis "ils" nous ont fait descendre dans une cour. Sa sentait bizzare. Le sang, la mort, le crottin .... Puis "ils" nous on fait monter dans un camion où il y avait déjà une dizaine de chevaux qui ont henni en nous voyant. Mais ce n'était pas un hennissement que je connaissait. C'était un hennissement de peur, de douleur, de détresse. Et là, j'ai commencé à ressentir la Peur, la vraie Peur. Cette Peur que l'on ressent quand on ignore qulque chose de capital. Dans le camion, l'odeur s'est emplifiée. C'était à la limite du supportable. Puis le camion a démaré. Brutalement. On a roulé longtemps. J'avais faim, j'avais soif. En voyage, j'ai fais la connaissance du cheval qui était à côté de moi. C'était Indy, un hongre. Il avait une blessure à la jambe qui s'infectait peu à peu. Puis "ils" ont fait monter d'autres chevaux. Pour qu'on se pousse, "ils" nous on fouetté. Indy a trébuché, il est tombé et un cheval lui a marché sur la jambe. Il ne pouvait plus se relever. Après quelques heures de souffrance horribles, il s'est éteint. Puis son corps a commencé à sentir. C'était horrible. Peu à peu, d'autres chevaux se sont éteints. De soif, de faim, de blessures, de désespoire. Enfin, le camion s'est arrêté."Ils" ont ouvert la porte. La lumière m'a aveuglée. Les autres chevaux voulaient sortir. Ils m'ont poussé. Je me suis tordu la jambe. J'ai eu mal. Mais j'était obligé d'avancer. Dans d'interminables couloir hanté par le sang, la peur, la Mort. J'ai entendu un cheval henir, j'ai reconnu Canelle. Ma petite Canelle si courageuse. Puis on est arrivé dans un grande salle avec un planché en fer. Puis, "ils" ont fermé la porte et nous on laissé là. Pas à boire, pas à manger. Un à un, beaucoup de chevaux sont morts. Ma Canelle aussi. Puis, un jour, "ils" sont venue me chercher. J'ai eu à boire. C'était bon. C'était la dernière chose que j'aurrais eu de bon de ma vie. Ensuite, je suis entré dans un salle oú l'odeur, l'ambiance, m'a fait pa***. Je me suis cabré, je me suis pris un coup de gourdin dans les jambes. Puis, "il" est entré. J'ai senti quelque chose entrer dans ma gorge. J'ai eu mal. Je me suis senti faible. Je me suis couché. Ou plutôt, je suis tombé. Et j'ai su. J'ai eu mal au coeur. J'ai fermé les yeux. Noir...... Ange est mort est aurai voulu rejoindre le paradis des animaux dans de meilleure conditions.

                                  A toute age :

je n'avais que 6 mois et demi, lorsque l’éleveur vint me chercher au petit matin, ma mère dormait encore…Il me passa un licol, et m’emmena, je pensais qu’on allait se promener alors je me laissai faire…Il m’emmena vers un énorme camion dans lequel il avait d’autres chevaux, et ils hennissaient tous plus forts les uns que les autres…J’entendis tout un coup l’hennissement de ma mère, je voulus la rejoindre, mais l’homme m’en empêcha…il me tenait, et je tirai de toutes mes forces pour rejoindre « maman », mais quelque chose me fit mal, et j’arrêtai de tirer…on m’obligea a coup de fouet et de bâton à monter… -Maman, pourquoi tu ma laisser partir, pourquoi tu ma pas sauver, pourquoi, pourquoi ? Je restai silencieux durant tout le voyage… Il dura plus de 20 heures, on devait rester debout, je commençais à avoir soif et faim, je hennis espérant que l’on me donne eau et nourriture, mais je n’eu rien…On nous débarqua dans un immense hangar humide et sombre. Je fus le premier à sortir.On m’attacha plus loin, et je pus voir, avec des yeux de 6 mois, la mort…plusieurs cadavres de chevaux, de poulains étaient sortit, puis étendus devant moi, devant mes yeux…On me tira de force dans un couloir…je hennis plus fort, me volant mes dernières réserves de santé…On me forçat à avancer, et puis tout d’un coup, quelque chose me tomba dessus, je n’eu pas le temps de regarder, mais je pus sentir, un liquide chaud, qui coulait sur mes membres avant… et je compris l’incompréhensible...J’étais en train de mourir, et mes dernières pensées fut pour ma mère, elle qui aujourd’hui était si loin de moi, elle qui, dès demain revivra la même histoire, avec autre poulain, et son calvaire ne se finira que, lorsqu’elle n’aura plus la force de donner la vie, pour qu’on lui prenne aussi vite… A toi Maman, Toi que j’aime, Toi qui auras su me rendre heureux pendant un court instant de ma pauvre vie… dite vous ke ces cette pauvre chose que vous mangez

  

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